Chords for Les Inconnus - Perdu de recherche

Tempo:
125.4 bpm
Chords used:

Eb

D

E

C

Gb

Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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Les Inconnus - Perdu de recherche chords
Start Jamming...
[C] [Dm]
[D] Bonsoir, le magazine Perdu de Recherche [Ebm] va tenter ce soir de [D] redonner un peu de joie
de vivre à une [B] personne et cette personne ce soir est un cas [E] unique, unique de par l'ampleur
et l'originalité de la tragédie que la personne subit au quotidien.
Bonsoir monsieur.
Bonsoir.
[Eb] Alors au cœur de votre [Bbm] douloureux problème, vous ne savez ni votre nom, ni votre [F] prénom.
Non c'est ça.
[Eb] Vous ne savez plus qui vous êtes, en fait vous êtes ce qu'on peut appeler un amnésique.
Oui c'est ça, je suis un amnésique.
Un amnésique.
Alors pour faciliter les choses pour les [C] téléspectateurs qui j'en suis sûr sont déjà très émus,
nous allons vous appeler pour le moment Robert.
Je préfère Gérard si vous voulez.
Si vous voulez [D] Gérard.
Alors Gérard pour faciliter et pour expliquer un petit peu aux téléspectateurs qui j'en
suis sûr sont déjà très émus, [Eb] je vais résumer votre accident donc en décembre
1990, le 7 [N] décembre exactement, donc vous avez un accident de voiture, elle plonge dans
un étang, vous ne vous souvenez plus de rien et c'est un petit peu [Eb] le début de l'enfer pour vous.
C'est le début de l'enfer c'est ça ?
Vous pouvez le dire ?
C'est le début de l'enfer
je veux dire.
Ah oui c'est le début de [D] l'enfer.
De l'enfer c'est horrible.
C'est horrible.
Une personne aurait été à vos côtés d'ailleurs.
Non mais j'étais tout seul.
Oui d'accord.
Non mais enfin une personne aurait été à vos côtés ça aurait été horrible.
Non mais j'étais tout [Eb] seul.
Oui d'accord enfin ça aurait été une petite soeur ou un petit enfant, elle aurait été
broyée dans l'accident, ça aurait été horrible.
Si ça aurait été horrible.
Oui ça aurait été horrible.
Ça aurait été [E] horrible.
Si j'étais tout seul.
Oui.
Alors tout de suite devant un public qui j'en suis sûr est déjà tout à fait [Eb] bouleversé,
j'espère qu'en direct votre vie va redevenir normale Gérard et nous retrouvons tout de
suite Bruno qui se [Gb] retrouve dans la banlieue de Cambrai.
Cambrai ça ne vous dit rien Bruno ?
Bruno ?
Oui tout à fait Jacques, nous sommes actuellement à Cambrai, plus précisément dans la rue
de l'Espinasque voici, je descends quelques marches et j'atterris dans une cour, une
toute petite [D] cour et dans cette cour quelques petits arbustes, chétifs, au fond de cette
cour là-bas, juste derrière moi vous avez une porte et cette porte c'est sans doute
pour Gérard la porte du bonheur retrouvé, du soulagement et peut-être nous l'espérons
des larmes de joie.
Je vais frapper.
Ça ne vous rappelle rien ?
Oh non, non rien du tout là, non.
Voilà, j'ai frappé, une personne va certainement m'ouvrir et pour cette personne qui ne se doute
de rien peut-être la fin d'un long calvaire.
Ah, on peut ouvrir.
J'entends du bruit, on m'ouvre.
Bonsoir madame, excusez-nous de vous déranger, voilà c'est toute l'équipe de Perdu de
Recherche, excusez-nous de vous déranger, nous avons des révélations à vous faire
madame, n'ayez crainte.
C'est pour l'émission de Sabatier ?
C'est pour l [Dbm]'émission de Perdu de Recherche
madame, on peut entrer chez vous ?
Ah ben je vous en prie mais entrez, c'est pour
Sabatier ?
Non madame, Perdu de Recherche.
Bon, entrez-en.
Merci beaucoup madame, voilà je découvre avec vous un petit couloir [Db] étroit.
Mais moi j'ai pas assez de canard pour tout le monde.
Mais entrez-en.
Merci madame, vous êtes bien aimable.
[D] Voilà, venez avec moi, suivez-moi.
Salut, vous vous rappelez ?
Je découvre avec vous [Eb] également un petit salon,
petit salon qui évoque peut-être déjà pour Gérard quelques souvenirs, en tout cas
nous le [N] saurons très bientôt.
Rien du tout.
Bonsoir madame.
Bonjour.
Voilà, c'est toute l'équipe de Perdu de Recherche comme je vous l'ai déjà dit.
C'est pour l'émission de Sabatier ?
Non madame, Perdu de Recherche.
On a rien dit quelque chose en nous ?
Oh, [E] beaucoup plus madame, beaucoup plus que cela.
Ecoutez-moi bien, votre mari a disparu depuis six mois, est-ce bien exact ?
Ah oui, oui, oui, mon mari est mort il y a six mois, c'était très triste.
[Bb] Vous êtes sans nouvelles de lui ?
Oh, sans [E] nouvelles.
Et qu'est-ce qu'on a gagné alors ?
Non madame, écoutez-moi bien, votre mari a été
retrouvé grâce à toute l'équipe de Perdu de Recherche et votre mari est bien vivant
madame, oui, bien vivant, mais bien entendu.
Vous nous entendez madame ?
C'est pas possible.
Vous nous entendez ?
C'est toi Robert ?
Robert.
Robert, c'est toi ?
En fait c'était Robert.
Quel est votre prénom madame ?
Giseleine.
Non mais c'est
C'est qui lui ?
Viens, viens, viens voir.
C'est aussi ça pour coucou, on n'a pas noté les numéros parce qu'on est
C'est la télé, c'est la télé.
C'est Oushia ?
Mais non, c'est la télé, ils ont retrouvé Robert, Robert est vivant.
Comment ça Robert il est pas
Robert est vivant, Robert est vivant.
Mais il nous voit là-là ou quoi ?
Oui, oui, tout à fait.
Tu nous vois [G] Robert ?
Oui, oui.
Salut, mon pote t'es pas mort ?
T'es pas noyé, enfin
On m'appelle pas Oushie, ça déchire.
C'est Jean-Louis, Jean-Louis.
Tu me reconnais, c'est moi ton pote.
C'est Jean-Louis, oui.
Je me suis vomi de Giseleine parce que je pensais que t'étais noyé alors
Il était très gentil avec moi, tu sais.
Oui, oui, Jean-Louis, ça vous revient ?
Oui, ça y est, ça y est.
C'est extraordinaire, la mémoire revient.
C'est mon pote Jean-Louis, c'est mon meilleur ami, oui, je me souviens, ça y est.
C'est ma femme Giseleine.
Et ce jour-là, ce jour-là, ça y est, ça me revient, le jour de l'accident,
et Jean-Louis me prêtait sa voiture.
Je venais de gagner au loto.
Vous venez de gagner, oh, les gars tu parles de la vôtre.
Je n'étais même pas capable de saboter des freins.
Alors, si, je verrais saboter les freins, j'aurais qu'à le faire, j'aurais qu'à le faire, c'est tout.
J'aurais qu'à le faire.
S'il vous plaît, messieurs, dames, on vient d'apprendre une bonne nouvelle,
il paraît que Robert venait de gagner au loto.
Au loto ?
Oh là là !
Oh là, si peu.
Si peu, monsieur Sabatier, oh là là.
Trois fois, trois fois rien.
Vraiment rien du tout, oh là là.
En tout cas ici, c'est vraiment un grand moment d'émotion,
je pense que pour vous c'est la même chose.
Pensez donc.
C'est un grand moment d'émotion, oui.
Ah oui, savoir qu'on est très émotionnés, c'est sûr.
Je crois qu'il est temps de se retrouver, vous allez retrouver votre chez vous.
À la maison, oui.
Ah non, non, non, attendez, pas à la maison.
On va se donner rendez-vous.
Au centre commercial, Robert, on va se donner rendez-vous.
C'est le, c'est le, ce que [Gb] t'avais l'habitude de faire les courses, Robert.
Ah oui, le truc, tout ça.
Au 4ème sous-sol, comme ça.
À quelle heure, à quelle heure ?
Une heure, vers une heure du matin, comme ça, tranquille.
On sera plus tranquille.
C'est formidable.
Ah oui, oui.
Ne vous ratez pas.
Cette fois-ci, on ne te ratera pas, Robert.
On ne va pas te rater, mon pote.
Allez, salut.
Au revoir, mon amour.
Je suis content.
Ah, c'est formidable, ce qui m'arrive, c'est formidable.
Ah oui, moi aussi, je suis tout à fait, tout à fait
Merci, c'est grâce à vous, grâce à mon perdu de recherche.
Oui, c'est bien.
Merci.
Ça, c'est de ta faute.
Ta gueule, Bouffiès.
La prochaine fois, c'est moi qui le ferai.
Arrêtons d'y
Key:  
Eb
12341116
D
1321
E
2311
C
3211
Gb
134211112
Eb
12341116
D
1321
E
2311
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_ _ _ _ _ [C] _ _ [Dm] _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ [D] Bonsoir, le magazine Perdu de Recherche [Ebm] va tenter ce soir de [D] redonner un peu de joie
de vivre à une [B] personne et cette personne ce soir est un cas [E] unique, unique de par l'ampleur
et l'originalité de la tragédie que la personne subit au quotidien. _
Bonsoir monsieur.
Bonsoir.
[Eb] Alors au cœur de votre [Bbm] douloureux problème, vous ne savez ni votre nom, ni votre [F] prénom.
Non c'est ça.
[Eb] Vous ne savez plus qui vous êtes, en fait vous êtes ce qu'on peut appeler un amnésique.
Oui c'est ça, je suis un amnésique.
Un amnésique.
Alors pour faciliter les choses pour les [C] téléspectateurs qui j'en suis sûr sont déjà très émus,
nous allons vous appeler pour le moment Robert.
Je préfère Gérard si vous voulez.
Si vous voulez _ _ [D] Gérard.
Alors Gérard pour faciliter et pour expliquer un petit peu aux téléspectateurs qui j'en
suis sûr sont déjà très émus, [Eb] je vais résumer votre accident donc en décembre
1990, le 7 [N] décembre exactement, donc vous avez un accident de voiture, elle plonge dans
un étang, vous ne vous souvenez plus de rien et c'est un petit peu [Eb] le début de l'enfer pour vous.
C'est le début de l'enfer c'est ça ?
Vous pouvez le dire ?
C'est le début de l'enfer
je veux dire.
Ah oui c'est le début de [D] l'enfer.
De l'enfer c'est horrible.
C'est horrible.
Une personne aurait été à vos côtés d'ailleurs.
Non mais j'étais tout seul.
Oui d'accord.
Non mais enfin une personne aurait été à vos côtés ça aurait été horrible.
Non mais j'étais tout [Eb] seul.
Oui d'accord enfin ça aurait été une petite soeur ou un petit enfant, elle aurait été
broyée dans l'accident, ça aurait été horrible.
Si ça aurait été horrible.
Oui ça aurait été horrible.
Ça aurait été [E] horrible.
Si j'étais tout seul.
Oui.
Alors tout de suite devant un public qui j'en suis sûr est déjà tout à fait [Eb] _ bouleversé,
j'espère qu'en direct votre vie va redevenir normale Gérard et nous retrouvons tout de
suite Bruno qui se [Gb] retrouve dans la banlieue de Cambrai.
Cambrai ça ne vous dit rien Bruno ?
Bruno ?
Oui tout à fait Jacques, nous sommes actuellement à Cambrai, plus précisément dans la rue
de l'Espinasque voici, je descends quelques marches et j'atterris dans une cour, une
toute petite [D] cour et dans cette cour quelques petits arbustes, chétifs, au fond de cette
cour là-bas, juste derrière moi vous avez une porte et cette porte c'est sans doute
pour Gérard la porte du bonheur retrouvé, du soulagement et peut-être nous l'espérons
des larmes de joie.
Je vais frapper.
Ça ne vous rappelle rien ?
Oh non, non rien du tout là, non.
Voilà, j'ai frappé, une personne va certainement m'ouvrir et pour cette personne qui ne se doute
de rien peut-être la fin d'un long calvaire. _
_ Ah, on peut ouvrir.
J'entends du bruit, on m'ouvre.
_ Bonsoir madame, excusez-nous de vous déranger, voilà c'est toute l'équipe de Perdu de
Recherche, excusez-nous de vous déranger, nous avons des révélations à vous faire
madame, n'ayez crainte.
C'est pour l'émission de Sabatier ?
C'est pour l [Dbm]'émission de Perdu de Recherche
madame, on peut entrer chez vous ?
Ah ben je vous en prie mais entrez, c'est pour
Sabatier ?
Non madame, Perdu de Recherche.
Bon, entrez-en.
Merci beaucoup madame, voilà je découvre avec vous un petit couloir [Db] étroit.
Mais moi j'ai pas assez de canard pour tout le monde.
Mais entrez-en.
Merci madame, vous êtes bien aimable.
[D] Voilà, venez avec moi, suivez-moi.
Salut, vous vous rappelez ?
Je découvre avec vous [Eb] également un petit salon,
petit salon qui évoque peut-être déjà pour Gérard quelques souvenirs, en tout cas
nous le [N] saurons très bientôt.
Rien du tout.
Bonsoir madame.
Bonjour.
Voilà, c'est toute l'équipe de Perdu de Recherche comme je vous l'ai déjà dit.
C'est pour l'émission de Sabatier ?
Non madame, Perdu de Recherche. _
On a rien dit quelque chose en nous ?
Oh, [E] beaucoup plus madame, beaucoup plus que cela.
Ecoutez-moi bien, votre mari a disparu depuis six mois, est-ce bien exact ?
Ah oui, oui, oui, mon mari est mort il y a six mois, c'était très triste.
[Bb] Vous êtes sans nouvelles de lui ?
Oh, sans [E] nouvelles.
Et qu'est-ce qu'on a gagné alors ?
Non madame, écoutez-moi bien, votre mari a été
retrouvé grâce à toute l'équipe de Perdu de Recherche et votre mari est bien vivant
madame, oui, bien vivant, mais bien entendu.
Vous nous entendez madame ?
C'est pas possible.
Vous nous entendez _ ?
C'est toi Robert ?
Robert.
Robert, c'est toi ?
En fait c'était Robert.
Quel est votre prénom madame ?
Giseleine.
_ _ Non mais c'est_
C'est qui lui ?
Viens, viens, viens voir.
C'est aussi ça pour coucou, on n'a pas noté les numéros parce qu'on est_
C'est la télé, c'est la télé.
C'est Oushia ?
Mais non, c'est la télé, ils ont retrouvé Robert, Robert est vivant.
Comment ça Robert il est pas_
Robert est vivant, Robert est vivant.
Mais il nous voit là-là ou quoi ?
Oui, oui, tout à fait.
Tu nous vois [G] Robert ?
Oui, oui. _
Salut, mon pote t'es pas mort ?
T'es pas noyé, enfin_
On m'appelle pas Oushie, ça déchire.
_ C'est Jean-Louis, Jean-Louis.
Tu me reconnais, c'est moi ton pote.
C'est Jean-Louis, oui.
Je me suis vomi de Giseleine parce que je pensais que t'étais noyé alors_
Il était très gentil avec moi, tu sais.
Oui, oui, Jean-Louis, ça vous revient ?
Oui, ça y est, ça y est.
C'est extraordinaire, la mémoire revient.
_ C'est mon pote Jean-Louis, c'est mon meilleur ami, oui, je me souviens, ça y est.
C'est ma femme Giseleine.
Et ce jour-là, ce jour-là, ça y est, ça me revient, le jour de l'accident,
et Jean-Louis me prêtait sa voiture.
Je venais de gagner au loto.
Vous venez de gagner, oh, les gars tu parles de la vôtre.
Je n'étais même pas capable de saboter des freins.
Alors, si, je verrais saboter les freins, j'aurais qu'à le faire, j'aurais qu'à le faire, c'est tout.
J'aurais qu'à le faire.
S'il vous plaît, messieurs, dames, on vient d'apprendre une bonne nouvelle,
il paraît que Robert venait de gagner au loto.
Au loto ?
Oh là là !
Oh là, si peu.
Si peu, monsieur Sabatier, oh là là.
Trois fois, trois fois rien.
Vraiment rien du tout, oh là là.
En tout cas ici, c'est vraiment un grand moment d'émotion,
je pense que pour vous c'est la même chose.
Pensez donc.
C'est un grand moment d'émotion, oui.
Ah oui, savoir qu'on est très émotionnés, c'est sûr.
Je crois qu'il est temps de se retrouver, vous allez retrouver votre chez vous.
À la maison, oui.
Ah non, non, non, attendez, pas à la maison.
On va se donner rendez-vous.
Au centre commercial, Robert, on va se donner rendez-vous.
C'est le, c'est le, ce que [Gb] t'avais l'habitude de faire les courses, Robert.
Ah oui, le truc, tout ça.
Au 4ème sous-sol, comme ça.
À quelle heure, à quelle heure ?
_ Une heure, vers une heure du matin, comme ça, tranquille.
On sera plus tranquille.
C'est formidable.
Ah oui, oui.
Ne vous ratez pas.
Cette fois-ci, on ne te ratera pas, Robert.
On ne va pas te rater, mon pote.
_ Allez, salut.
Au revoir, mon amour.
Je suis content.
_ Ah, c'est formidable, ce qui m'arrive, c'est formidable.
Ah oui, moi aussi, je suis tout à fait, tout à fait_
Merci, c'est grâce à vous, grâce à mon perdu de recherche.
Oui, c'est bien.
Merci.
Ça, c'est de ta faute.
Ta gueule, Bouffiès.
La prochaine fois, c'est moi qui le ferai.
Arrêtons d'y

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