Chords for Léo Ferré chante Baudelaire- Le Vin de l'Assassin
Tempo:
47.75 bpm
Chords used:
Fm
Ebm
G
Eb
F
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Fm] [D] [G] Ma femme est morte, je suis [Fm] libre, Je puis donc boire tout mon sou,
Lorsque je rentrais sans un sou, Ces cris me déchiraient la [Ebm] fibre.
Autant qu'un roi, je suis heureux, L'air est pur, le ciel admirable,
Nous avions un été semblable, Lorsque j'en devins [Fm] amoureux.
L'horrible soif qui me déchire, Aurait besoin pour s'assouvir
D'autant de vin qu'en peut unir son tombeau.
Ce n [Ebm]'est pas peu dire, Je l'ai jetée au fond d'un puits,
Et j'ai même poussé sur elle Tous les pavés de la margelle.
Je l [Fm]'oublierai, si je puis, Au nom des serments de tendresse,
Dont rien ne peut nous délier, Et pour nous réconcilier,
Comme au beau temps de [Bbm] notre ivresse.
[Ebm] J'implorais d'elle un rendez-vous, Le soir, sur une route [Eb] obscure,
Et l'ivain, folle créature, Nous sommes tous plus [G] ou moins fous.
Elle était encore jolie, Quoique bien fatiguée,
[Fm] Et moi je l'aimais trop, Voilà pourquoi je lui dis,
[Ebm] Sors de cette vie, Nul ne peut me comprendre.
Un seul parmi ces ivrognes [Eb] stupides, Son jadis dans ses nuits morbides,
A faire du vin à l [Fm]'incelle.
Cette crapule invulnérable, Comme les machines de fer,
Jamais, ni l'été, ni l'hiver, N'a connu l'amour [Ebm] véritable.
[F] Avec ses noirs [Ebm] enchantements, Son cortège infernal d'alarme,
Ses fioles de poison, ses larmes, Ses bruits de chêne [Fm] et d [G]'ossement.
Me voilà libre [Fm] et solitaire, Je serai ce soir ivre [G] mort,
Alors, sans peur et sans remords, Je me [Eb] coucherai sur la terre.
[Ebm] Et je dormirai comme un chien, le chariot, Au [F] lourd de roues, chargé de pierres et de boue,
Le wagon [Fm] enragé peut bien,
Écraser ma tête coupable, Ou me couper par le milieu,
Je m'en moque comme de Dieu, Du diable [Ebm] ou de la Sainte Table.
[G]
Lorsque je rentrais sans un sou, Ces cris me déchiraient la [Ebm] fibre.
Autant qu'un roi, je suis heureux, L'air est pur, le ciel admirable,
Nous avions un été semblable, Lorsque j'en devins [Fm] amoureux.
L'horrible soif qui me déchire, Aurait besoin pour s'assouvir
D'autant de vin qu'en peut unir son tombeau.
Ce n [Ebm]'est pas peu dire, Je l'ai jetée au fond d'un puits,
Et j'ai même poussé sur elle Tous les pavés de la margelle.
Je l [Fm]'oublierai, si je puis, Au nom des serments de tendresse,
Dont rien ne peut nous délier, Et pour nous réconcilier,
Comme au beau temps de [Bbm] notre ivresse.
[Ebm] J'implorais d'elle un rendez-vous, Le soir, sur une route [Eb] obscure,
Et l'ivain, folle créature, Nous sommes tous plus [G] ou moins fous.
Elle était encore jolie, Quoique bien fatiguée,
[Fm] Et moi je l'aimais trop, Voilà pourquoi je lui dis,
[Ebm] Sors de cette vie, Nul ne peut me comprendre.
Un seul parmi ces ivrognes [Eb] stupides, Son jadis dans ses nuits morbides,
A faire du vin à l [Fm]'incelle.
Cette crapule invulnérable, Comme les machines de fer,
Jamais, ni l'été, ni l'hiver, N'a connu l'amour [Ebm] véritable.
[F] Avec ses noirs [Ebm] enchantements, Son cortège infernal d'alarme,
Ses fioles de poison, ses larmes, Ses bruits de chêne [Fm] et d [G]'ossement.
Me voilà libre [Fm] et solitaire, Je serai ce soir ivre [G] mort,
Alors, sans peur et sans remords, Je me [Eb] coucherai sur la terre.
[Ebm] Et je dormirai comme un chien, le chariot, Au [F] lourd de roues, chargé de pierres et de boue,
Le wagon [Fm] enragé peut bien,
Écraser ma tête coupable, Ou me couper par le milieu,
Je m'en moque comme de Dieu, Du diable [Ebm] ou de la Sainte Table.
[G]
Key:
Fm
Ebm
G
Eb
F
Fm
Ebm
G
_ [Fm] _ [D] _ _ [G] Ma femme est morte, je suis [Fm] libre, Je puis donc boire tout mon sou,
Lorsque je rentrais sans un sou, Ces cris me déchiraient la [Ebm] fibre.
Autant qu'un roi, je suis heureux, L'air est pur, le ciel admirable,
Nous avions un été semblable, Lorsque j'en devins [Fm] amoureux.
L'horrible soif qui me déchire, Aurait besoin pour s'assouvir
D'autant de vin qu'en peut unir son tombeau.
Ce n [Ebm]'est pas peu dire, Je l'ai jetée au fond d'un puits,
Et j'ai même poussé sur elle Tous les pavés de la margelle.
Je l [Fm]'oublierai, si je puis, Au nom des serments de tendresse,
Dont rien ne peut nous délier, Et pour nous réconcilier,
Comme au beau temps de [Bbm] notre ivresse.
[Ebm] J'implorais d'elle un rendez-vous, Le soir, sur une route [Eb] obscure,
Et l'ivain, folle créature, Nous sommes tous plus [G] ou moins fous.
Elle était encore jolie, Quoique bien fatiguée,
[Fm] Et moi je l'aimais trop, Voilà pourquoi je lui dis,
[Ebm] Sors de cette vie, Nul ne peut me comprendre.
Un seul parmi ces ivrognes [Eb] stupides, Son jadis dans ses nuits morbides,
A faire du vin à l [Fm]'incelle.
Cette crapule invulnérable, Comme les machines de fer,
Jamais, ni l'été, ni l'hiver, N'a connu l'amour [Ebm] véritable.
[F] Avec ses noirs [Ebm] enchantements, Son cortège infernal d'alarme,
Ses fioles de poison, ses larmes, Ses bruits de chêne [Fm] et d [G]'ossement.
Me voilà libre [Fm] et solitaire, Je serai ce soir ivre [G] mort,
Alors, sans peur et sans remords, Je me [Eb] coucherai sur la terre.
[Ebm] Et je dormirai comme un chien, le chariot, Au [F] lourd de roues, chargé de pierres et de boue,
Le wagon [Fm] enragé peut bien,
Écraser ma tête coupable, Ou me couper par le milieu,
Je m'en moque comme de Dieu, Du diable [Ebm] ou de la Sainte Table.
[G] _ _
Lorsque je rentrais sans un sou, Ces cris me déchiraient la [Ebm] fibre.
Autant qu'un roi, je suis heureux, L'air est pur, le ciel admirable,
Nous avions un été semblable, Lorsque j'en devins [Fm] amoureux.
L'horrible soif qui me déchire, Aurait besoin pour s'assouvir
D'autant de vin qu'en peut unir son tombeau.
Ce n [Ebm]'est pas peu dire, Je l'ai jetée au fond d'un puits,
Et j'ai même poussé sur elle Tous les pavés de la margelle.
Je l [Fm]'oublierai, si je puis, Au nom des serments de tendresse,
Dont rien ne peut nous délier, Et pour nous réconcilier,
Comme au beau temps de [Bbm] notre ivresse.
[Ebm] J'implorais d'elle un rendez-vous, Le soir, sur une route [Eb] obscure,
Et l'ivain, folle créature, Nous sommes tous plus [G] ou moins fous.
Elle était encore jolie, Quoique bien fatiguée,
[Fm] Et moi je l'aimais trop, Voilà pourquoi je lui dis,
[Ebm] Sors de cette vie, Nul ne peut me comprendre.
Un seul parmi ces ivrognes [Eb] stupides, Son jadis dans ses nuits morbides,
A faire du vin à l [Fm]'incelle.
Cette crapule invulnérable, Comme les machines de fer,
Jamais, ni l'été, ni l'hiver, N'a connu l'amour [Ebm] véritable.
[F] Avec ses noirs [Ebm] enchantements, Son cortège infernal d'alarme,
Ses fioles de poison, ses larmes, Ses bruits de chêne [Fm] et d [G]'ossement.
Me voilà libre [Fm] et solitaire, Je serai ce soir ivre [G] mort,
Alors, sans peur et sans remords, Je me [Eb] coucherai sur la terre.
[Ebm] Et je dormirai comme un chien, le chariot, Au [F] lourd de roues, chargé de pierres et de boue,
Le wagon [Fm] enragé peut bien,
Écraser ma tête coupable, Ou me couper par le milieu,
Je m'en moque comme de Dieu, Du diable [Ebm] ou de la Sainte Table.
[G] _ _