Nos Absents Chords by Grand Corps Malade
Tempo:
152.75 bpm
Chords used:
B
D
C
Em
Am
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[E] [C]
[D] [B]
[Em] [D] [Am]
[B]
C [Em]'est pas vraiment des [C] fantômes, mais leur absence est tellement forte, [D] qu'elle crée
en nous une présence qui nous [B] rend faibles ou nous supporte.
[Em] C'est ceux qu'on a aimés qui créent un vide [D] presque [Am] tangible, car l [B]'amour qu'on
leur donnait est orphelin et cherche une cible.
[Em] Pour certains on le savait, on s [C]'était préparé au pire.
[D] Mais d'autres ont disparu d'un seul [B] coup, sans prévenir.
[Em] On leur a pas dit au revoir, ils sont [D] partis sans notre [Am] accord, [B] car la mort a ses raisons
que notre raison ignore.
[C] Alors on s'est regroupé d'un [Dbm] réconfort utopiste.
[D] A plusieurs on est plus fort, mais on [B] n'est pas moins triste.
[E] C'est seul qu'on fait son deuil, car on [Am] est seul quand on ressent.
[G] On apprivoise la douleur et la [B] présence de nos absents.
[C] Nos absents sont toujours là, [D] à l'esprit, dans nos souvenirs, sur [G] ce film de [Ab] vacances,
sur ces photos pleines de [Am] sourires.
Nos absents nous entourent et [Gb] resteront à nos côtés.
[G] Ils reprennent vie dans nos rêves, [B] comme si de rien n'était.
[Em] [Am] [C]
[D] [B]
[Em] [D] [Am]
[B]
[E] On se rassure face à la souffrance [C] qui nous serre le cou, en se disant [Dm] que là où ils
sont, ils ont sûrement moins [B] mal que nous.
[E] Alors on marche, on rit, on chante, [Am] mais leur ombre demeure dans [B] un coin de nos cerveaux,
dans un coin de notre bonheur.
[Em] Nous on a des projets, on [C] décide nos lendemains, on décide [G] du chemin, [D] on regarde l'avenir
entre [B] nos mains.
Et au cœur [E] de l'action, dans nos [Em] victoires ou nos [A] enfers, on imagine [B] de temps en temps
que nos absents nous voient faire.
[D] [C] Chaque vie est un miracle, mais le [A] final est [D] énervant.
Je me suis bien renseigné, on n'en sortira pas [B] vivant.
Il [E] faut apprendre à l'accepter pour essayer [D] de vieillir heureux, mais chaque [G] année nos
absents sont un petit peu plus [B] nombreux.
[C] Chaque nouvelle disparition [D] transforme nos cœurs en dentelles, mais [G] le temps passe
et les douleurs [Ab] vives deviennent pastelles.
[Am] Ce temps qui pour une fois est un véritable [Bb] allié, chaque heure [B] passée est une pommade.
Il en faudra des milliers.
[E] [Em] [C]
[D] [B]
[Em] [Am]
[B]
[E] Moi les morts, les disparus, je [C] n'en parle pas beaucoup.
[D] Alors j'écris sur eux, je titille mes [B] sujets tabous.
[E] Ce grand mystère qui [Em] nous attend, notre [A] ultime point commun à tous, qui [B] fait concours après
la vie, sachant que la mort est à nos trousses.
[E] Ce n'est pas vraiment [C] des fantômes, mais leur absence est tellement forte [D] qu'elle
crée en nous une présence qui nous rend [B] faibles ou nous supporte.
[Em] C'est ce qu'on a aimé qui crée un vide [D] presque [Am] infini, qui inspire [B] des textes premier degré.
Il faut dire que la mort manque d'ironie.
[N]
[D] [B]
[Em] [D] [Am]
[B]
C [Em]'est pas vraiment des [C] fantômes, mais leur absence est tellement forte, [D] qu'elle crée
en nous une présence qui nous [B] rend faibles ou nous supporte.
[Em] C'est ceux qu'on a aimés qui créent un vide [D] presque [Am] tangible, car l [B]'amour qu'on
leur donnait est orphelin et cherche une cible.
[Em] Pour certains on le savait, on s [C]'était préparé au pire.
[D] Mais d'autres ont disparu d'un seul [B] coup, sans prévenir.
[Em] On leur a pas dit au revoir, ils sont [D] partis sans notre [Am] accord, [B] car la mort a ses raisons
que notre raison ignore.
[C] Alors on s'est regroupé d'un [Dbm] réconfort utopiste.
[D] A plusieurs on est plus fort, mais on [B] n'est pas moins triste.
[E] C'est seul qu'on fait son deuil, car on [Am] est seul quand on ressent.
[G] On apprivoise la douleur et la [B] présence de nos absents.
[C] Nos absents sont toujours là, [D] à l'esprit, dans nos souvenirs, sur [G] ce film de [Ab] vacances,
sur ces photos pleines de [Am] sourires.
Nos absents nous entourent et [Gb] resteront à nos côtés.
[G] Ils reprennent vie dans nos rêves, [B] comme si de rien n'était.
[Em] [Am] [C]
[D] [B]
[Em] [D] [Am]
[B]
[E] On se rassure face à la souffrance [C] qui nous serre le cou, en se disant [Dm] que là où ils
sont, ils ont sûrement moins [B] mal que nous.
[E] Alors on marche, on rit, on chante, [Am] mais leur ombre demeure dans [B] un coin de nos cerveaux,
dans un coin de notre bonheur.
[Em] Nous on a des projets, on [C] décide nos lendemains, on décide [G] du chemin, [D] on regarde l'avenir
entre [B] nos mains.
Et au cœur [E] de l'action, dans nos [Em] victoires ou nos [A] enfers, on imagine [B] de temps en temps
que nos absents nous voient faire.
[D] [C] Chaque vie est un miracle, mais le [A] final est [D] énervant.
Je me suis bien renseigné, on n'en sortira pas [B] vivant.
Il [E] faut apprendre à l'accepter pour essayer [D] de vieillir heureux, mais chaque [G] année nos
absents sont un petit peu plus [B] nombreux.
[C] Chaque nouvelle disparition [D] transforme nos cœurs en dentelles, mais [G] le temps passe
et les douleurs [Ab] vives deviennent pastelles.
[Am] Ce temps qui pour une fois est un véritable [Bb] allié, chaque heure [B] passée est une pommade.
Il en faudra des milliers.
[E] [Em] [C]
[D] [B]
[Em] [Am]
[B]
[E] Moi les morts, les disparus, je [C] n'en parle pas beaucoup.
[D] Alors j'écris sur eux, je titille mes [B] sujets tabous.
[E] Ce grand mystère qui [Em] nous attend, notre [A] ultime point commun à tous, qui [B] fait concours après
la vie, sachant que la mort est à nos trousses.
[E] Ce n'est pas vraiment [C] des fantômes, mais leur absence est tellement forte [D] qu'elle
crée en nous une présence qui nous rend [B] faibles ou nous supporte.
[Em] C'est ce qu'on a aimé qui crée un vide [D] presque [Am] infini, qui inspire [B] des textes premier degré.
Il faut dire que la mort manque d'ironie.
[N]
Key:
B
D
C
Em
Am
B
D
C
[E] _ _ _ [C] _ _ _ _ _
_ [D] _ _ _ _ [B] _ _ _
_ [Em] _ _ _ _ [D] _ [Am] _ _
_ [B] _ _ _ _ _ _
C [Em]'est pas vraiment des [C] fantômes, mais leur absence est tellement forte, [D] qu'elle crée
en nous une présence qui nous [B] rend faibles ou nous supporte.
[Em] C'est ceux qu'on a aimés qui créent un vide [D] presque [Am] tangible, car l [B]'amour qu'on
leur donnait est orphelin et cherche une cible.
_ [Em] Pour certains on le savait, on s [C]'était préparé au pire.
[D] Mais d'autres ont disparu d'un seul [B] coup, sans prévenir. _
[Em] On leur a pas dit au revoir, ils sont [D] partis sans notre [Am] accord, [B] car la mort a ses raisons
que notre raison ignore.
_ [C] Alors on s'est regroupé d'un [Dbm] réconfort utopiste.
[D] A plusieurs on est plus fort, mais on [B] n'est pas moins triste. _
[E] C'est seul qu'on fait son deuil, car on [Am] est seul quand on ressent.
[G] On apprivoise la douleur et la [B] présence de nos absents.
[C] Nos absents sont toujours là, [D] à l'esprit, dans nos souvenirs, sur [G] ce film de [Ab] vacances,
sur ces photos pleines de [Am] sourires.
Nos absents nous entourent et [Gb] resteront à nos côtés.
[G] Ils reprennent vie dans nos rêves, [B] comme si de rien n'était. _
_ [Em] _ _ [Am] _ _ [C] _ _ _
_ [D] _ _ _ _ [B] _ _ _
_ [Em] _ _ _ _ [D] _ [Am] _ _
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[E] On se rassure face à la souffrance [C] qui nous serre le cou, en se disant [Dm] que là où ils
sont, ils ont sûrement moins [B] mal que nous.
[E] Alors on marche, on rit, on chante, [Am] mais leur ombre demeure dans [B] un coin de nos cerveaux,
dans un coin de notre bonheur.
_ [Em] Nous on a des projets, on [C] décide nos lendemains, on décide [G] du chemin, [D] on regarde l'avenir
entre [B] nos mains.
Et au cœur [E] de l'action, dans nos [Em] victoires ou nos [A] enfers, on imagine [B] de temps en temps
que nos absents nous voient faire. _ _
[D] [C] Chaque vie est un miracle, mais le [A] final est [D] énervant.
Je me suis bien renseigné, on n'en sortira pas [B] vivant.
Il [E] faut apprendre à l'accepter pour essayer [D] de vieillir heureux, mais chaque [G] année nos
absents sont un petit peu plus [B] nombreux. _ _
[C] Chaque nouvelle disparition [D] transforme nos cœurs en dentelles, mais [G] le temps passe
et les douleurs [Ab] vives deviennent pastelles.
[Am] Ce temps qui pour une fois est un véritable [Bb] allié, chaque heure [B] passée est une pommade.
_ Il en faudra des milliers.
_ [E] _ _ [Em] _ _ _ [C] _ _
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_ [Em] _ _ _ _ [Am] _ _ _
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[E] Moi les morts, les disparus, je [C] n'en parle pas beaucoup. _
[D] Alors j'écris sur eux, je titille mes [B] sujets tabous.
[E] Ce grand mystère qui [Em] nous attend, notre [A] ultime point commun à tous, qui [B] fait concours après
la vie, sachant que la mort est à nos trousses.
_ [E] Ce n'est pas vraiment [C] des fantômes, mais leur absence est tellement forte [D] qu'elle
crée en nous une présence qui nous rend [B] faibles ou nous supporte.
[Em] C'est ce qu'on a aimé qui crée un vide [D] presque [Am] infini, qui inspire [B] des textes premier degré. _ _
_ Il faut dire que la mort manque d'ironie. _ _
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C [Em]'est pas vraiment des [C] fantômes, mais leur absence est tellement forte, [D] qu'elle crée
en nous une présence qui nous [B] rend faibles ou nous supporte.
[Em] C'est ceux qu'on a aimés qui créent un vide [D] presque [Am] tangible, car l [B]'amour qu'on
leur donnait est orphelin et cherche une cible.
_ [Em] Pour certains on le savait, on s [C]'était préparé au pire.
[D] Mais d'autres ont disparu d'un seul [B] coup, sans prévenir. _
[Em] On leur a pas dit au revoir, ils sont [D] partis sans notre [Am] accord, [B] car la mort a ses raisons
que notre raison ignore.
_ [C] Alors on s'est regroupé d'un [Dbm] réconfort utopiste.
[D] A plusieurs on est plus fort, mais on [B] n'est pas moins triste. _
[E] C'est seul qu'on fait son deuil, car on [Am] est seul quand on ressent.
[G] On apprivoise la douleur et la [B] présence de nos absents.
[C] Nos absents sont toujours là, [D] à l'esprit, dans nos souvenirs, sur [G] ce film de [Ab] vacances,
sur ces photos pleines de [Am] sourires.
Nos absents nous entourent et [Gb] resteront à nos côtés.
[G] Ils reprennent vie dans nos rêves, [B] comme si de rien n'était. _
_ [Em] _ _ [Am] _ _ [C] _ _ _
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_ [Em] _ _ _ _ [D] _ [Am] _ _
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[E] On se rassure face à la souffrance [C] qui nous serre le cou, en se disant [Dm] que là où ils
sont, ils ont sûrement moins [B] mal que nous.
[E] Alors on marche, on rit, on chante, [Am] mais leur ombre demeure dans [B] un coin de nos cerveaux,
dans un coin de notre bonheur.
_ [Em] Nous on a des projets, on [C] décide nos lendemains, on décide [G] du chemin, [D] on regarde l'avenir
entre [B] nos mains.
Et au cœur [E] de l'action, dans nos [Em] victoires ou nos [A] enfers, on imagine [B] de temps en temps
que nos absents nous voient faire. _ _
[D] [C] Chaque vie est un miracle, mais le [A] final est [D] énervant.
Je me suis bien renseigné, on n'en sortira pas [B] vivant.
Il [E] faut apprendre à l'accepter pour essayer [D] de vieillir heureux, mais chaque [G] année nos
absents sont un petit peu plus [B] nombreux. _ _
[C] Chaque nouvelle disparition [D] transforme nos cœurs en dentelles, mais [G] le temps passe
et les douleurs [Ab] vives deviennent pastelles.
[Am] Ce temps qui pour une fois est un véritable [Bb] allié, chaque heure [B] passée est une pommade.
_ Il en faudra des milliers.
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[E] Moi les morts, les disparus, je [C] n'en parle pas beaucoup. _
[D] Alors j'écris sur eux, je titille mes [B] sujets tabous.
[E] Ce grand mystère qui [Em] nous attend, notre [A] ultime point commun à tous, qui [B] fait concours après
la vie, sachant que la mort est à nos trousses.
_ [E] Ce n'est pas vraiment [C] des fantômes, mais leur absence est tellement forte [D] qu'elle
crée en nous une présence qui nous rend [B] faibles ou nous supporte.
[Em] C'est ce qu'on a aimé qui crée un vide [D] presque [Am] infini, qui inspire [B] des textes premier degré. _ _
_ Il faut dire que la mort manque d'ironie. _ _
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