Chords for TV RTBF Jeff Bodart et Benoit Poelvoorde, 1998

Tempo:
70.425 bpm
Chords used:

G

F

C

D

Ab

Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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TV RTBF Jeff Bodart et Benoit Poelvoorde, 1998 chords
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Ici il va arriver en ligne droite Benoit Poulvorde.
[D] [G]
Merci à vous tous.
Merci beaucoup.
Alors Benoit
On m'a signalé que j'avais un trou dans mon t-shirt.
Comme ça vous le voyez, il est là.
[F] Il ne bouge pas.
Une mide de l'artébia.
Il y a une mide qui traînait ici.
On avait une mire, maintenant on a une mide.
[C] Benoit Poulvorde, merci d'être là.
Avec Jeff Baudart, vous faites la paire.
Je connais très mal Monsieur Baudet.
Vous faites [F] la paire.
Non, ça peut vous tromper.
Vous ne vous connaissez pas.
Je connais mal Monsieur Baudet.
Il est fort sympathique, j'adore le blues.
J'ai beaucoup aimé quand vous avez déclamé
tout ailleurs, « Algui et Pique la gobogle à Châtaigne ».
Je trouvais ça extrêmement bien.
[Ab] Il est [D] extraordinaire.
Pardon, blues.
Vous vous êtes connu où ?
Je n'avais pas 15 ans.
Ma mère était une femme merveilleuse.
Jean-Marc travaillait dans une boîte sordide.
Ce qu'on appelle une boîte de nuit à notre époque.
Il vendait son corps et ma foi.
C'est vrai qu'il n'a pas eu facile.
J'ai décidé de lui donner [F] un coup de pouce.
Je lui ai acheté une [G] casquette,
une vieille guitare.
Il a joué des morceaux un peu troublants.
Et voilà déjà, sur les podiums. Ça marche.
On l'a comparé à Charles Trenet.
Ah ?
On est né ? Oui.
[F] C'est pas ça que vous vouliez.
C'était pas l'effet.
Je connais mal.
Ce n'est pas un sportif.
Une collaboration avec Benoit Poelvoorde.
Poelvoorde.
De Canal+.
Une collaboration carrément dans le dernier album.
Ah oui, nous sommes très amis.
Et je n'avais pas 15 ans.
Ma mère était une femme merveilleuse.
Quelle était la question ?
Une collaboration dans le CD.
Vous faites vite.
Dans ton dernier album.
Oui, c'est vrai.
Une histoire d'amitié.
Une collaboration.
Et quelle collaboration ?
[G] Comment expliquer ? Toi, Jeff.
Des mots, des textes.
C'est une question de pognon.
Il y a eu pas mal de pognon.
Qui a volé à un moment.
Du côté de la boîte de disques.
Je lui ai dit, Jeff, ça ne t'intéresserait pas
de bosser un peu avec moi ?
Je vois un nuage de fric qui s'avance.
Je le prendrais bien.
Il y a une chose aussi qui m'a frappé.
Dans les interviews que j'ai pu lire.
[Ab] Manifestement, on sent que
Benoît Poulvourte n'a peur de rien.
La télévision, l'écran, la caméra,
le cinéma, c'est son truc.
Il n'y a qu'une chose qui fait peur
à Benoît Poulvourte.
Ce sont les scènes de baiser et les scènes de nuit.
[Gm] C'est vrai, ça ?
Quoique, dans les randonneurs,
tu as eu droit un peu.
C'était là que ça vient, à mon avis.
J'ai eu énormément de mal.
Imaginons Demi Moore dans un film.
Dans son dernier,
je lui mettrais plus vite mon poing dans la gueule.
[N] Une bonne femme qui fait l'apologie
de l'armée.
Ça, je ne comprends pas.
A Demi, je lui mettrais juste deux beignes,
un coup de l'âne, quelque chose d'un peu puissant.
Dans son avant-dernier ?
Idem.
Franchement,
Demi, non.
C'est vrai que je l'ai beaucoup aimée,
mais elle est devenue un peu vulgaire, quand même.
Je trouve.
Je l'ai appelée.
Vous savez comment est Demi ?
Elle est saute, elle [F] est folle.
Et Sharon ?
Belle, Sharon.
Mais elle se fait.
Elle est lourde.
En soirée, elle est lourde.
Elle est vulgaire et elle est lourde.
On la vit, elle soupe, elle touche à peine.
Elle fait des remarques.
Mais pour les baiser, c'est vrai.
J'ai eu [C] énormément de mal.
La première scène des randonneurs,
je vous raconte, le vieux combattant.
Je n'avais pas 15 ans.
J'avais tourné un film en Corse, un truc fort amusant,
avec des gens qui marchaient dans la montagne.
Et la première scène du film,
la toute première que j'ai tournée,
[G] je ne connaissais pas l'équipe,
parce qu'il y avait une tournododique.
La première scène que j'ai tournée.
C'était le baiser.
Le baiser dans l'aéroport.
Je l'ai vu une fois, Géraldine Pélasquitte,
une fille merveilleuse.
Je l'avais jamais rencontrée.
C'est comme si je disais aujourd'hui,
on va se rouler.
La fille n'a pas plus envie [G] que moi
de me rouler un patin.
Je n'attire pas vraiment le désir.
C'était un film qui, plus que j'étais habillé
comme un as de pique, c'était vraiment l'enfer.
Et on m'avait mis, chose épouvantable,
des sandalettes.
Des sandalettes de marcheurs allemands.
C'est-à-dire qu'on voyait mes douilles de légionnaires,
c'était immonde.
Le plan a duré 30 secondes.
Mais mes sandalettes, c'est toute la journée
que je me suis travéllé dans l'aéroport.
Et d'autres gens prenaient l'avion
et disaient, regarde mon appoule-vorde avec des sandalettes.
Je l'ai dû embrasser cette fille.
Elle a été d'une grande gentille.
Géraldine a été magnifique parce que je [C] tremblais.
Je n'avais jamais embrassé quelqu'un d'autre que mon épouse.
Qui est une femme merveilleuse.
Mon épouse est une femme
J'ai dû passer.
Toutes les scènes de lit
Je peux faire l'idiot.
Je peux faire l'imbécile.
Mais dès que ça ressemble à la réalité,
je panique un peu.
On va passer des scènes un peu déshabillées.
On va voir des images un peu dégueulasses.
Exceptionnellement ce soir
On va passer aux voix
Key:  
G
2131
F
134211111
C
3211
D
1321
Ab
134211114
G
2131
F
134211111
C
3211
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Ici il va arriver en ligne droite Benoit Poulvorde. _ _ _ _
[D] _ _ [G] _ _ _ _ _ _
Merci à vous tous.
Merci beaucoup.
_ Alors Benoit_
On m'a signalé que j'avais un trou dans mon t-shirt.
Comme ça vous le voyez, il est là.
[F] Il ne bouge pas.
Une mide de l'artébia.
Il y a une mide qui traînait ici.
On avait une mire, maintenant on a une mide.
_ [C] Benoit Poulvorde, merci d'être là.
Avec Jeff Baudart, vous faites la paire.
_ _ Je connais très mal Monsieur Baudet.
Vous faites [F] la paire.
Non, ça peut vous tromper.
Vous ne vous connaissez pas.
Je connais mal Monsieur Baudet.
Il est fort sympathique, j'adore le blues.
J'ai beaucoup aimé quand vous avez déclamé
tout ailleurs, « Algui et Pique la gobogle à Châtaigne ».
Je trouvais ça extrêmement bien.
[Ab] Il est [D] extraordinaire.
Pardon, blues. _
Vous vous êtes connu où ?
Je n'avais pas 15 ans.
Ma mère était une femme merveilleuse.
Jean-Marc _ travaillait dans une boîte sordide.
Ce qu'on appelle une boîte de nuit à notre époque.
Il vendait son corps et ma foi.
C'est vrai qu'il n'a pas eu facile.
J'ai décidé de lui donner [F] un coup de pouce.
Je lui ai acheté une [G] casquette,
une vieille guitare.
Il a joué des morceaux un peu troublants.
Et voilà déjà, sur les podiums. Ça marche.
On l'a comparé à Charles Trenet.
Ah ?
On est né ? Oui.
_ [F] C'est pas ça que vous vouliez.
C'était pas l'effet.
Je connais mal.
Ce n'est pas un sportif.
_ _ Une collaboration avec Benoit _ Poelvoorde.
Poelvoorde.
De Canal+.
Une collaboration carrément dans le dernier album.
Ah oui, nous sommes très amis.
Et je n'avais pas 15 ans.
_ Ma mère était une femme merveilleuse.
Quelle était la question ?
Une collaboration dans le CD.
Vous faites vite.
Dans ton dernier album.
_ Oui, c'est vrai.
Une histoire d'amitié.
Une collaboration.
_ Et quelle collaboration ?
[G] Comment expliquer ? Toi, Jeff. _
Des mots, des textes.
C'est une question de pognon.
_ _ Il y a eu pas mal de pognon.
Qui a volé à un moment.
Du côté de la boîte de disques.
Je lui ai dit, Jeff, ça ne t'intéresserait pas
de bosser un peu avec moi ?
Je vois un nuage de fric qui s'avance.
Je le prendrais bien.
Il y a une chose aussi qui m'a frappé.
Dans les interviews que j'ai pu lire.
[Ab] Manifestement, on sent que
Benoît Poulvourte n'a peur de rien.
La télévision, l'écran, la caméra,
le cinéma, c'est son truc.
Il n'y a qu'une chose qui fait peur
à Benoît Poulvourte.
Ce sont les scènes de baiser et les scènes de nuit.
[Gm] C'est vrai, ça ?
Quoique, dans les randonneurs,
tu as eu droit un peu.
C'était là que ça vient, à mon avis.
J'ai eu énormément de mal.
Imaginons Demi Moore dans un film.
Dans son dernier,
je lui mettrais plus vite mon poing dans la gueule. _ _
[N] Une bonne femme qui fait l'apologie
de l'armée.
Ça, je ne comprends pas.
A Demi, je lui mettrais juste deux beignes,
un coup de l'âne, quelque chose d'un peu puissant.
Dans son avant-dernier ?
Idem.
Franchement,
Demi, non.
C'est vrai que je l'ai beaucoup aimée,
mais elle est devenue un peu vulgaire, quand même.
Je trouve.
Je l'ai appelée.
Vous savez comment est Demi ?
Elle est saute, elle [F] est folle.
Et Sharon ?
Belle, Sharon.
Mais elle se fait.
Elle est lourde.
En soirée, elle est lourde.
Elle est vulgaire et elle est lourde.
On la vit, elle soupe, elle touche à peine.
Elle fait des remarques.
Mais pour les baiser, c'est vrai.
J'ai eu [C] énormément de mal.
La première scène des randonneurs,
je vous raconte, le vieux combattant.
Je n'avais pas 15 ans.
J'avais tourné un film en Corse, un truc fort amusant,
avec des gens qui marchaient dans la montagne.
Et la première scène du film,
la toute première que j'ai tournée,
[G] je ne connaissais pas l'équipe,
parce qu'il y avait une tournododique. _
La première scène que j'ai tournée.
_ C'était le baiser.
Le baiser dans l'aéroport.
Je l'ai vu une fois, Géraldine Pélasquitte,
une fille merveilleuse.
Je l'avais jamais rencontrée.
C'est comme si je disais aujourd'hui,
on va se rouler.
La fille n'a pas plus envie [G] que moi
de me rouler un patin.
Je n'attire pas vraiment le désir.
C'était un film qui, plus que j'étais habillé
comme un as de pique, c'était vraiment l'enfer.
Et on m'avait mis, chose épouvantable,
des sandalettes.
Des sandalettes de marcheurs allemands.
C'est-à-dire qu'on voyait mes douilles de légionnaires,
c'était immonde.
Le plan a duré 30 secondes.
Mais mes sandalettes, c'est toute la journée
que je me suis travéllé dans l'aéroport.
Et d'autres gens prenaient l'avion
et disaient, regarde mon appoule-vorde avec des sandalettes.
Je l'ai dû embrasser cette fille.
Elle a été d'une grande gentille.
Géraldine a été magnifique parce que je [C] tremblais.
Je n'avais jamais embrassé quelqu'un d'autre que mon épouse.
Qui est une femme merveilleuse.
Mon épouse est une femme_
J'ai dû passer.
Toutes les scènes de lit_
Je peux faire l'idiot.
Je peux faire l'imbécile.
Mais dès que ça ressemble à la réalité,
je panique un peu.
On va passer des scènes un peu déshabillées.
On va voir des images un peu dégueulasses.
Exceptionnellement ce soir_
On va passer aux voix