Chords for Shurik'n - J'lève mon verre (Audio officiel)
Tempo:
181.95 bpm
Chords used:
F
Am
A
G
Em
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Abm]
[Dbm]
[B]
[Dbm]
[Ebm]
[Abm]
[F] [Am]
[F]
[Em] [Am]
[F] Cerval dix heures d'image, fils.
[A] Je lève [Am] mon verre à ceux qui croient plus en rien,
[F] A ceux qui chaque matin s'étirent dans le brouillard
Et hutent du nez [E] dans un café [Am] noir, A ces hommes rouges rubis,
[F] A ces derniers levés de soleil qui n'ont pas de prix,
Et [A] sparvient à paix de [Am] groseille, A ces femmes qui au réveil ne [F] sentent rien
sous leurs mains, Ces mômes armés de fusils en tri,
Qui ne [C] pensent pas à demain.
[Am] Je lève mon verre à ceux qui dorment, Se [F] détolent par-ci, par-là,
Et à tous ces morts de luxe qui [A] pourrissent dans des [Am] villas,
Je lève mon verre à la naissance d'un gosse [F] qui remplit une fosse,
A ces crosses qui servent souvent de [Em] hochets ceux qui en [Am] dossent,
La connerie de l'autre et ce vôtre [F] sans rouchiner,
Comme un pigeon résigné pleurant qui [Am] ne l'a pas fait extrait,
A ces [F] pères qui se crèvent le cul pour que leur fils quitte du chit,
Et [G] ceux qui ne voient [F] pas leur franc violer les fièrches veines [A] de leur fille,
[F] A toutes ces villes fantômes tachées de corbeaux,
[G] Oeuvres d'un traité hors normes.
[F] Allez, je lève mon verre à hommes.
[Am]
Je lève [F] mon verre à hommes.
Je [Em] lève mon verre à hommes.
[Am] Je lève mon [F] verre à hommes.
[Am] Je lève mon verre à hommes.
Je lève mon [F] verre à hommes.
Je lève mon [N] verre à hommes.
Je
[C] lève mon verre à hommes.
Je lève mon verre à [F] hommes.
Je lève mon verre à ceux qui, aux cis, aux cagnards, blindés,
[G] Ceux qui croupissent à l'ombre, coincés [Em] derrière une porte blindée,
A [F] ceux qui savent mais ne ferment ces vérités sans [G] oxygène,
Ces [F] libertés bardées de chaîne et ce ventre poli qui se [Am] déchaîne,
Ces poches bons au pontoir, le regard [F] comme leur jour de terre,
Ces sourires en costume qui tuent [G] pour envirer une [Am] citerne,
A ceux qui ne voient pas la mort, [F] autrement qu'au combat,
A ceux qui croient qu'il s'en sortira [A] la chance sourire,
A ceux [Am]-là, tous mes potes présents, et à ceux déjà [F] partis,
A tous ceux qui n'ont pas voulu jouer par [Em] peur de perdre la partie,
A [Am] ces secrets souvenirs qu'on garde enfouis [F] au fond de sa tête qu'on calme,
Un coup de fumette, [A] chaque fois que l'on l [Am]'enguette,
Ses cœurs touchés, ses corps couchés, ses [F] dents pochées,
Comme une blé trop verte, maudit soit le moisson de [C] la colère,
Mon [Am] verre, je le lève aux rumeurs [F] enivrantes qui enroutent l'esprit d'un crétin hors norme,
Allez, je [A] lève mon verre à l'homme.
[Am]
[F]
[A] A [Am] tous ces gouvernements pourris, à tous leurs [F] suicidés,
A tous ceux qui sourient bêtement, à toi qui [G] jettes les dés,
Même si [Am] des fois, certains s'écrient, ça y est, c'est décidé, [F] cette fois, je le fais,
Je lève mon verre à ceux qui n'ont pas [Am] le cul peiné par les fées,
A [F] ceux qui se lebront sous le soleil, qui font leur pays [G] des merveilles,
Et ceux dont le fil est rempli d'un désir puissant de faire pareil,
A qui se sémère qu'une plaque trop [F] bien pour avoir brûlé la [G] veille,
Que sur [F] notre boule vieilletère, rien n'est plus cher que [G] l'oseille,
A [F] toutes ces palafres au sucre qu'une [G] note salée laissera,
Et la meilleure [Em] absence qui exulte, c'est qu'une moitié s'en va,
[F]
[G] [F]
[Am]
[F] A ceux qui
[Em] [Am] riolent à Tchévis, bien, [F] à ceux qui m'en veulent, ouais,
Et qui se la [A] réfléchissent et visent, bien, Je [Am] lève mon verre à ces trompes tentes,
Dans [F] leur séquence de caries, A ceux qui empeignent plein les dents,
[C] Et malgré tout les [Am] serfs, A ces 5 bitons pleins,
A ces [F] cartons par terre, A ceux qui partent pour déjammer,
[A] Car rien n'arrive que du [Am] vert, A ceux qui se croient au paradis,
Et qui ont les poils [F] qui crament à plus d'une hectare de la vie,
Et la mort [Em] s'éclate bien en [Am] usé
A ce point que le bitume d'une [F] flotte qui nourrit
va coumer vos yeux
Je [Am] lève mon verre à Rome
Au manque [F] de neurones, je vis ici
Et [Em] je suis pas [Am] catétone
[F]
[A]
[Dbm]
[B]
[Dbm]
[Ebm]
[Abm]
[F] [Am]
[F]
[Em] [Am]
[F] Cerval dix heures d'image, fils.
[A] Je lève [Am] mon verre à ceux qui croient plus en rien,
[F] A ceux qui chaque matin s'étirent dans le brouillard
Et hutent du nez [E] dans un café [Am] noir, A ces hommes rouges rubis,
[F] A ces derniers levés de soleil qui n'ont pas de prix,
Et [A] sparvient à paix de [Am] groseille, A ces femmes qui au réveil ne [F] sentent rien
sous leurs mains, Ces mômes armés de fusils en tri,
Qui ne [C] pensent pas à demain.
[Am] Je lève mon verre à ceux qui dorment, Se [F] détolent par-ci, par-là,
Et à tous ces morts de luxe qui [A] pourrissent dans des [Am] villas,
Je lève mon verre à la naissance d'un gosse [F] qui remplit une fosse,
A ces crosses qui servent souvent de [Em] hochets ceux qui en [Am] dossent,
La connerie de l'autre et ce vôtre [F] sans rouchiner,
Comme un pigeon résigné pleurant qui [Am] ne l'a pas fait extrait,
A ces [F] pères qui se crèvent le cul pour que leur fils quitte du chit,
Et [G] ceux qui ne voient [F] pas leur franc violer les fièrches veines [A] de leur fille,
[F] A toutes ces villes fantômes tachées de corbeaux,
[G] Oeuvres d'un traité hors normes.
[F] Allez, je lève mon verre à hommes.
[Am]
Je lève [F] mon verre à hommes.
Je [Em] lève mon verre à hommes.
[Am] Je lève mon [F] verre à hommes.
[Am] Je lève mon verre à hommes.
Je lève mon [F] verre à hommes.
Je lève mon [N] verre à hommes.
Je
[C] lève mon verre à hommes.
Je lève mon verre à [F] hommes.
Je lève mon verre à ceux qui, aux cis, aux cagnards, blindés,
[G] Ceux qui croupissent à l'ombre, coincés [Em] derrière une porte blindée,
A [F] ceux qui savent mais ne ferment ces vérités sans [G] oxygène,
Ces [F] libertés bardées de chaîne et ce ventre poli qui se [Am] déchaîne,
Ces poches bons au pontoir, le regard [F] comme leur jour de terre,
Ces sourires en costume qui tuent [G] pour envirer une [Am] citerne,
A ceux qui ne voient pas la mort, [F] autrement qu'au combat,
A ceux qui croient qu'il s'en sortira [A] la chance sourire,
A ceux [Am]-là, tous mes potes présents, et à ceux déjà [F] partis,
A tous ceux qui n'ont pas voulu jouer par [Em] peur de perdre la partie,
A [Am] ces secrets souvenirs qu'on garde enfouis [F] au fond de sa tête qu'on calme,
Un coup de fumette, [A] chaque fois que l'on l [Am]'enguette,
Ses cœurs touchés, ses corps couchés, ses [F] dents pochées,
Comme une blé trop verte, maudit soit le moisson de [C] la colère,
Mon [Am] verre, je le lève aux rumeurs [F] enivrantes qui enroutent l'esprit d'un crétin hors norme,
Allez, je [A] lève mon verre à l'homme.
[Am]
[F]
[A] A [Am] tous ces gouvernements pourris, à tous leurs [F] suicidés,
A tous ceux qui sourient bêtement, à toi qui [G] jettes les dés,
Même si [Am] des fois, certains s'écrient, ça y est, c'est décidé, [F] cette fois, je le fais,
Je lève mon verre à ceux qui n'ont pas [Am] le cul peiné par les fées,
A [F] ceux qui se lebront sous le soleil, qui font leur pays [G] des merveilles,
Et ceux dont le fil est rempli d'un désir puissant de faire pareil,
A qui se sémère qu'une plaque trop [F] bien pour avoir brûlé la [G] veille,
Que sur [F] notre boule vieilletère, rien n'est plus cher que [G] l'oseille,
A [F] toutes ces palafres au sucre qu'une [G] note salée laissera,
Et la meilleure [Em] absence qui exulte, c'est qu'une moitié s'en va,
[F]
[G] [F]
[Am]
[F] A ceux qui
[Em] [Am] riolent à Tchévis, bien, [F] à ceux qui m'en veulent, ouais,
Et qui se la [A] réfléchissent et visent, bien, Je [Am] lève mon verre à ces trompes tentes,
Dans [F] leur séquence de caries, A ceux qui empeignent plein les dents,
[C] Et malgré tout les [Am] serfs, A ces 5 bitons pleins,
A ces [F] cartons par terre, A ceux qui partent pour déjammer,
[A] Car rien n'arrive que du [Am] vert, A ceux qui se croient au paradis,
Et qui ont les poils [F] qui crament à plus d'une hectare de la vie,
Et la mort [Em] s'éclate bien en [Am] usé
A ce point que le bitume d'une [F] flotte qui nourrit
va coumer vos yeux
Je [Am] lève mon verre à Rome
Au manque [F] de neurones, je vis ici
Et [Em] je suis pas [Am] catétone
[F]
[A]
Key:
F
Am
A
G
Em
F
Am
A
[Abm] _ _ _ _ _ _ _ _
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_ _ _ _ _ _ _ [Dbm] _
_ _ _ _ [B] _ _ _ _
_ _ [Dbm] _ _ _ _ _ _
_ [Ebm] _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ [Abm] _ _ _ _
_ _ _ [F] _ [Am] _ _ _ _
_ [F] _ _ _ _ _ _ _
[Em] _ _ _ [Am] _ _ _ _ _
_ [F] Cerval dix heures d'image, fils. _
[A] _ _ Je lève [Am] mon verre à ceux qui croient plus en rien,
[F] A ceux qui chaque matin s'étirent dans le brouillard
Et hutent du nez [E] dans un café [Am] noir, A ces hommes rouges rubis,
[F] A ces derniers levés de soleil qui n'ont pas de prix,
Et [A] sparvient à paix de [Am] groseille, A ces femmes qui au réveil ne [F] sentent rien
sous leurs mains, Ces mômes armés de fusils en tri,
Qui ne [C] pensent pas à demain.
[Am] Je lève mon verre à ceux qui dorment, Se [F] détolent par-ci, par-là,
Et à tous ces morts de luxe qui [A] pourrissent dans des [Am] villas,
Je lève mon verre à la naissance d'un gosse [F] qui remplit une fosse,
A ces crosses qui servent souvent de [Em] hochets ceux qui en [Am] dossent,
La connerie de l'autre et ce vôtre [F] sans rouchiner,
Comme un pigeon résigné pleurant qui [Am] ne l'a pas fait extrait,
A ces [F] pères qui se crèvent le cul pour que leur fils quitte du chit,
Et [G] ceux qui ne voient [F] pas leur franc violer les fièrches veines [A] de leur fille,
[F] A toutes ces villes fantômes tachées de corbeaux,
[G] Oeuvres d'un traité hors normes.
[F] Allez, je lève mon verre à hommes.
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Je lève [F] mon verre à hommes.
_ _ _ Je [Em] lève mon verre à hommes.
[Am] _ _ _ Je lève mon [F] verre à hommes. _ _ _ _
[Am] Je lève mon verre à hommes.
_ _ _ Je lève mon [F] verre à hommes.
_ _ _ Je lève mon [N] verre à hommes.
Je _ _ _
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_ [C] lève mon verre à hommes.
Je lève mon verre à [F] hommes.
Je lève mon verre à ceux qui, aux cis, aux cagnards, blindés,
[G] Ceux qui croupissent à l'ombre, coincés [Em] derrière une porte blindée,
A [F] ceux qui savent mais ne ferment ces vérités sans [G] oxygène,
Ces [F] libertés bardées de chaîne et ce ventre poli qui se [Am] déchaîne,
Ces poches bons au pontoir, le regard [F] comme leur jour de terre,
Ces sourires en costume qui tuent [G] pour envirer une [Am] citerne,
A ceux qui ne voient pas la mort, [F] autrement qu'au combat,
A ceux qui croient qu'il s'en sortira [A] la chance sourire,
A ceux [Am]-là, tous mes potes présents, et à ceux déjà [F] partis,
A tous ceux qui n'ont pas voulu jouer par [Em] peur de perdre la partie,
A [Am] ces secrets souvenirs qu'on garde enfouis [F] au fond de sa tête qu'on calme,
Un coup de fumette, [A] chaque fois que l'on l [Am]'enguette,
Ses cœurs touchés, ses corps couchés, ses [F] dents pochées,
Comme une blé trop verte, maudit soit le moisson de [C] la colère,
Mon [Am] verre, je le lève aux rumeurs [F] enivrantes qui enroutent l'esprit d'un crétin hors norme,
Allez, je [A] lève mon verre à l'homme.
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[A] _ A [Am] tous ces gouvernements pourris, à tous leurs [F] suicidés,
A tous ceux qui sourient bêtement, à toi qui [G] jettes les dés,
Même si [Am] des fois, certains s'écrient, ça y est, c'est décidé, [F] cette fois, je le fais,
Je lève mon verre à ceux qui n'ont pas [Am] le cul peiné par les fées,
A [F] ceux qui se lebront sous le soleil, qui font leur pays [G] des merveilles,
Et ceux dont le fil est rempli d'un désir puissant de faire pareil,
A qui se sémère qu'une plaque trop [F] bien pour avoir brûlé la [G] veille,
Que sur [F] notre boule vieilletère, rien n'est plus cher que [G] l'oseille,
A [F] toutes ces palafres au sucre qu'une [G] note salée laissera,
Et la meilleure [Em] absence qui exulte, c'est qu'une moitié s'en va,
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Et qui se la [A] réfléchissent et visent, bien, Je [Am] lève mon verre à ces trompes tentes,
Dans [F] leur séquence de caries, A ceux qui empeignent plein les dents,
[C] Et malgré tout les [Am] serfs, A ces 5 bitons pleins,
A ces [F] cartons par terre, A ceux qui partent pour déjammer,
[A] Car rien n'arrive que du [Am] vert, A ceux qui se croient au paradis,
Et qui ont les poils [F] qui crament à plus d'une hectare de la vie,
Et la mort [Em] s'éclate bien en [Am] usé
A ce point que le bitume d'une [F] flotte qui nourrit
va coumer vos yeux
Je [Am] lève mon verre à Rome
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Et [Em] je suis pas [Am] catétone _ _ _ _ _
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[A] _ _ Je lève [Am] mon verre à ceux qui croient plus en rien,
[F] A ceux qui chaque matin s'étirent dans le brouillard
Et hutent du nez [E] dans un café [Am] noir, A ces hommes rouges rubis,
[F] A ces derniers levés de soleil qui n'ont pas de prix,
Et [A] sparvient à paix de [Am] groseille, A ces femmes qui au réveil ne [F] sentent rien
sous leurs mains, Ces mômes armés de fusils en tri,
Qui ne [C] pensent pas à demain.
[Am] Je lève mon verre à ceux qui dorment, Se [F] détolent par-ci, par-là,
Et à tous ces morts de luxe qui [A] pourrissent dans des [Am] villas,
Je lève mon verre à la naissance d'un gosse [F] qui remplit une fosse,
A ces crosses qui servent souvent de [Em] hochets ceux qui en [Am] dossent,
La connerie de l'autre et ce vôtre [F] sans rouchiner,
Comme un pigeon résigné pleurant qui [Am] ne l'a pas fait extrait,
A ces [F] pères qui se crèvent le cul pour que leur fils quitte du chit,
Et [G] ceux qui ne voient [F] pas leur franc violer les fièrches veines [A] de leur fille,
[F] A toutes ces villes fantômes tachées de corbeaux,
[G] Oeuvres d'un traité hors normes.
[F] Allez, je lève mon verre à hommes.
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_ _ _ Je [Em] lève mon verre à hommes.
[Am] _ _ _ Je lève mon [F] verre à hommes. _ _ _ _
[Am] Je lève mon verre à hommes.
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Je lève mon verre à [F] hommes.
Je lève mon verre à ceux qui, aux cis, aux cagnards, blindés,
[G] Ceux qui croupissent à l'ombre, coincés [Em] derrière une porte blindée,
A [F] ceux qui savent mais ne ferment ces vérités sans [G] oxygène,
Ces [F] libertés bardées de chaîne et ce ventre poli qui se [Am] déchaîne,
Ces poches bons au pontoir, le regard [F] comme leur jour de terre,
Ces sourires en costume qui tuent [G] pour envirer une [Am] citerne,
A ceux qui ne voient pas la mort, [F] autrement qu'au combat,
A ceux qui croient qu'il s'en sortira [A] la chance sourire,
A ceux [Am]-là, tous mes potes présents, et à ceux déjà [F] partis,
A tous ceux qui n'ont pas voulu jouer par [Em] peur de perdre la partie,
A [Am] ces secrets souvenirs qu'on garde enfouis [F] au fond de sa tête qu'on calme,
Un coup de fumette, [A] chaque fois que l'on l [Am]'enguette,
Ses cœurs touchés, ses corps couchés, ses [F] dents pochées,
Comme une blé trop verte, maudit soit le moisson de [C] la colère,
Mon [Am] verre, je le lève aux rumeurs [F] enivrantes qui enroutent l'esprit d'un crétin hors norme,
Allez, je [A] lève mon verre à l'homme.
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A tous ceux qui sourient bêtement, à toi qui [G] jettes les dés,
Même si [Am] des fois, certains s'écrient, ça y est, c'est décidé, [F] cette fois, je le fais,
Je lève mon verre à ceux qui n'ont pas [Am] le cul peiné par les fées,
A [F] ceux qui se lebront sous le soleil, qui font leur pays [G] des merveilles,
Et ceux dont le fil est rempli d'un désir puissant de faire pareil,
A qui se sémère qu'une plaque trop [F] bien pour avoir brûlé la [G] veille,
Que sur [F] notre boule vieilletère, rien n'est plus cher que [G] l'oseille,
A [F] toutes ces palafres au sucre qu'une [G] note salée laissera,
Et la meilleure [Em] absence qui exulte, c'est qu'une moitié s'en va,
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Et qui se la [A] réfléchissent et visent, bien, Je [Am] lève mon verre à ces trompes tentes,
Dans [F] leur séquence de caries, A ceux qui empeignent plein les dents,
[C] Et malgré tout les [Am] serfs, A ces 5 bitons pleins,
A ces [F] cartons par terre, A ceux qui partent pour déjammer,
[A] Car rien n'arrive que du [Am] vert, A ceux qui se croient au paradis,
Et qui ont les poils [F] qui crament à plus d'une hectare de la vie,
Et la mort [Em] s'éclate bien en [Am] usé
A ce point que le bitume d'une [F] flotte qui nourrit
va coumer vos yeux
Je [Am] lève mon verre à Rome
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