Chords for Richard Seguin - Hommage à Pauline Julien
Tempo:
85.45 bpm
Chords used:
D
A
G
Bm
B
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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Je peux beaucoup aimer les odeurs françaises, [C] mais ça leur appartient.
Moi ce qui m'appartient, c'est nos images d'ici, c'est notre langue d'ici.
Les odeurs [Dm] comme Maud, Idrachir, [D] Wanderet, Claude Léveillé, Georges Dord, Gilbert Langevin.
[G]
[D]
[A] [G]
[E] [D]
Je peux beaucoup aimer les odeurs [F#] françaises, mais ça leur appartient, c'est nos images d'ici, c'est [Bm] notre langue d'ici.
[D] Moi ce qui m'appartient, c'est nos images d'ici, c'est notre langue d'ici.
Les odeurs comme Maud, Idrachir, Wanderet, Claude Léveillé, Gilbert Langevin.
Je peux beaucoup aimer les odeurs françaises, mais ça leur appartient, c'est notre langue d'ici, c'est notre langue d'ici.
Le nom s'appelle sûr des [G] bouleaux, un jour on a suivi leurs traces.
On les a vus au [D] bord d'un eau, tous les bouleaux de la rivière maigre.
Tous les [A] bouleaux s'en [Bm] rappellent, la Marie [G]-Douche elle était belle.
[A] Jacques Monoloe était fringant, [D] Jacques, Jacques, Jacques, Jacques.
Disaient les canards, les perdriers, les sarcelles, [B] Monoloe, disait le vent,
[D] la Marie-Douche [D] pour un temps.
[A] [D] Monoloe, il pense à peine, la Marie-Douche [A] est au courant.
Et la rivière coule à peine, un peu plus lentement qu [D]'avant.
Tous les bouleaux de la rivière maigre, [A] tous les bouleaux s'en rappellent, la [G] Marie-Douche elle était belle.
[A] Jacques Monoloe était [D] fringant, Jacques, Jacques, Jacques, Jacques.
Disaient les canards, les perdriers, [Bm] les sarcelles, [A] Monoloe, disait [D] le vent, la Marie-Douche pour un temps.
Jacques Monoloe, Dieu est son âme, en plein soleil, [A] dimanche matin, au canot blanc, du haut de la dame, il a sauté dans son destin.
Tous les bouleaux de la rivière maigre, tous les bouleaux s'en rappellent, [Bm] la Marie-Douche elle [G] était belle.
[A]
Jacques, Jacques, Jacques, il y a des noms comme ça que le vent [Dm] vient porter à notre oreille, j'aimerais ça que vous fassiez le vent.
[A]
Jacques, Jacques, disaient les canards, les perdriers, [B] les sarcelles,
[A]
[D] la Marie-Douche pour un temps, la Marie-Douche est au village, Jacques Monoloe est [E] sur fond de l'eau,
avoir platé [A] tous les nuages, les mille hauts et les [D] canots, tous les bouleaux de la rivière maigre, tous les [A] bouleaux s [Bm]'en [G]
[A]
rappellent.
Jacques, Jacques, les perdriers et [B] les sarcelles, [A] disait [D] le vent, la Marie-Douche pour un temps.
[A]
[D]
[A]
[D]
[A]
[D]
[F#] [N] La vie de la chanson qui a fait des chansons, c'était tellement, [A#] une [D] interprétation tellement
Moi ce qui m'appartient, c'est nos images d'ici, c'est notre langue d'ici.
Les odeurs [Dm] comme Maud, Idrachir, [D] Wanderet, Claude Léveillé, Georges Dord, Gilbert Langevin.
[G]
[D]
[A] [G]
[E] [D]
Je peux beaucoup aimer les odeurs [F#] françaises, mais ça leur appartient, c'est nos images d'ici, c'est [Bm] notre langue d'ici.
[D] Moi ce qui m'appartient, c'est nos images d'ici, c'est notre langue d'ici.
Les odeurs comme Maud, Idrachir, Wanderet, Claude Léveillé, Gilbert Langevin.
Je peux beaucoup aimer les odeurs françaises, mais ça leur appartient, c'est notre langue d'ici, c'est notre langue d'ici.
Le nom s'appelle sûr des [G] bouleaux, un jour on a suivi leurs traces.
On les a vus au [D] bord d'un eau, tous les bouleaux de la rivière maigre.
Tous les [A] bouleaux s'en [Bm] rappellent, la Marie [G]-Douche elle était belle.
[A] Jacques Monoloe était fringant, [D] Jacques, Jacques, Jacques, Jacques.
Disaient les canards, les perdriers, les sarcelles, [B] Monoloe, disait le vent,
[D] la Marie-Douche [D] pour un temps.
[A] [D] Monoloe, il pense à peine, la Marie-Douche [A] est au courant.
Et la rivière coule à peine, un peu plus lentement qu [D]'avant.
Tous les bouleaux de la rivière maigre, [A] tous les bouleaux s'en rappellent, la [G] Marie-Douche elle était belle.
[A] Jacques Monoloe était [D] fringant, Jacques, Jacques, Jacques, Jacques.
Disaient les canards, les perdriers, [Bm] les sarcelles, [A] Monoloe, disait [D] le vent, la Marie-Douche pour un temps.
Jacques Monoloe, Dieu est son âme, en plein soleil, [A] dimanche matin, au canot blanc, du haut de la dame, il a sauté dans son destin.
Tous les bouleaux de la rivière maigre, tous les bouleaux s'en rappellent, [Bm] la Marie-Douche elle [G] était belle.
[A]
Jacques, Jacques, Jacques, il y a des noms comme ça que le vent [Dm] vient porter à notre oreille, j'aimerais ça que vous fassiez le vent.
[A]
Jacques, Jacques, disaient les canards, les perdriers, [B] les sarcelles,
[A]
[D] la Marie-Douche pour un temps, la Marie-Douche est au village, Jacques Monoloe est [E] sur fond de l'eau,
avoir platé [A] tous les nuages, les mille hauts et les [D] canots, tous les bouleaux de la rivière maigre, tous les [A] bouleaux s [Bm]'en [G]
[A]
rappellent.
Jacques, Jacques, les perdriers et [B] les sarcelles, [A] disait [D] le vent, la Marie-Douche pour un temps.
[A]
[D]
[A]
[D]
[A]
[D]
[F#] [N] La vie de la chanson qui a fait des chansons, c'était tellement, [A#] une [D] interprétation tellement
Key:
D
A
G
Bm
B
D
A
G
_ Je peux beaucoup aimer les odeurs françaises, [C] mais ça leur appartient.
Moi ce qui m'appartient, c'est nos images d'ici, c'est notre langue d'ici.
Les odeurs [Dm] comme Maud, Idrachir, [D] Wanderet, Claude Léveillé, Georges Dord, Gilbert Langevin. _ _ _
_ _ _ _ [G] _ _ _ _
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_ _ _ [A] _ _ _ [G] _ _
_ [E] _ _ _ [D] _ _ _ _
Je peux beaucoup aimer les odeurs [F#] _ françaises, mais ça leur appartient, c'est nos images d'ici, c'est [Bm] notre langue d'ici.
_ _ [D] Moi ce qui m'appartient, c'est nos images d'ici, c'est notre langue d'ici.
Les odeurs comme Maud, Idrachir, Wanderet, Claude Léveillé, Gilbert Langevin.
Je peux beaucoup aimer les odeurs françaises, _ _ _ _ _ _ _ mais ça leur appartient, c'est notre langue d'ici, c'est notre langue d'ici.
Le nom s'appelle sûr des [G] bouleaux, un jour on a suivi leurs traces.
On les a vus au [D] bord d'un eau, tous les bouleaux de la rivière maigre.
Tous les [A] bouleaux s'en [Bm] rappellent, la Marie [G]-Douche elle était belle.
[A] Jacques Monoloe était fringant, [D] Jacques, Jacques, Jacques, Jacques.
Disaient les canards, les perdriers, les _ sarcelles, [B] _ Monoloe, disait le vent, _
[D] _ la Marie-Douche [D] pour un temps. _ _
_ [A] _ _ _ [D] _ Monoloe, il pense à peine, la Marie-Douche [A] est au courant.
Et la rivière coule à peine, un peu plus lentement qu [D]'avant.
Tous les bouleaux de la rivière maigre, [A] tous les bouleaux s'en rappellent, la [G] Marie-Douche elle était belle.
[A] Jacques Monoloe était [D] fringant, Jacques, Jacques, Jacques, Jacques.
Disaient les canards, les perdriers, [Bm] les sarcelles, _ _ _ [A] Monoloe, _ disait [D] le vent, _ _ la Marie-Douche pour un temps.
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Jacques Monoloe, Dieu est son âme, en plein soleil, [A] dimanche matin, au canot blanc, du haut de la dame, il a sauté dans son destin.
Tous les bouleaux de la rivière maigre, tous les bouleaux s'en rappellent, [Bm] la Marie-Douche elle [G] était belle.
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Jacques, Jacques, Jacques, il y a des noms comme ça que le vent [Dm] vient porter à notre oreille, j'aimerais ça que vous fassiez le vent.
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Jacques, Jacques, disaient les canards, les perdriers, [B] les sarcelles,
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_ [D] _ _ _ la Marie-Douche pour un temps, _ _ la Marie-Douche est au village, Jacques Monoloe est [E] sur fond de l'eau,
avoir platé [A] tous les nuages, les mille hauts et les [D] canots, tous les bouleaux de la rivière maigre, tous les [A] bouleaux s _ [Bm]'en [G] _ _
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_ _ rappellent.
Jacques, Jacques, les perdriers et [B] les _ sarcelles, _ _ [A] disait _ [D] le vent, _ la Marie-Douche pour un temps.
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[F#] _ _ _ _ [N] _ _ La vie de la chanson qui a fait des chansons, c'était tellement, [A#] _ une [D] interprétation tellement
Moi ce qui m'appartient, c'est nos images d'ici, c'est notre langue d'ici.
Les odeurs [Dm] comme Maud, Idrachir, [D] Wanderet, Claude Léveillé, Georges Dord, Gilbert Langevin. _ _ _
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Je peux beaucoup aimer les odeurs [F#] _ françaises, mais ça leur appartient, c'est nos images d'ici, c'est [Bm] notre langue d'ici.
_ _ [D] Moi ce qui m'appartient, c'est nos images d'ici, c'est notre langue d'ici.
Les odeurs comme Maud, Idrachir, Wanderet, Claude Léveillé, Gilbert Langevin.
Je peux beaucoup aimer les odeurs françaises, _ _ _ _ _ _ _ mais ça leur appartient, c'est notre langue d'ici, c'est notre langue d'ici.
Le nom s'appelle sûr des [G] bouleaux, un jour on a suivi leurs traces.
On les a vus au [D] bord d'un eau, tous les bouleaux de la rivière maigre.
Tous les [A] bouleaux s'en [Bm] rappellent, la Marie [G]-Douche elle était belle.
[A] Jacques Monoloe était fringant, [D] Jacques, Jacques, Jacques, Jacques.
Disaient les canards, les perdriers, les _ sarcelles, [B] _ Monoloe, disait le vent, _
[D] _ la Marie-Douche [D] pour un temps. _ _
_ [A] _ _ _ [D] _ Monoloe, il pense à peine, la Marie-Douche [A] est au courant.
Et la rivière coule à peine, un peu plus lentement qu [D]'avant.
Tous les bouleaux de la rivière maigre, [A] tous les bouleaux s'en rappellent, la [G] Marie-Douche elle était belle.
[A] Jacques Monoloe était [D] fringant, Jacques, Jacques, Jacques, Jacques.
Disaient les canards, les perdriers, [Bm] les sarcelles, _ _ _ [A] Monoloe, _ disait [D] le vent, _ _ la Marie-Douche pour un temps.
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Jacques Monoloe, Dieu est son âme, en plein soleil, [A] dimanche matin, au canot blanc, du haut de la dame, il a sauté dans son destin.
Tous les bouleaux de la rivière maigre, tous les bouleaux s'en rappellent, [Bm] la Marie-Douche elle [G] était belle.
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Jacques, Jacques, Jacques, il y a des noms comme ça que le vent [Dm] vient porter à notre oreille, j'aimerais ça que vous fassiez le vent.
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Jacques, Jacques, disaient les canards, les perdriers, [B] les sarcelles,
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_ [D] _ _ _ la Marie-Douche pour un temps, _ _ la Marie-Douche est au village, Jacques Monoloe est [E] sur fond de l'eau,
avoir platé [A] tous les nuages, les mille hauts et les [D] canots, tous les bouleaux de la rivière maigre, tous les [A] bouleaux s _ [Bm]'en [G] _ _
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_ _ rappellent.
Jacques, Jacques, les perdriers et [B] les _ sarcelles, _ _ [A] disait _ [D] le vent, _ la Marie-Douche pour un temps.
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