Chords for Pierre Lapointe - Tel un seul homme - TRENTE
Tempo:
71.9 bpm
Chords used:
Am
G
Em
C
E
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Am]
[G] [Bm]
[Am] [G] [C]
[G] [Am]
[G] [Am]
[E] [C] [Am] Et si je vous disais que même au milieu d'une foule,
Chacun par sa solitude a le [G] cœur qui s'écroule,
Que même inondé par les regards de ceux qui nous aiment,
On ne récolte pas toujours les rêves [Am] que l'on sème.
Déjà quand la vie vient pour habiter,
Ce corps aussi petit qu [G]'inanimé,
Elle est la télune déesse gardienne,
Attroupant les solitudes [Am] par centaines.
Cette mère Marie, mère chimère de patrie,
Celle qui viendra nous arracher [G] la vie,
Celle qui comme l'enfant nous tend la main,
Pour mieux tordre le coup [Am] du destin.
Et on pleure, oui [G] on [Em] pleure, la destinée [Am] de l'homme,
Sachant combien [G] même géants, [Em] tout [Am] petits nous sommes.
La main de l'autre emmêlée dans la nôtre,
Le bleu du ciel est plus bleu que celui des [G] autres,
On sait que même le plus fidèle des apôtres,
Finira par mourir un [Am] jour ou l'autre.
Et même amitié pour toujours trouver,
Et même après une ou plusieurs [G] portées,
Elle est là qui accouvre pour nous rappeler,
Que si les hommes s'unissent, c'est pour mieux se [Am] séparer.
Cette mère Marie, mère chimère de patrie,
Celle qui viendra nous arracher [G] la vie,
Celle qui comme l'enfant nous tend la main,
Pour mieux tordre le coup du [Am] destin.
Et on pleure, oui [G] on [Em] pleure, la destinée [Am] de l'homme,
Sachant combien [G] même géants, [Em] tout [Am] petits nous sommes.
[E] [G] Car tel un seul homme, [Am] nous avançons,
[G] Vers la même lumière, [Am] vers la même frontière.
[G] Toujours elle viendra [Am] nous arracher la vie,
[G] Comme si chaque bonheur devait [Am] être puni.
Et on pleure, [G] oui on pleure, la [Em] destinée de l [Am]'homme,
Sachant combien [G] même géants, [Em] tout petits nous [Am] sommes.
[Em] [Am]
[A]
[G] [Bm]
[Am] [G] [C]
[G] [Am]
[G] [Am]
[E] [C] [Am] Et si je vous disais que même au milieu d'une foule,
Chacun par sa solitude a le [G] cœur qui s'écroule,
Que même inondé par les regards de ceux qui nous aiment,
On ne récolte pas toujours les rêves [Am] que l'on sème.
Déjà quand la vie vient pour habiter,
Ce corps aussi petit qu [G]'inanimé,
Elle est la télune déesse gardienne,
Attroupant les solitudes [Am] par centaines.
Cette mère Marie, mère chimère de patrie,
Celle qui viendra nous arracher [G] la vie,
Celle qui comme l'enfant nous tend la main,
Pour mieux tordre le coup [Am] du destin.
Et on pleure, oui [G] on [Em] pleure, la destinée [Am] de l'homme,
Sachant combien [G] même géants, [Em] tout [Am] petits nous sommes.
La main de l'autre emmêlée dans la nôtre,
Le bleu du ciel est plus bleu que celui des [G] autres,
On sait que même le plus fidèle des apôtres,
Finira par mourir un [Am] jour ou l'autre.
Et même amitié pour toujours trouver,
Et même après une ou plusieurs [G] portées,
Elle est là qui accouvre pour nous rappeler,
Que si les hommes s'unissent, c'est pour mieux se [Am] séparer.
Cette mère Marie, mère chimère de patrie,
Celle qui viendra nous arracher [G] la vie,
Celle qui comme l'enfant nous tend la main,
Pour mieux tordre le coup du [Am] destin.
Et on pleure, oui [G] on [Em] pleure, la destinée [Am] de l'homme,
Sachant combien [G] même géants, [Em] tout [Am] petits nous sommes.
[E] [G] Car tel un seul homme, [Am] nous avançons,
[G] Vers la même lumière, [Am] vers la même frontière.
[G] Toujours elle viendra [Am] nous arracher la vie,
[G] Comme si chaque bonheur devait [Am] être puni.
Et on pleure, [G] oui on pleure, la [Em] destinée de l [Am]'homme,
Sachant combien [G] même géants, [Em] tout petits nous [Am] sommes.
[Em] [Am]
[A]
Key:
Am
G
Em
C
E
Am
G
Em
[Am] _ _ _ _ _ _ _ _
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_ _ _ _ _ [G] _ _ [Bm] _
[Am] _ _ _ _ [G] _ _ _ [C] _
_ _ [G] _ _ _ [Am] _ _ _
_ [G] _ _ _ [Am] _ _ _ _
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[E] _ [C] _ _ [Am] Et si je vous disais que même au milieu d'une foule,
_ Chacun par sa solitude a le [G] cœur qui s'écroule,
Que même inondé par les regards de ceux qui nous aiment, _
On ne récolte pas toujours les rêves [Am] que l'on sème. _ _ _
_ _ Déjà quand la vie vient pour habiter,
Ce corps aussi petit qu [G]'inanimé,
Elle est la télune déesse gardienne,
Attroupant les solitudes [Am] par centaines.
_ _ _ _ Cette mère Marie, mère chimère de patrie,
Celle qui viendra nous arracher [G] la vie,
Celle qui comme l'enfant nous tend la main,
Pour mieux tordre le coup [Am] du destin. _
_ _ Et on pleure, oui [G] on [Em] pleure, la destinée [Am] de l'homme,
Sachant combien [G] même géants, [Em] tout [Am] petits nous sommes.
_ _ _ La main de l'autre emmêlée dans la nôtre,
Le bleu du ciel est plus bleu que celui des [G] autres,
On sait que même le plus fidèle des apôtres,
Finira par mourir un [Am] jour ou l'autre. _ _ _
Et même amitié pour toujours trouver,
Et même après une ou plusieurs [G] portées,
Elle est là qui accouvre pour nous rappeler,
Que si les hommes s'unissent, c'est pour mieux se [Am] séparer. _ _
_ _ Cette mère Marie, mère chimère de patrie,
Celle qui viendra nous arracher [G] la vie,
Celle qui comme l'enfant nous tend la main,
_ _ Pour mieux tordre le coup du [Am] destin.
_ _ _ Et on pleure, oui [G] on [Em] pleure, la destinée [Am] de l'homme,
Sachant combien [G] même géants, [Em] tout [Am] petits nous sommes.
_ _ _ [E] [G] Car tel un seul homme, [Am] nous avançons,
[G] Vers la même lumière, [Am] vers la même frontière.
[G] Toujours elle viendra [Am] nous arracher la vie,
[G] Comme si chaque bonheur devait [Am] être puni.
Et on pleure, [G] oui on pleure, la [Em] destinée de l [Am]'homme,
Sachant combien [G] même géants, [Em] tout petits nous [Am] sommes. _ _ _ _ _ _
[Em] _ _ _ _ [Am] _ _ _ _
_ _ [A] _ _ _ _ _ _
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_ _ _ _ _ [G] _ _ [Bm] _
[Am] _ _ _ _ [G] _ _ _ [C] _
_ _ [G] _ _ _ [Am] _ _ _
_ [G] _ _ _ [Am] _ _ _ _
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[E] _ [C] _ _ [Am] Et si je vous disais que même au milieu d'une foule,
_ Chacun par sa solitude a le [G] cœur qui s'écroule,
Que même inondé par les regards de ceux qui nous aiment, _
On ne récolte pas toujours les rêves [Am] que l'on sème. _ _ _
_ _ Déjà quand la vie vient pour habiter,
Ce corps aussi petit qu [G]'inanimé,
Elle est la télune déesse gardienne,
Attroupant les solitudes [Am] par centaines.
_ _ _ _ Cette mère Marie, mère chimère de patrie,
Celle qui viendra nous arracher [G] la vie,
Celle qui comme l'enfant nous tend la main,
Pour mieux tordre le coup [Am] du destin. _
_ _ Et on pleure, oui [G] on [Em] pleure, la destinée [Am] de l'homme,
Sachant combien [G] même géants, [Em] tout [Am] petits nous sommes.
_ _ _ La main de l'autre emmêlée dans la nôtre,
Le bleu du ciel est plus bleu que celui des [G] autres,
On sait que même le plus fidèle des apôtres,
Finira par mourir un [Am] jour ou l'autre. _ _ _
Et même amitié pour toujours trouver,
Et même après une ou plusieurs [G] portées,
Elle est là qui accouvre pour nous rappeler,
Que si les hommes s'unissent, c'est pour mieux se [Am] séparer. _ _
_ _ Cette mère Marie, mère chimère de patrie,
Celle qui viendra nous arracher [G] la vie,
Celle qui comme l'enfant nous tend la main,
_ _ Pour mieux tordre le coup du [Am] destin.
_ _ _ Et on pleure, oui [G] on [Em] pleure, la destinée [Am] de l'homme,
Sachant combien [G] même géants, [Em] tout [Am] petits nous sommes.
_ _ _ [E] [G] Car tel un seul homme, [Am] nous avançons,
[G] Vers la même lumière, [Am] vers la même frontière.
[G] Toujours elle viendra [Am] nous arracher la vie,
[G] Comme si chaque bonheur devait [Am] être puni.
Et on pleure, [G] oui on pleure, la [Em] destinée de l [Am]'homme,
Sachant combien [G] même géants, [Em] tout petits nous [Am] sommes. _ _ _ _ _ _
[Em] _ _ _ _ [Am] _ _ _ _
_ _ [A] _ _ _ _ _ _
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