Est-Ce Ainsi Que Les Hommes Vivent Chords by Philippe Léotard
Tempo:
89.75 bpm
Chords used:
F#
B
G#
C#
G#m
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
Start Jamming...
[F#]
Tout est affaire de décors, [B] changer de lit, changer de corps, à quoi bon puisque c'est
encore moi qui moi-même me trahis, moi qui me traîne [E] et m'éparpille, et mon ombre
se [B] déshabille dans les bras semblables [F#] des filles où j'ai cru trouver un pays.
Coeur léger, coeur changeant, coeur lourd, le temps de rêver est bien court, que faut-il
faire de [B] mes jours, que faut-il faire de mes nuits ?
Je n'avais amour ni demeure nulle
part où je vis ou meurs, je passais [F#] comme la rumeur, je m'endormais comme le bruit.
Est-ce ainsi que les hommes vivent et leur baiser au loin les suit ?
C'était un temps déraisonnable, on avait mis les morts à table, on faisait des châteaux
de sable, [B] on prenait les loups pour des chiens, tout changeait de peau les dépôles, la pièce
[F#] était telle ou l'on drôle, moi si j'y tenais mal mon rôle, c'était de n'y comprendre [D#m] rien.
Dans le quartier d'Hohenzollern, entre la Sarre et les casernes, [B] comme les fleurs de
la luzerne fleurissaient les seins de Lola, elle avait un coeur d'hirondelle, sur le
canapé du bordel, je [F#] venais m'allonger près d'elle, dans les hockeys du piano là.
[A#] [F#] Est-ce ainsi que les hommes vivent et leur baiser au loin les suivent [G#]
[C#] [F#] [G#] ?
[F#] [B]
[C#m] [G#]
[G#m]
[B] Le ciel était gris de nuages, il y volait des oies sauvages qui criaient la mort au
passage, au-dessus des maisons des quais, je les [G#m] voyais par la fenêtre, leur [B] chant
triste entrait dans mon nez, et je [F#] croyais y reconnaître [C#] Dieu, Reiner, Marie, Harri, Leques.
[C#m] [G#] Elle était brune et pourtant blanche, [C#] ses cheveux tombaient sur ses [B] hanches, et la semaine
le dimanche, elle ouvrait à tous ses [G] bras nuls, elle avait des yeux de faïence et travaillait
[G#m] avec vaillance pour un artilleur de [F#] maïence qui n'en est jamais revenu.
Est-ce ainsi que les hommes vivent et [G#] leur [Gm] baiser au loin les [F#] suivent ?
Il y d'autres soldats en ville, et la nuit, montent les civils, remets du rimel à tes
cillolas, qui t'en iras bientôt, [B] encore un verre de [Bm] liqueur.
C'est tout en avril à 5 heures, [F#] au petit jour que dans ton cœur, un dragon plonge
à son couteau.
Est-ce ainsi que les [D] hommes [G] vivent et leur baiser au loin les suivent [F#] ?
Comme des soleils [B] révolus.
Tout est affaire de décors, [B] changer de lit, changer de corps, à quoi bon puisque c'est
encore moi qui moi-même me trahis, moi qui me traîne [E] et m'éparpille, et mon ombre
se [B] déshabille dans les bras semblables [F#] des filles où j'ai cru trouver un pays.
Coeur léger, coeur changeant, coeur lourd, le temps de rêver est bien court, que faut-il
faire de [B] mes jours, que faut-il faire de mes nuits ?
Je n'avais amour ni demeure nulle
part où je vis ou meurs, je passais [F#] comme la rumeur, je m'endormais comme le bruit.
Est-ce ainsi que les hommes vivent et leur baiser au loin les suit ?
C'était un temps déraisonnable, on avait mis les morts à table, on faisait des châteaux
de sable, [B] on prenait les loups pour des chiens, tout changeait de peau les dépôles, la pièce
[F#] était telle ou l'on drôle, moi si j'y tenais mal mon rôle, c'était de n'y comprendre [D#m] rien.
Dans le quartier d'Hohenzollern, entre la Sarre et les casernes, [B] comme les fleurs de
la luzerne fleurissaient les seins de Lola, elle avait un coeur d'hirondelle, sur le
canapé du bordel, je [F#] venais m'allonger près d'elle, dans les hockeys du piano là.
[A#] [F#] Est-ce ainsi que les hommes vivent et leur baiser au loin les suivent [G#]
[C#] [F#] [G#] ?
[F#] [B]
[C#m] [G#]
[G#m]
[B] Le ciel était gris de nuages, il y volait des oies sauvages qui criaient la mort au
passage, au-dessus des maisons des quais, je les [G#m] voyais par la fenêtre, leur [B] chant
triste entrait dans mon nez, et je [F#] croyais y reconnaître [C#] Dieu, Reiner, Marie, Harri, Leques.
[C#m] [G#] Elle était brune et pourtant blanche, [C#] ses cheveux tombaient sur ses [B] hanches, et la semaine
le dimanche, elle ouvrait à tous ses [G] bras nuls, elle avait des yeux de faïence et travaillait
[G#m] avec vaillance pour un artilleur de [F#] maïence qui n'en est jamais revenu.
Est-ce ainsi que les hommes vivent et [G#] leur [Gm] baiser au loin les [F#] suivent ?
Il y d'autres soldats en ville, et la nuit, montent les civils, remets du rimel à tes
cillolas, qui t'en iras bientôt, [B] encore un verre de [Bm] liqueur.
C'est tout en avril à 5 heures, [F#] au petit jour que dans ton cœur, un dragon plonge
à son couteau.
Est-ce ainsi que les [D] hommes [G] vivent et leur baiser au loin les suivent [F#] ?
Comme des soleils [B] révolus.
Key:
F#
B
G#
C#
G#m
F#
B
G#
[F#] _ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
Tout est affaire de décors, [B] changer de lit, changer de corps, à quoi bon puisque c'est
encore moi qui moi-même me trahis, moi qui me traîne [E] et m'éparpille, et mon ombre
se [B] déshabille dans les bras semblables [F#] des filles où j'ai cru trouver un pays. _ _ _
_ Coeur léger, coeur changeant, coeur lourd, le temps de rêver est bien court, que faut-il
faire de [B] mes jours, que faut-il faire de mes nuits ?
Je n'avais amour ni demeure nulle
part où je vis ou meurs, je passais [F#] comme la rumeur, je m'endormais comme le bruit. _ _ _
Est-ce ainsi que les hommes vivent et leur baiser au loin les suit _ ?
_ C'était un temps déraisonnable, on avait mis les morts à table, on faisait des châteaux
de sable, [B] on prenait les loups pour des chiens, tout changeait de peau les dépôles, la pièce
[F#] était telle ou l'on drôle, moi si j'y tenais mal mon rôle, c'était de n'y comprendre [D#m] rien. _
_ _ _ Dans le quartier d'Hohenzollern, entre la Sarre et les casernes, [B] comme les fleurs de
la luzerne fleurissaient les seins de Lola, elle avait un coeur d'hirondelle, sur le
canapé du bordel, je [F#] venais m'allonger près d'elle, dans les hockeys du piano là.
[A#] _ _ [F#] Est-ce ainsi que les hommes vivent et leur baiser au loin les _ suivent _ _ _ [G#] _ _ _ _
[C#] _ [F#] _ [G#] ? _ _ _ _
_ _ [F#] _ _ _ [B] _ _ _
[C#m] _ _ _ _ [G#] _ _ _ _
_ _ _ [G#m] _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ [B] Le ciel était gris de nuages, il y volait des oies sauvages qui criaient la mort au
passage, au-dessus des maisons des quais, _ je les [G#m] voyais par la fenêtre, leur [B] chant
triste entrait dans mon nez, et je [F#] croyais y reconnaître [C#] Dieu, Reiner, Marie, Harri, Leques.
_ _ [C#m] _ [G#] Elle était brune et pourtant blanche, [C#] ses cheveux tombaient sur ses [B] hanches, et la semaine
le dimanche, elle ouvrait à tous ses [G] bras nuls, elle avait des yeux de faïence et travaillait
[G#m] avec vaillance pour un artilleur de [F#] maïence qui n'en est jamais revenu.
_ _ _ Est-ce ainsi que les hommes vivent et _ [G#] leur [Gm] baiser au loin les [F#] suivent ?
_ _ Il y d'autres soldats en ville, et la nuit, montent les civils, remets du rimel à tes
cillolas, qui t'en iras bientôt, _ [B] encore un verre de [Bm] liqueur.
C'est tout en avril à 5 heures, [F#] au petit jour que dans ton cœur, un dragon plonge
à son couteau.
_ _ _ Est-ce ainsi que les [D] hommes [G] vivent _ et leur baiser au loin les suivent [F#] _ ?
Comme des _ soleils _ [B] _ révolus.
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Tout est affaire de décors, [B] changer de lit, changer de corps, à quoi bon puisque c'est
encore moi qui moi-même me trahis, moi qui me traîne [E] et m'éparpille, et mon ombre
se [B] déshabille dans les bras semblables [F#] des filles où j'ai cru trouver un pays. _ _ _
_ Coeur léger, coeur changeant, coeur lourd, le temps de rêver est bien court, que faut-il
faire de [B] mes jours, que faut-il faire de mes nuits ?
Je n'avais amour ni demeure nulle
part où je vis ou meurs, je passais [F#] comme la rumeur, je m'endormais comme le bruit. _ _ _
Est-ce ainsi que les hommes vivent et leur baiser au loin les suit _ ?
_ C'était un temps déraisonnable, on avait mis les morts à table, on faisait des châteaux
de sable, [B] on prenait les loups pour des chiens, tout changeait de peau les dépôles, la pièce
[F#] était telle ou l'on drôle, moi si j'y tenais mal mon rôle, c'était de n'y comprendre [D#m] rien. _
_ _ _ Dans le quartier d'Hohenzollern, entre la Sarre et les casernes, [B] comme les fleurs de
la luzerne fleurissaient les seins de Lola, elle avait un coeur d'hirondelle, sur le
canapé du bordel, je [F#] venais m'allonger près d'elle, dans les hockeys du piano là.
[A#] _ _ [F#] Est-ce ainsi que les hommes vivent et leur baiser au loin les _ suivent _ _ _ [G#] _ _ _ _
[C#] _ [F#] _ [G#] ? _ _ _ _
_ _ [F#] _ _ _ [B] _ _ _
[C#m] _ _ _ _ [G#] _ _ _ _
_ _ _ [G#m] _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ [B] Le ciel était gris de nuages, il y volait des oies sauvages qui criaient la mort au
passage, au-dessus des maisons des quais, _ je les [G#m] voyais par la fenêtre, leur [B] chant
triste entrait dans mon nez, et je [F#] croyais y reconnaître [C#] Dieu, Reiner, Marie, Harri, Leques.
_ _ [C#m] _ [G#] Elle était brune et pourtant blanche, [C#] ses cheveux tombaient sur ses [B] hanches, et la semaine
le dimanche, elle ouvrait à tous ses [G] bras nuls, elle avait des yeux de faïence et travaillait
[G#m] avec vaillance pour un artilleur de [F#] maïence qui n'en est jamais revenu.
_ _ _ Est-ce ainsi que les hommes vivent et _ [G#] leur [Gm] baiser au loin les [F#] suivent ?
_ _ Il y d'autres soldats en ville, et la nuit, montent les civils, remets du rimel à tes
cillolas, qui t'en iras bientôt, _ [B] encore un verre de [Bm] liqueur.
C'est tout en avril à 5 heures, [F#] au petit jour que dans ton cœur, un dragon plonge
à son couteau.
_ _ _ Est-ce ainsi que les [D] hommes [G] vivent _ et leur baiser au loin les suivent [F#] _ ?
Comme des _ soleils _ [B] _ révolus.
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