Chords for Ne fermez pas la porte (Texte)
Tempo:
68.75 bpm
Chords used:
Gm
G
F
D
Bb
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
Start Jamming...
[Gm] [Dm]
[Gm] [D]
[Gm] [G]
[D]
[Gm]
Ne fermez pas la porte.
Ils viennent de ces chemins
[G] où les hommes et les femmes
n'ont jamais eu qu'un coin du feu.
[F] Pour y chanter la peine,
l'amour et le travail.
[Gm] Ils sont des gens
du bord de l'eau et de la terre.
Là-bas,
là-bas chez eux où la parole
[F] commence par le chant.
Là-bas, [G] où le vent de l'histoire des autres
a souvent déchiré la paix sur leurs rivages.
[Gm] Leur laissant au cœur
de vieux chagrins.
[G]
Ne fermez pas la porte.
[Gm] Ils viennent d'une mémoire
qui n'est pas racontée sur les bancs des écoles.
De ces [G] mémoires que
seules les pierres racontent encore.
Ce qu'ils ont au cœur
est sur leur [Bb] visage.
Les mots qu'ils disent sont des mots simples.
Qui parlent de vie.
De dignité.
Quand d'autres pourraient croire
que chez eux tout est perdu.
[Eb] Quand d'autres pourraient croire
que tout s'est arrêté
dans les veines de leur [F] avenir.
Un jour,
un jour on leur a dit que leur langue
n'en était [Gm] pas une.
Que leur terre était pauvre.
[G] Ils y ont consenti.
Ils n'y ont jamais cru.
Ne fermez pas la porte.
[Gm] Dans les mains,
comme un geste d'amour
du côté humble de la vie,
ils portent un bouquet de leur terre.
Pour dire tous les arbres,
toutes les forêts,
tous [F] les amours de chez eux.
[Bb] Dans les mains,
ils ont aussi une lumière.
[Cm]
[Bb] [Eb] Comme celle qui brille dans leur maison.
[F] Là où ils vivent.
Là où ils vivent.
[Gm] Au pied d'une montagne fleurie,
ornée de couronnes de pierres.
[G] Petite muraille,
empreinte des pas
de leur premier jardinier.
[Gm] Là où ils vivent.
Au cœur de ces petits villages
de pierres grises.
Leur château,
[G] qui porte des noms comme des poèmes.
Et quand ouvrent [Gm] les murailles
aux ybéses en entant au Mont Egypte.
Quand le jour se lève à Kalazim.
Leur [G] rêve à eux
parle de reconnaissance.
De fraternité.
D'humanité.
[Gm] Quand ils quittent ces châteaux là,
plus ils s'en [F] éloignent,
plus leur cœur y font retour.
Mais ce qui les lie à leur [Bb] terre,
ne les oppose pas.
A tout ce qui les lie aux hommes.
A tous les hommes.
A tous les peuples.
[Eb]
Ils ne [F] sont pas,
ils ne sont pas que différents.
Mais tellement semblables.
[Gm] Humains.
Faibles et forts à la fois.
Ne fermez pas la porte.
Ce soir,
autour du feu qui [G] réchauffe
la rencontre de soi.
La rencontre de l'autre.
Ils cherchent un [Gm] feu de joie.
La fin d'une peine.
Ils cherchent ensemble le mot,
le regard, le [G] geste.
Qui [F] pourrait faire frémir la montagne.
[Gm] Comme une réponse
à tout ce qui trahit.
Comme une réponse
[F] à tout ce qui oublie.
[Gm] Ne fermez pas la porte.
[F] [Dm]
[Eb] [Cm] Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
[D] [Gm]
[Dm] [Eb]
[Cm] [D]
[C] [Bb]
[F]
[D] [Gm] [G]
[D] [Gm]
[N]
[Gm] [D]
[Gm] [G]
[D]
[Gm]
Ne fermez pas la porte.
Ils viennent de ces chemins
[G] où les hommes et les femmes
n'ont jamais eu qu'un coin du feu.
[F] Pour y chanter la peine,
l'amour et le travail.
[Gm] Ils sont des gens
du bord de l'eau et de la terre.
Là-bas,
là-bas chez eux où la parole
[F] commence par le chant.
Là-bas, [G] où le vent de l'histoire des autres
a souvent déchiré la paix sur leurs rivages.
[Gm] Leur laissant au cœur
de vieux chagrins.
[G]
Ne fermez pas la porte.
[Gm] Ils viennent d'une mémoire
qui n'est pas racontée sur les bancs des écoles.
De ces [G] mémoires que
seules les pierres racontent encore.
Ce qu'ils ont au cœur
est sur leur [Bb] visage.
Les mots qu'ils disent sont des mots simples.
Qui parlent de vie.
De dignité.
Quand d'autres pourraient croire
que chez eux tout est perdu.
[Eb] Quand d'autres pourraient croire
que tout s'est arrêté
dans les veines de leur [F] avenir.
Un jour,
un jour on leur a dit que leur langue
n'en était [Gm] pas une.
Que leur terre était pauvre.
[G] Ils y ont consenti.
Ils n'y ont jamais cru.
Ne fermez pas la porte.
[Gm] Dans les mains,
comme un geste d'amour
du côté humble de la vie,
ils portent un bouquet de leur terre.
Pour dire tous les arbres,
toutes les forêts,
tous [F] les amours de chez eux.
[Bb] Dans les mains,
ils ont aussi une lumière.
[Cm]
[Bb] [Eb] Comme celle qui brille dans leur maison.
[F] Là où ils vivent.
Là où ils vivent.
[Gm] Au pied d'une montagne fleurie,
ornée de couronnes de pierres.
[G] Petite muraille,
empreinte des pas
de leur premier jardinier.
[Gm] Là où ils vivent.
Au cœur de ces petits villages
de pierres grises.
Leur château,
[G] qui porte des noms comme des poèmes.
Et quand ouvrent [Gm] les murailles
aux ybéses en entant au Mont Egypte.
Quand le jour se lève à Kalazim.
Leur [G] rêve à eux
parle de reconnaissance.
De fraternité.
D'humanité.
[Gm] Quand ils quittent ces châteaux là,
plus ils s'en [F] éloignent,
plus leur cœur y font retour.
Mais ce qui les lie à leur [Bb] terre,
ne les oppose pas.
A tout ce qui les lie aux hommes.
A tous les hommes.
A tous les peuples.
[Eb]
Ils ne [F] sont pas,
ils ne sont pas que différents.
Mais tellement semblables.
[Gm] Humains.
Faibles et forts à la fois.
Ne fermez pas la porte.
Ce soir,
autour du feu qui [G] réchauffe
la rencontre de soi.
La rencontre de l'autre.
Ils cherchent un [Gm] feu de joie.
La fin d'une peine.
Ils cherchent ensemble le mot,
le regard, le [G] geste.
Qui [F] pourrait faire frémir la montagne.
[Gm] Comme une réponse
à tout ce qui trahit.
Comme une réponse
[F] à tout ce qui oublie.
[Gm] Ne fermez pas la porte.
[F] [Dm]
[Eb] [Cm] Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
[D] [Gm]
[Dm] [Eb]
[Cm] [D]
[C] [Bb]
[F]
[D] [Gm] [G]
[D] [Gm]
[N]
Key:
Gm
G
F
D
Bb
Gm
G
F
_ _ _ _ [Gm] _ _ [Dm] _ _
[Gm] _ _ _ _ _ _ [D] _ _
_ _ _ _ [Gm] _ _ _ [G] _
_ _ _ _ [D] _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ [Gm] _
_ _ _ _ _ Ne fermez pas la porte. _ _ _ _ _ _ _
_ Ils viennent de ces chemins
[G] où les hommes et les femmes
n'ont jamais eu qu'un coin du feu.
[F] _ Pour y chanter la peine,
l'amour et le travail. _
[Gm] Ils sont des gens
du bord de l'eau et de la terre.
_ Là-bas,
là-bas chez eux où la parole
[F] commence par le chant.
Là-bas, [G] où le vent de l'histoire des autres
a souvent déchiré la paix sur leurs rivages.
[Gm] Leur laissant au cœur
de vieux chagrins.
_ _ _ _ _ [G] _
_ _ _ Ne fermez pas la porte. _ _
[Gm] _ _ Ils viennent d'une mémoire
qui n'est pas racontée sur les bancs des écoles. _
De ces [G] mémoires que
seules les pierres racontent encore.
_ Ce qu'ils ont au cœur
est sur leur [Bb] visage.
Les mots qu'ils disent sont des mots simples.
Qui parlent de vie.
De dignité.
Quand d'autres pourraient croire
que chez eux tout est perdu.
[Eb] _ Quand d'autres pourraient croire
que tout s'est arrêté
dans les veines de leur [F] avenir.
Un jour,
un jour on leur a dit que leur langue
n'en était [Gm] pas une.
Que leur terre était pauvre.
_ _ _ _ [G] Ils y ont consenti.
Ils n'y ont jamais cru.
Ne fermez pas la porte.
[Gm] Dans les mains,
comme un geste d'amour
du côté humble de la vie,
ils portent un bouquet de leur terre.
Pour dire tous les arbres,
toutes les forêts,
tous [F] les amours de chez eux.
[Bb] Dans les mains,
ils ont aussi une lumière.
_ [Cm] _ _
_ [Bb] _ _ _ [Eb] Comme celle qui brille dans leur maison.
_ _ [F] Là où ils vivent. _ _
Là où ils vivent.
[Gm] Au pied d'une montagne fleurie,
ornée de couronnes de pierres.
[G] Petite muraille,
empreinte des pas
de leur premier jardinier.
[Gm] Là où ils vivent.
Au cœur de ces petits villages
de pierres grises.
Leur château,
[G] qui porte des noms comme des poèmes.
Et quand ouvrent [Gm] les murailles
aux ybéses en entant au Mont Egypte.
Quand le jour se lève à Kalazim.
Leur [G] rêve à eux
parle de reconnaissance.
De fraternité.
D'humanité.
[Gm] _ Quand ils quittent ces châteaux là,
_ plus ils s'en [F] éloignent,
plus leur cœur y font retour.
Mais ce qui les lie à leur [Bb] terre,
ne les oppose pas.
A tout ce qui les lie aux hommes.
A tous les hommes.
A tous les peuples.
_ _ [Eb] _ _
_ _ Ils ne [F] sont pas,
ils ne sont pas que différents.
Mais tellement semblables.
[Gm] Humains.
Faibles et forts à la fois.
Ne fermez pas la porte.
Ce soir,
autour du feu qui [G] réchauffe
la rencontre de soi.
La rencontre de l'autre.
Ils cherchent un [Gm] feu de joie.
La fin d'une peine.
Ils cherchent ensemble le mot,
le regard, le [G] geste.
Qui [F] pourrait faire frémir la montagne.
[Gm] Comme une réponse
à tout ce qui trahit.
Comme une réponse
[F] à tout ce qui oublie.
[Gm] Ne fermez pas la porte. _ _ _ _ _
_ _ _ _ [F] _ _ [Dm] _ _
[Eb] _ _ _ [Cm] _ Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
_ [D] _ _ _ _ _ _ _ _ [Gm] _
_ _ _ _ [Dm] _ _ [Eb] _ _
[Cm] _ _ _ _ [D] _ _ _ _
_ [C] _ _ _ [Bb] _ _ _ _
_ _ _ [F] _ _ _ _ _
_ _ [D] _ _ [Gm] _ _ _ [G] _
_ [D] _ _ _ [Gm] _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ [N] _ _
[Gm] _ _ _ _ _ _ [D] _ _
_ _ _ _ [Gm] _ _ _ [G] _
_ _ _ _ [D] _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ [Gm] _
_ _ _ _ _ Ne fermez pas la porte. _ _ _ _ _ _ _
_ Ils viennent de ces chemins
[G] où les hommes et les femmes
n'ont jamais eu qu'un coin du feu.
[F] _ Pour y chanter la peine,
l'amour et le travail. _
[Gm] Ils sont des gens
du bord de l'eau et de la terre.
_ Là-bas,
là-bas chez eux où la parole
[F] commence par le chant.
Là-bas, [G] où le vent de l'histoire des autres
a souvent déchiré la paix sur leurs rivages.
[Gm] Leur laissant au cœur
de vieux chagrins.
_ _ _ _ _ [G] _
_ _ _ Ne fermez pas la porte. _ _
[Gm] _ _ Ils viennent d'une mémoire
qui n'est pas racontée sur les bancs des écoles. _
De ces [G] mémoires que
seules les pierres racontent encore.
_ Ce qu'ils ont au cœur
est sur leur [Bb] visage.
Les mots qu'ils disent sont des mots simples.
Qui parlent de vie.
De dignité.
Quand d'autres pourraient croire
que chez eux tout est perdu.
[Eb] _ Quand d'autres pourraient croire
que tout s'est arrêté
dans les veines de leur [F] avenir.
Un jour,
un jour on leur a dit que leur langue
n'en était [Gm] pas une.
Que leur terre était pauvre.
_ _ _ _ [G] Ils y ont consenti.
Ils n'y ont jamais cru.
Ne fermez pas la porte.
[Gm] Dans les mains,
comme un geste d'amour
du côté humble de la vie,
ils portent un bouquet de leur terre.
Pour dire tous les arbres,
toutes les forêts,
tous [F] les amours de chez eux.
[Bb] Dans les mains,
ils ont aussi une lumière.
_ [Cm] _ _
_ [Bb] _ _ _ [Eb] Comme celle qui brille dans leur maison.
_ _ [F] Là où ils vivent. _ _
Là où ils vivent.
[Gm] Au pied d'une montagne fleurie,
ornée de couronnes de pierres.
[G] Petite muraille,
empreinte des pas
de leur premier jardinier.
[Gm] Là où ils vivent.
Au cœur de ces petits villages
de pierres grises.
Leur château,
[G] qui porte des noms comme des poèmes.
Et quand ouvrent [Gm] les murailles
aux ybéses en entant au Mont Egypte.
Quand le jour se lève à Kalazim.
Leur [G] rêve à eux
parle de reconnaissance.
De fraternité.
D'humanité.
[Gm] _ Quand ils quittent ces châteaux là,
_ plus ils s'en [F] éloignent,
plus leur cœur y font retour.
Mais ce qui les lie à leur [Bb] terre,
ne les oppose pas.
A tout ce qui les lie aux hommes.
A tous les hommes.
A tous les peuples.
_ _ [Eb] _ _
_ _ Ils ne [F] sont pas,
ils ne sont pas que différents.
Mais tellement semblables.
[Gm] Humains.
Faibles et forts à la fois.
Ne fermez pas la porte.
Ce soir,
autour du feu qui [G] réchauffe
la rencontre de soi.
La rencontre de l'autre.
Ils cherchent un [Gm] feu de joie.
La fin d'une peine.
Ils cherchent ensemble le mot,
le regard, le [G] geste.
Qui [F] pourrait faire frémir la montagne.
[Gm] Comme une réponse
à tout ce qui trahit.
Comme une réponse
[F] à tout ce qui oublie.
[Gm] Ne fermez pas la porte. _ _ _ _ _
_ _ _ _ [F] _ _ [Dm] _ _
[Eb] _ _ _ [Cm] _ Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
_ [D] _ _ _ _ _ _ _ _ [Gm] _
_ _ _ _ [Dm] _ _ [Eb] _ _
[Cm] _ _ _ _ [D] _ _ _ _
_ [C] _ _ _ [Bb] _ _ _ _
_ _ _ [F] _ _ _ _ _
_ _ [D] _ _ [Gm] _ _ _ [G] _
_ [D] _ _ _ [Gm] _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ [N] _ _