Chords for Lucio Bukowski & Nestor Kéa (feat. Anton Serra) - Quand je toucherai le fond
Tempo:
84.05 bpm
Chords used:
F
Dm
Eb
Gm
C
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Dm] [F]
[Dm] [F]
[Gm] [F]
[Eb] [Dm]
[C] [Dm] La rouge tellement patneuse, un putain de molard à zéro,
Flalfaites de [F] dombe et d'aceo, Moi qui voulais un passé autre,
[Dm] Comment se conjuguer au futur, Mon avenir je suis passé ouf,
Frustré comme [F] un nord-coréen qui décie le style et assez ouf,
[Gm] La vaille dure, très très dure, La vie assez basse et haut,
[F] Torturé comme sa putain, Moi qui ai déjà assez ouf,
[Eb] Moment A, les passés ouf, Quand l'acier devient guimauve [Dm] et brûle,
Le rap fut d'incidence quand une [Em] personne ne dit mon,
[Dm] La molesse d'un long dimanche, Sans amis, sans sentiments,
[F] Du gouffre à quelques centimètres et un gros budget centinette,
[Dm] Le coeur vacant, le vent ridem, C'était une soirée sans dîner,
[F] Un tantinet, suicidaire comme lundi, Champour-Cantinet,
[Gm] Moment d'ypresse tout en finesse, Le bac de douze me prend d'vitesse,
[F] Les accidents peuvent s'éviter, Quand on est doux, sans mode fidèle,
[Eb] Résidus sur carte vitale, Ma vie sur le fil globinel,
[Dm] Dure finir en quarantaine, Un peu avant [C] la grande [Dm] huitaine,
Ce matin là, j'enfilerai ma plus jolie chemise,
[Fm] Déposerai mes espoirs au fond de la [Dm] remise,
Songerai à des doigts le couleur Henri [F] Matisse,
Comme jardin secret, un terrain vague que la brancombe [Gm] ratisse,
Quand je coucherai le fond, j'y trouverai [F] des rues,
Laissant des luttes sans armes sur fond de [Eb] noir Pérus,
J'embrasserai ma mère, écouterai du [Dm] Granados,
Regoutterai la mer, me noyant dans le calvados,
Ce matin là, le soleil sera ma [F] seule fortune,
Quelques regrets en guise de [Dm] seule torture,
M'assouirai dans un bar en face d'un [F] café noir,
Craterai un poème dans la pure veine de [Gm] René Char,
Repenserai à l'enfance et puis à l [F]'amitié,
Laissant chacun de mes foutus couplets sans [Eb] vérité,
Quand je toucherai le fond, comme l [Dm]'amour d'un soir,
Ce sera [C] beau comme la [Dm] mort d'un roi,
Je suis seul, comme cette main qui tâtonne le drade et le réveille,
Seul, [F] puis s'évapore ce joli minois dont je [Dm] rêvais,
Seul, tirer la gueule de dans ce mug de Kawa,
L'edge, vois le [F] postier qui s'engêne me demande si [G] ça va,
En rajoute une puis une tonne dans la boîte à sous,
Si [F] seul que le sel au fond de mon caf' n'aura d [Eb]'oucis,
Si seul, au fond de la gare, mon corps s'isole,
[Dm] Perdu au milieu de tous ces regards qui me cisèlent,
Si seul, que ma clé de sol en oublie l'arpège,
La pêche d'une soirée geek, d'un ermite en Ardèche,
La dèche, à croire que je suis seul sur ce sol [F] glissant,
Partir au taf', faire un peu de travail sans un tout [Gm] sissant,
Et se lé, lancer les perles au but [F] de mes îles,
Mon idée fixe qui sera tout homicide, [Eb] homicide sur soi-même,
Ainsi soit-il, amène le mal aise, et pour profond,
J'irai le rejoindre [Dm] quand je toucherai le fond,
Il me suffira d'un rire pour déjouer [F] mes peurs,
Ma petite monnaie en guise de fourboire pour le [Dm] passeur,
Mes idées noires derrière un front [F] plus vieux,
L'âme lourde permet de toucher le front [Gm] plus vite,
Ce matin-là j'aurai les [F] poumons pleins,
De l'eau du fleuve ces salauds de verre ne [Eb] voiront pas,
Et je flotterai dans les limbes au volant d [Dm]'Amarente,
D'un petit jour dont [C] seules les âmes sont [Dm] apparentes,
Nous serons pleins, ce sera l'hiver au bras gelé,
[F] Tous, on se retrouvera au bar se [Dm] jeter,
Encore quelques verres avant de se laisser [F] là,
C'est la tournée de la faucheuse, sa forme de [Gm] mécénat,
Ce matin-là, je manquerai à la [F] pelle,
Me disant tout droit que tout ça aura valu la [Eb] peine,
Puisque j'aurai vécu vingt [Dm] siècles,
Quand je toucherai le fond, peut-être que j'écrasserai un ciel,
Puisque j'aurai vécu vingt siècles,
Quand je toucherai le fond, peut-être que j 'écraserai un ciel
[F]
[Dm] [F]
[Gm] [F]
[Eb] [Dm]
[C] [Dm]
[Dm] [F]
[Gm] [F]
[Eb] [Dm]
[C] [Dm] La rouge tellement patneuse, un putain de molard à zéro,
Flalfaites de [F] dombe et d'aceo, Moi qui voulais un passé autre,
[Dm] Comment se conjuguer au futur, Mon avenir je suis passé ouf,
Frustré comme [F] un nord-coréen qui décie le style et assez ouf,
[Gm] La vaille dure, très très dure, La vie assez basse et haut,
[F] Torturé comme sa putain, Moi qui ai déjà assez ouf,
[Eb] Moment A, les passés ouf, Quand l'acier devient guimauve [Dm] et brûle,
Le rap fut d'incidence quand une [Em] personne ne dit mon,
[Dm] La molesse d'un long dimanche, Sans amis, sans sentiments,
[F] Du gouffre à quelques centimètres et un gros budget centinette,
[Dm] Le coeur vacant, le vent ridem, C'était une soirée sans dîner,
[F] Un tantinet, suicidaire comme lundi, Champour-Cantinet,
[Gm] Moment d'ypresse tout en finesse, Le bac de douze me prend d'vitesse,
[F] Les accidents peuvent s'éviter, Quand on est doux, sans mode fidèle,
[Eb] Résidus sur carte vitale, Ma vie sur le fil globinel,
[Dm] Dure finir en quarantaine, Un peu avant [C] la grande [Dm] huitaine,
Ce matin là, j'enfilerai ma plus jolie chemise,
[Fm] Déposerai mes espoirs au fond de la [Dm] remise,
Songerai à des doigts le couleur Henri [F] Matisse,
Comme jardin secret, un terrain vague que la brancombe [Gm] ratisse,
Quand je coucherai le fond, j'y trouverai [F] des rues,
Laissant des luttes sans armes sur fond de [Eb] noir Pérus,
J'embrasserai ma mère, écouterai du [Dm] Granados,
Regoutterai la mer, me noyant dans le calvados,
Ce matin là, le soleil sera ma [F] seule fortune,
Quelques regrets en guise de [Dm] seule torture,
M'assouirai dans un bar en face d'un [F] café noir,
Craterai un poème dans la pure veine de [Gm] René Char,
Repenserai à l'enfance et puis à l [F]'amitié,
Laissant chacun de mes foutus couplets sans [Eb] vérité,
Quand je toucherai le fond, comme l [Dm]'amour d'un soir,
Ce sera [C] beau comme la [Dm] mort d'un roi,
Je suis seul, comme cette main qui tâtonne le drade et le réveille,
Seul, [F] puis s'évapore ce joli minois dont je [Dm] rêvais,
Seul, tirer la gueule de dans ce mug de Kawa,
L'edge, vois le [F] postier qui s'engêne me demande si [G] ça va,
En rajoute une puis une tonne dans la boîte à sous,
Si [F] seul que le sel au fond de mon caf' n'aura d [Eb]'oucis,
Si seul, au fond de la gare, mon corps s'isole,
[Dm] Perdu au milieu de tous ces regards qui me cisèlent,
Si seul, que ma clé de sol en oublie l'arpège,
La pêche d'une soirée geek, d'un ermite en Ardèche,
La dèche, à croire que je suis seul sur ce sol [F] glissant,
Partir au taf', faire un peu de travail sans un tout [Gm] sissant,
Et se lé, lancer les perles au but [F] de mes îles,
Mon idée fixe qui sera tout homicide, [Eb] homicide sur soi-même,
Ainsi soit-il, amène le mal aise, et pour profond,
J'irai le rejoindre [Dm] quand je toucherai le fond,
Il me suffira d'un rire pour déjouer [F] mes peurs,
Ma petite monnaie en guise de fourboire pour le [Dm] passeur,
Mes idées noires derrière un front [F] plus vieux,
L'âme lourde permet de toucher le front [Gm] plus vite,
Ce matin-là j'aurai les [F] poumons pleins,
De l'eau du fleuve ces salauds de verre ne [Eb] voiront pas,
Et je flotterai dans les limbes au volant d [Dm]'Amarente,
D'un petit jour dont [C] seules les âmes sont [Dm] apparentes,
Nous serons pleins, ce sera l'hiver au bras gelé,
[F] Tous, on se retrouvera au bar se [Dm] jeter,
Encore quelques verres avant de se laisser [F] là,
C'est la tournée de la faucheuse, sa forme de [Gm] mécénat,
Ce matin-là, je manquerai à la [F] pelle,
Me disant tout droit que tout ça aura valu la [Eb] peine,
Puisque j'aurai vécu vingt [Dm] siècles,
Quand je toucherai le fond, peut-être que j'écrasserai un ciel,
Puisque j'aurai vécu vingt siècles,
Quand je toucherai le fond, peut-être que j 'écraserai un ciel
[F]
[Dm] [F]
[Gm] [F]
[Eb] [Dm]
[C] [Dm]
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[C] [Dm] La rouge tellement patneuse, un putain de molard à zéro,
Flalfaites de [F] dombe et d'aceo, Moi qui voulais un passé autre,
[Dm] Comment se conjuguer au futur, Mon avenir je suis passé ouf,
Frustré comme [F] un nord-coréen qui décie le style et assez ouf,
[Gm] La vaille dure, très très dure, La vie assez basse et haut,
[F] Torturé comme sa putain, Moi qui ai déjà assez ouf,
[Eb] Moment A, les passés ouf, Quand l'acier devient guimauve [Dm] et brûle,
Le rap fut d'incidence quand une [Em] personne ne dit mon,
[Dm] La molesse d'un long dimanche, Sans amis, sans sentiments,
[F] Du gouffre à quelques centimètres et un gros budget centinette,
[Dm] Le coeur vacant, le vent ridem, C'était une soirée sans dîner,
[F] Un tantinet, suicidaire comme lundi, Champour-Cantinet,
[Gm] Moment d'ypresse tout en finesse, Le bac de douze me prend d'vitesse,
[F] Les accidents peuvent s'éviter, Quand on est doux, sans mode fidèle,
[Eb] Résidus sur carte vitale, Ma vie sur le fil globinel,
[Dm] Dure finir en quarantaine, Un peu avant [C] la grande [Dm] huitaine,
Ce matin là, j'enfilerai ma plus jolie chemise,
[Fm] Déposerai mes espoirs au fond de la [Dm] remise,
Songerai à des doigts le couleur Henri [F] Matisse,
Comme jardin secret, un terrain vague que la brancombe [Gm] ratisse,
Quand je coucherai le fond, j'y trouverai [F] des rues,
Laissant des luttes sans armes sur fond de [Eb] noir Pérus,
J'embrasserai ma mère, écouterai du [Dm] Granados,
Regoutterai la mer, me noyant dans le calvados,
Ce matin là, le soleil sera ma [F] seule fortune,
Quelques regrets en guise de [Dm] seule torture,
M'assouirai dans un bar en face d'un [F] café noir,
Craterai un poème dans la pure veine de [Gm] René Char,
Repenserai à l'enfance et puis à l [F]'amitié,
Laissant chacun de mes foutus couplets sans [Eb] vérité,
Quand je toucherai le fond, comme l [Dm]'amour d'un soir,
Ce sera [C] beau comme la [Dm] mort d'un roi, _ _ _ _
Je suis seul, comme cette main qui tâtonne le drade et le réveille,
Seul, [F] puis s'évapore ce joli minois dont je [Dm] rêvais,
Seul, tirer la gueule de dans ce mug de Kawa,
L'edge, vois le [F] postier qui s'engêne me demande si [G] ça va,
En rajoute une puis une tonne dans la boîte à sous,
Si [F] seul que le sel au fond de mon caf' n'aura d [Eb]'oucis,
Si seul, au fond de la gare, mon corps s'isole,
[Dm] Perdu au milieu de tous ces regards qui me cisèlent,
Si seul, que ma clé de sol en oublie l'arpège,
La pêche d'une soirée geek, d'un ermite en Ardèche,
La dèche, à croire que je suis seul sur ce sol [F] glissant,
Partir au taf', faire un peu de travail sans un tout [Gm] sissant,
Et se lé, lancer les perles au but [F] de mes îles,
Mon idée fixe qui sera tout homicide, [Eb] homicide sur soi-même,
Ainsi soit-il, amène le mal aise, et pour profond,
J'irai le rejoindre [Dm] quand je toucherai le fond,
Il me suffira d'un rire pour déjouer [F] mes peurs,
Ma petite monnaie en guise de fourboire pour le [Dm] passeur,
Mes idées noires derrière un front [F] plus vieux,
L'âme lourde permet de toucher le front [Gm] plus vite,
Ce matin-là j'aurai les [F] poumons pleins,
De l'eau du fleuve ces salauds de verre ne [Eb] voiront pas,
Et je flotterai dans les limbes au volant d [Dm]'Amarente,
D'un petit jour dont [C] seules les âmes sont [Dm] apparentes,
Nous serons pleins, ce sera l'hiver au bras gelé,
[F] Tous, on se retrouvera au bar se [Dm] jeter,
Encore quelques verres avant de se laisser [F] là,
C'est la tournée de la faucheuse, sa forme de [Gm] mécénat,
Ce matin-là, je manquerai à la [F] pelle,
Me disant tout droit que tout ça aura valu la [Eb] peine,
Puisque j'aurai vécu vingt [Dm] siècles,
Quand je toucherai le fond, peut-être que j'écrasserai un ciel, _ _ _ _ _ _
_ _ Puisque j'aurai vécu _ _ _ _ vingt siècles,
Quand je toucherai le fond, _ _ _ _ peut-être que _ _ _ _ _ _ _ j _ _ _ _ 'écraserai _ _ _ _ _ _ un _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ ciel_
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[C] [Dm] La rouge tellement patneuse, un putain de molard à zéro,
Flalfaites de [F] dombe et d'aceo, Moi qui voulais un passé autre,
[Dm] Comment se conjuguer au futur, Mon avenir je suis passé ouf,
Frustré comme [F] un nord-coréen qui décie le style et assez ouf,
[Gm] La vaille dure, très très dure, La vie assez basse et haut,
[F] Torturé comme sa putain, Moi qui ai déjà assez ouf,
[Eb] Moment A, les passés ouf, Quand l'acier devient guimauve [Dm] et brûle,
Le rap fut d'incidence quand une [Em] personne ne dit mon,
[Dm] La molesse d'un long dimanche, Sans amis, sans sentiments,
[F] Du gouffre à quelques centimètres et un gros budget centinette,
[Dm] Le coeur vacant, le vent ridem, C'était une soirée sans dîner,
[F] Un tantinet, suicidaire comme lundi, Champour-Cantinet,
[Gm] Moment d'ypresse tout en finesse, Le bac de douze me prend d'vitesse,
[F] Les accidents peuvent s'éviter, Quand on est doux, sans mode fidèle,
[Eb] Résidus sur carte vitale, Ma vie sur le fil globinel,
[Dm] Dure finir en quarantaine, Un peu avant [C] la grande [Dm] huitaine,
Ce matin là, j'enfilerai ma plus jolie chemise,
[Fm] Déposerai mes espoirs au fond de la [Dm] remise,
Songerai à des doigts le couleur Henri [F] Matisse,
Comme jardin secret, un terrain vague que la brancombe [Gm] ratisse,
Quand je coucherai le fond, j'y trouverai [F] des rues,
Laissant des luttes sans armes sur fond de [Eb] noir Pérus,
J'embrasserai ma mère, écouterai du [Dm] Granados,
Regoutterai la mer, me noyant dans le calvados,
Ce matin là, le soleil sera ma [F] seule fortune,
Quelques regrets en guise de [Dm] seule torture,
M'assouirai dans un bar en face d'un [F] café noir,
Craterai un poème dans la pure veine de [Gm] René Char,
Repenserai à l'enfance et puis à l [F]'amitié,
Laissant chacun de mes foutus couplets sans [Eb] vérité,
Quand je toucherai le fond, comme l [Dm]'amour d'un soir,
Ce sera [C] beau comme la [Dm] mort d'un roi, _ _ _ _
Je suis seul, comme cette main qui tâtonne le drade et le réveille,
Seul, [F] puis s'évapore ce joli minois dont je [Dm] rêvais,
Seul, tirer la gueule de dans ce mug de Kawa,
L'edge, vois le [F] postier qui s'engêne me demande si [G] ça va,
En rajoute une puis une tonne dans la boîte à sous,
Si [F] seul que le sel au fond de mon caf' n'aura d [Eb]'oucis,
Si seul, au fond de la gare, mon corps s'isole,
[Dm] Perdu au milieu de tous ces regards qui me cisèlent,
Si seul, que ma clé de sol en oublie l'arpège,
La pêche d'une soirée geek, d'un ermite en Ardèche,
La dèche, à croire que je suis seul sur ce sol [F] glissant,
Partir au taf', faire un peu de travail sans un tout [Gm] sissant,
Et se lé, lancer les perles au but [F] de mes îles,
Mon idée fixe qui sera tout homicide, [Eb] homicide sur soi-même,
Ainsi soit-il, amène le mal aise, et pour profond,
J'irai le rejoindre [Dm] quand je toucherai le fond,
Il me suffira d'un rire pour déjouer [F] mes peurs,
Ma petite monnaie en guise de fourboire pour le [Dm] passeur,
Mes idées noires derrière un front [F] plus vieux,
L'âme lourde permet de toucher le front [Gm] plus vite,
Ce matin-là j'aurai les [F] poumons pleins,
De l'eau du fleuve ces salauds de verre ne [Eb] voiront pas,
Et je flotterai dans les limbes au volant d [Dm]'Amarente,
D'un petit jour dont [C] seules les âmes sont [Dm] apparentes,
Nous serons pleins, ce sera l'hiver au bras gelé,
[F] Tous, on se retrouvera au bar se [Dm] jeter,
Encore quelques verres avant de se laisser [F] là,
C'est la tournée de la faucheuse, sa forme de [Gm] mécénat,
Ce matin-là, je manquerai à la [F] pelle,
Me disant tout droit que tout ça aura valu la [Eb] peine,
Puisque j'aurai vécu vingt [Dm] siècles,
Quand je toucherai le fond, peut-être que j'écrasserai un ciel, _ _ _ _ _ _
_ _ Puisque j'aurai vécu _ _ _ _ vingt siècles,
Quand je toucherai le fond, _ _ _ _ peut-être que _ _ _ _ _ _ _ j _ _ _ _ 'écraserai _ _ _ _ _ _ un _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
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