Le Grand Coureur Chords by Luc Arbogast
Tempo:
121.9 bpm
Chords used:
Gm
F
Cm
Dm
Bb
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
Start Jamming...
[G]
Le corsaire, le grand coureur, est un navire de malheur, quand il s'en va en croisière
pour aller chasser l'anglais.
Le vent, la mer et la guerre tournent contre le français.
[Gm]
Il est parti de l'Orient avec belle mer et bon vent, et s'inglaise à bord un mur,
naviguant comme un poisson.
Un grain [Cm] tombe sur [F] sa mâture, quand le [Gm] corsaire en ponton.
[F] [Gm]
[F] [Gm] Il est fallu remonter les boucles de membre linguée, tandis que l'ouvrage avance, au
cim' y a le pain qui borde.
Un [Cm] navire d [F] 'apparence [Dm] ramonte les [Gm] deux savants.
[F] [Gm]
[F] [Gm] C'était un anglais vraiment, à double rangée dedans, un marchand de mort suffite, mais
le français n'a pas peur, au lieu de brasser [Dm] en fuite, nous leur en [Gm] jouons à l [Bb]'honneur.
[F] [Gm]
[F] [Gm] Les mules pleuvent sur nous, nous lui rendons tout pour tout, pendant que la barbe en fume
à nos bras peut maintenir l'eau.
Dans un [Cm] gros bouchon [F] de brume, [Dm] il nous [Gm] échappe au
citron.
[Bb]
[F] [Gm]
[F] [Gm] Nos pieds au bout de six mois, ont pu se monter à trois.
Un navire plein de
patates, plus qu'à moitié chaliré, un [Cm] deuxième de [F] tabattes [Dm] et le dernier [Gm] de plumier.
[F] [Gm]
[F] [Gm] Pour nous refaire des combats, nous avions à nos repas, des gourgannes et du lard,
on se du vinaigre au lieu du vin, des biscuits [Cm]
fourris [Dm] d'avance, et du campre [Gm] le matin.
[Bb]
[F] [Gm]
[F] [Gm]
[Cm]
[F] [Gm]
[F] [Gm]
Pour finir ce triste sort, nous venons périr au fort, dans cette affreuse misère, quand
chacun s'est vu perdu, chacun [Cm] seul, on se bat [F] à la bière, [Dm] c'est sauvé comme [Gm] il a
[Bb]
[F] [Gm]
[F] failli.
[Gm] Le capitaine et son second, sont sauvés sur un canon, le grand maître sur la grande
encre, le comit dans son bidon, à le [Cm] sacré [F] vilain gant, [Dm] le voleur de [Gm] rations.
[F] [Gm]
[F] [Gm] Il eut fallu
avoir le coq, et sa cuiserie et son croc, il s'est mis dans la chaudière, comme un vilain
pote au feu, il est parti, vent [Bb] arrière, à périr au feu [Gm] de Dieu.
[F] [Gm]
[F] [Gm] Mais notre horrible malheur, c'est le calface et l'auteur, en tombant de la grande une
sous le caillard d'avant, arrondit [Cm] dans la [F] campure, a crevé le [Gm] bâtiment.
[F] [Gm]
[F] [Gm]
[F] [Gm]
[F] [Gm] Chez l'histoire du grand coureur, à plus vous nous touchez le coeur, payez d'nouvelles
manières, et payez nous largement, du vin, du [Ab] râle, de [F] la bière, [Dm] de l'amour aux [Gm] quatre vents.
[F] [Gm]
[Dm] [Gm]
[N]
Le corsaire, le grand coureur, est un navire de malheur, quand il s'en va en croisière
pour aller chasser l'anglais.
Le vent, la mer et la guerre tournent contre le français.
[Gm]
Il est parti de l'Orient avec belle mer et bon vent, et s'inglaise à bord un mur,
naviguant comme un poisson.
Un grain [Cm] tombe sur [F] sa mâture, quand le [Gm] corsaire en ponton.
[F] [Gm]
[F] [Gm] Il est fallu remonter les boucles de membre linguée, tandis que l'ouvrage avance, au
cim' y a le pain qui borde.
Un [Cm] navire d [F] 'apparence [Dm] ramonte les [Gm] deux savants.
[F] [Gm]
[F] [Gm] C'était un anglais vraiment, à double rangée dedans, un marchand de mort suffite, mais
le français n'a pas peur, au lieu de brasser [Dm] en fuite, nous leur en [Gm] jouons à l [Bb]'honneur.
[F] [Gm]
[F] [Gm] Les mules pleuvent sur nous, nous lui rendons tout pour tout, pendant que la barbe en fume
à nos bras peut maintenir l'eau.
Dans un [Cm] gros bouchon [F] de brume, [Dm] il nous [Gm] échappe au
citron.
[Bb]
[F] [Gm]
[F] [Gm] Nos pieds au bout de six mois, ont pu se monter à trois.
Un navire plein de
patates, plus qu'à moitié chaliré, un [Cm] deuxième de [F] tabattes [Dm] et le dernier [Gm] de plumier.
[F] [Gm]
[F] [Gm] Pour nous refaire des combats, nous avions à nos repas, des gourgannes et du lard,
on se du vinaigre au lieu du vin, des biscuits [Cm]
fourris [Dm] d'avance, et du campre [Gm] le matin.
[Bb]
[F] [Gm]
[F] [Gm]
[Cm]
[F] [Gm]
[F] [Gm]
Pour finir ce triste sort, nous venons périr au fort, dans cette affreuse misère, quand
chacun s'est vu perdu, chacun [Cm] seul, on se bat [F] à la bière, [Dm] c'est sauvé comme [Gm] il a
[Bb]
[F] [Gm]
[F] failli.
[Gm] Le capitaine et son second, sont sauvés sur un canon, le grand maître sur la grande
encre, le comit dans son bidon, à le [Cm] sacré [F] vilain gant, [Dm] le voleur de [Gm] rations.
[F] [Gm]
[F] [Gm] Il eut fallu
avoir le coq, et sa cuiserie et son croc, il s'est mis dans la chaudière, comme un vilain
pote au feu, il est parti, vent [Bb] arrière, à périr au feu [Gm] de Dieu.
[F] [Gm]
[F] [Gm] Mais notre horrible malheur, c'est le calface et l'auteur, en tombant de la grande une
sous le caillard d'avant, arrondit [Cm] dans la [F] campure, a crevé le [Gm] bâtiment.
[F] [Gm]
[F] [Gm]
[F] [Gm]
[F] [Gm] Chez l'histoire du grand coureur, à plus vous nous touchez le coeur, payez d'nouvelles
manières, et payez nous largement, du vin, du [Ab] râle, de [F] la bière, [Dm] de l'amour aux [Gm] quatre vents.
[F] [Gm]
[Dm] [Gm]
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Key:
Gm
F
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_ _ _ _ Le corsaire, le grand coureur, est un navire de malheur, quand il s'en va en croisière
pour aller chasser l'anglais.
Le vent, la mer et la guerre tournent contre le français. _
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_ _ _ _ Il est parti de l'Orient avec belle mer et bon vent, et s'inglaise à bord un mur,
naviguant comme un poisson.
Un grain [Cm] tombe sur [F] sa mâture, quand le [Gm] corsaire en ponton. _
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_ [F] _ _ _ [Gm] Il est fallu remonter les boucles de membre linguée, tandis que l'ouvrage avance, au
cim' y a le pain qui borde.
Un [Cm] navire d [F] _ 'apparence [Dm] ramonte les [Gm] deux savants. _
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_ [F] _ _ [Gm] C'était un anglais vraiment, à double rangée dedans, un marchand de mort suffite, mais
le français n'a pas peur, au lieu de brasser [Dm] en fuite, nous leur en [Gm] jouons à l [Bb]'honneur.
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_ [F] _ _ _ [Gm] Les mules pleuvent sur nous, nous lui rendons tout pour tout, pendant que la barbe en fume
à nos bras peut maintenir l'eau.
Dans un [Cm] gros bouchon [F] de brume, [Dm] il nous [Gm] échappe au
citron.
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_ [F] _ _ _ [Gm] Nos pieds au bout de six mois, ont pu se monter à trois.
Un navire plein de
patates, plus qu'à moitié chaliré, un [Cm] deuxième de [F] tabattes [Dm] et le dernier [Gm] de plumier. _
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_ [F] _ _ _ [Gm] Pour nous refaire des combats, nous avions à nos repas, des gourgannes et du lard,
on se du vinaigre au lieu du vin, des biscuits [Cm]
fourris [Dm] d'avance, et du campre [Gm] le matin.
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_ _ _ _ Pour finir ce triste sort, nous venons périr au fort, dans cette affreuse misère, quand
chacun s'est vu perdu, chacun [Cm] seul, on se bat [F] à la bière, [Dm] c'est sauvé comme [Gm] il a
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[Gm] Le capitaine et son second, sont sauvés sur un canon, le grand maître sur la grande
encre, le comit dans son bidon, à le [Cm] sacré [F] vilain gant, [Dm] le voleur de [Gm] rations. _
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_ [F] _ _ [Gm] _ Il eut fallu
avoir le coq, et sa cuiserie et son croc, il s'est mis dans la chaudière, comme un vilain
pote au feu, il est parti, vent [Bb] arrière, à périr au feu [Gm] de Dieu. _
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_ [F] _ _ [Gm] _ Mais notre horrible malheur, c'est le calface et l'auteur, en tombant de la grande une
sous le caillard d'avant, arrondit [Cm] dans la [F] campure, a crevé le [Gm] bâtiment. _
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manières, et payez nous largement, du vin, du [Ab] râle, de [F] la bière, [Dm] de l'amour aux [Gm] quatre vents.
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_ _ _ _ Le corsaire, le grand coureur, est un navire de malheur, quand il s'en va en croisière
pour aller chasser l'anglais.
Le vent, la mer et la guerre tournent contre le français. _
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_ _ _ _ Il est parti de l'Orient avec belle mer et bon vent, et s'inglaise à bord un mur,
naviguant comme un poisson.
Un grain [Cm] tombe sur [F] sa mâture, quand le [Gm] corsaire en ponton. _
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_ [F] _ _ _ [Gm] Il est fallu remonter les boucles de membre linguée, tandis que l'ouvrage avance, au
cim' y a le pain qui borde.
Un [Cm] navire d [F] _ 'apparence [Dm] ramonte les [Gm] deux savants. _
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_ [F] _ _ [Gm] C'était un anglais vraiment, à double rangée dedans, un marchand de mort suffite, mais
le français n'a pas peur, au lieu de brasser [Dm] en fuite, nous leur en [Gm] jouons à l [Bb]'honneur.
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_ [F] _ _ _ [Gm] Les mules pleuvent sur nous, nous lui rendons tout pour tout, pendant que la barbe en fume
à nos bras peut maintenir l'eau.
Dans un [Cm] gros bouchon [F] de brume, [Dm] il nous [Gm] échappe au
citron.
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_ [F] _ _ _ [Gm] Nos pieds au bout de six mois, ont pu se monter à trois.
Un navire plein de
patates, plus qu'à moitié chaliré, un [Cm] deuxième de [F] tabattes [Dm] et le dernier [Gm] de plumier. _
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_ [F] _ _ _ [Gm] Pour nous refaire des combats, nous avions à nos repas, des gourgannes et du lard,
on se du vinaigre au lieu du vin, des biscuits [Cm]
fourris [Dm] d'avance, et du campre [Gm] le matin.
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chacun s'est vu perdu, chacun [Cm] seul, on se bat [F] à la bière, [Dm] c'est sauvé comme [Gm] il a
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_ [F] _ failli.
[Gm] Le capitaine et son second, sont sauvés sur un canon, le grand maître sur la grande
encre, le comit dans son bidon, à le [Cm] sacré [F] vilain gant, [Dm] le voleur de [Gm] rations. _
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_ [F] _ _ [Gm] _ Il eut fallu
avoir le coq, et sa cuiserie et son croc, il s'est mis dans la chaudière, comme un vilain
pote au feu, il est parti, vent [Bb] arrière, à périr au feu [Gm] de Dieu. _
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_ [F] _ _ [Gm] _ Mais notre horrible malheur, c'est le calface et l'auteur, en tombant de la grande une
sous le caillard d'avant, arrondit [Cm] dans la [F] campure, a crevé le [Gm] bâtiment. _
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manières, et payez nous largement, du vin, du [Ab] râle, de [F] la bière, [Dm] de l'amour aux [Gm] quatre vents.
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