Chords for Les oiseaux de passage - Maxime Le Forestier
Tempo:
98.4 bpm
Chords used:
D
Bb
A
G
Dm
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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Ô vie heureuse des bourgeois, qu'avril [C]
bourgeonne,
Ou que [Bb] décembre gèle, ils sont [D] fiers et contents,
Ce pigeon est aimé, trois jours [C] par ce pigeon,
Ça lui suffit, il sait [E] que l'amour [D] n'a qu'un temps.
Ce dindon est toujours béni [G] sa destinée,
[E] Et quand vient le moment de mourir,
[D] Il faut voir cette genoua en pleurs,
[Dm] C'est là [D] que je suis né, je meurs près de ma mère,
Et je fais mon devoir, [Dm] elle [D] a fait son devoir,
C'est [D] à dire que, en cœur, elle n'eut de [Bb] souhaits impossibles,
Elle n [G]'eut aucun rêve [D] de lune, aucun désir de joncheur,
L [Bb]'emportant sera mort [D] sur un fleuve inconnu,
Mais tous sont ainsi faits, vivre la même vie,
Toujours pour [Bb] ces gens-là, cela n'est [D] point hideux,
Ce canard n'a qu [Bb]'un but, il n'eut jamais [A] envie,
Nous ne donnons [G] plus à boire, [A] ou bien dans la [D] boîte,
Voir aucun besoin de baiser sur les lèvres,
Et loin [Bb] des songevins, loin des soucis [D] cuisants,
Possédés pour tout cœur, un viscère sans fièvre,
Un coucou [Bb]
régulier, [D] et garantie dix ans,
Où les gens bienheureux, d'un coup dans l'espace,
Si haut qu'ils semblent aller lentement,
Un grand vol en forme de triomphe,
Arrivent plein les prasses, où sont-ils, qui sont-ils,
Comme ils sont loin du sol,
Regardez les passer, eux, ce sont les sauvages,
Ils vont tout leur [Bb] désir neveux,
[D] Par-dessus monts, et bois, et mer, et vent,
Et loin des esclareges, l'air qu'ils boivent,
Ferait éclater vos poumons,
Gardez-les avant d'atteindre sa chimère,
Plus d'un lèvre [Bb] rompu, et du [D] sang plein des yeux,
Mourra ces [Bb] pauvres gens,
T [A]'aussi femmes et mères, et [Gm] ça va les aimer,
[A] Aussi bien [D] que vous, rejoignez cette femme,
Et nourrir cette mère,
Ils pouvaient [Bb] devenir volailles, [D] comme vous,
Mais ils sont avant tout, les fils de la chimère,
Les assoiffés d'azur, les poètes des fous,
Regardez les vieux coques, jeunes noirs édifiantes,
Rien de vous ne [Gm] pourra monter aussi [D] haut que,
Et le peu qui viendra, deux à vous, c'est leur fiente,
Les bourgeois sont troublés, de voir passer les gueules,
Regardez les vieux [Dm] coques, jeunes [D] noirs édifiantes,
Rien de vous [Bb] ne pourra monter aussi [D] haut que,
Et le peu qui [Bb] viendra, deux à vous, [A] c'est leur fiente,
Les bourgeois [Gm] sont troublés, de [A] voir passer [D] les gueules.
[N]
bourgeonne,
Ou que [Bb] décembre gèle, ils sont [D] fiers et contents,
Ce pigeon est aimé, trois jours [C] par ce pigeon,
Ça lui suffit, il sait [E] que l'amour [D] n'a qu'un temps.
Ce dindon est toujours béni [G] sa destinée,
[E] Et quand vient le moment de mourir,
[D] Il faut voir cette genoua en pleurs,
[Dm] C'est là [D] que je suis né, je meurs près de ma mère,
Et je fais mon devoir, [Dm] elle [D] a fait son devoir,
C'est [D] à dire que, en cœur, elle n'eut de [Bb] souhaits impossibles,
Elle n [G]'eut aucun rêve [D] de lune, aucun désir de joncheur,
L [Bb]'emportant sera mort [D] sur un fleuve inconnu,
Mais tous sont ainsi faits, vivre la même vie,
Toujours pour [Bb] ces gens-là, cela n'est [D] point hideux,
Ce canard n'a qu [Bb]'un but, il n'eut jamais [A] envie,
Nous ne donnons [G] plus à boire, [A] ou bien dans la [D] boîte,
Voir aucun besoin de baiser sur les lèvres,
Et loin [Bb] des songevins, loin des soucis [D] cuisants,
Possédés pour tout cœur, un viscère sans fièvre,
Un coucou [Bb]
régulier, [D] et garantie dix ans,
Où les gens bienheureux, d'un coup dans l'espace,
Si haut qu'ils semblent aller lentement,
Un grand vol en forme de triomphe,
Arrivent plein les prasses, où sont-ils, qui sont-ils,
Comme ils sont loin du sol,
Regardez les passer, eux, ce sont les sauvages,
Ils vont tout leur [Bb] désir neveux,
[D] Par-dessus monts, et bois, et mer, et vent,
Et loin des esclareges, l'air qu'ils boivent,
Ferait éclater vos poumons,
Gardez-les avant d'atteindre sa chimère,
Plus d'un lèvre [Bb] rompu, et du [D] sang plein des yeux,
Mourra ces [Bb] pauvres gens,
T [A]'aussi femmes et mères, et [Gm] ça va les aimer,
[A] Aussi bien [D] que vous, rejoignez cette femme,
Et nourrir cette mère,
Ils pouvaient [Bb] devenir volailles, [D] comme vous,
Mais ils sont avant tout, les fils de la chimère,
Les assoiffés d'azur, les poètes des fous,
Regardez les vieux coques, jeunes noirs édifiantes,
Rien de vous ne [Gm] pourra monter aussi [D] haut que,
Et le peu qui viendra, deux à vous, c'est leur fiente,
Les bourgeois sont troublés, de voir passer les gueules,
Regardez les vieux [Dm] coques, jeunes [D] noirs édifiantes,
Rien de vous [Bb] ne pourra monter aussi [D] haut que,
Et le peu qui [Bb] viendra, deux à vous, [A] c'est leur fiente,
Les bourgeois [Gm] sont troublés, de [A] voir passer [D] les gueules.
[N]
Key:
D
Bb
A
G
Dm
D
Bb
A
_ Ô vie heureuse des bourgeois, qu'avril [C]
bourgeonne,
Ou que [Bb] décembre gèle, ils sont [D] fiers et contents,
Ce pigeon est aimé, trois jours [C] par ce pigeon,
_ Ça lui suffit, il sait [E] que l'amour [D] n'a qu'un temps. _ _ _ _
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_ _ _ _ _ Ce dindon est toujours _ béni [G] sa destinée,
_ [E] Et quand vient le moment de mourir,
[D] Il faut voir cette genoua en pleurs,
[Dm] C'est là [D] que je suis né, je meurs près de ma mère,
Et je fais mon devoir, [Dm] _ elle [D] a fait son devoir,
C'est [D] à dire que, en cœur, elle n'eut de [Bb] souhaits impossibles,
Elle n [G]'eut aucun rêve [D] de lune, aucun désir de joncheur,
L [Bb]'emportant sera mort [D] sur un fleuve inconnu,
Mais tous sont ainsi faits, vivre la même vie,
_ Toujours pour [Bb] ces gens-là, cela n'est [D] point hideux,
Ce canard n'a qu [Bb]'un but, il n'eut jamais [A] envie,
_ Nous ne donnons [G] plus à boire, [A] ou bien dans la [D] boîte, _ _ _ _
_ _ _ _ _ Voir aucun besoin de baiser sur les lèvres,
Et loin [Bb] des songevins, loin des soucis [D] cuisants,
Possédés pour tout cœur, un viscère sans fièvre,
Un coucou [Bb]
régulier, [D] et garantie dix ans,
_ Où les gens bienheureux, d'un coup dans l'espace,
Si haut qu'ils semblent aller lentement,
Un grand vol en forme de _ triomphe,
Arrivent plein les prasses, où sont-ils, qui sont-ils,
Comme ils sont loin du sol,
_ Regardez les passer, eux, ce sont les sauvages,
_ Ils vont tout leur [Bb] désir neveux,
[D] Par-dessus monts, et bois, et mer, et vent,
_ Et loin des esclareges, l'air qu'ils boivent,
Ferait éclater vos poumons,
_ _ Gardez-les avant d'atteindre sa chimère,
Plus d'un lèvre [Bb] rompu, et du [D] sang plein des yeux,
Mourra ces [Bb] pauvres gens,
T [A]'aussi femmes et mères, et [Gm] ça va les aimer,
[A] Aussi bien [D] que vous, _ _ rejoignez cette femme,
Et nourrir cette mère,
Ils pouvaient [Bb] devenir volailles, [D] comme vous,
Mais ils sont avant tout, les fils de la chimère,
Les assoiffés d'azur, les poètes des fous,
_ _ Regardez les vieux coques, jeunes noirs édifiantes,
_ Rien de vous ne [Gm] pourra monter aussi [D] haut que,
Et le peu qui viendra, deux à vous, c'est leur fiente,
Les bourgeois sont troublés, de voir passer les gueules,
_ Regardez les vieux [Dm] coques, jeunes [D] noirs édifiantes, _
Rien de vous [Bb] ne pourra monter aussi [D] haut que,
Et le peu qui [Bb] viendra, _ deux à vous, [A] c'est leur fiente,
Les bourgeois [Gm] sont troublés, de [A] voir passer [D] les gueules.
_ _ _ _ _ [N] _ _ _ _ _ _ _ _ _
bourgeonne,
Ou que [Bb] décembre gèle, ils sont [D] fiers et contents,
Ce pigeon est aimé, trois jours [C] par ce pigeon,
_ Ça lui suffit, il sait [E] que l'amour [D] n'a qu'un temps. _ _ _ _
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_ _ _ _ _ Ce dindon est toujours _ béni [G] sa destinée,
_ [E] Et quand vient le moment de mourir,
[D] Il faut voir cette genoua en pleurs,
[Dm] C'est là [D] que je suis né, je meurs près de ma mère,
Et je fais mon devoir, [Dm] _ elle [D] a fait son devoir,
C'est [D] à dire que, en cœur, elle n'eut de [Bb] souhaits impossibles,
Elle n [G]'eut aucun rêve [D] de lune, aucun désir de joncheur,
L [Bb]'emportant sera mort [D] sur un fleuve inconnu,
Mais tous sont ainsi faits, vivre la même vie,
_ Toujours pour [Bb] ces gens-là, cela n'est [D] point hideux,
Ce canard n'a qu [Bb]'un but, il n'eut jamais [A] envie,
_ Nous ne donnons [G] plus à boire, [A] ou bien dans la [D] boîte, _ _ _ _
_ _ _ _ _ Voir aucun besoin de baiser sur les lèvres,
Et loin [Bb] des songevins, loin des soucis [D] cuisants,
Possédés pour tout cœur, un viscère sans fièvre,
Un coucou [Bb]
régulier, [D] et garantie dix ans,
_ Où les gens bienheureux, d'un coup dans l'espace,
Si haut qu'ils semblent aller lentement,
Un grand vol en forme de _ triomphe,
Arrivent plein les prasses, où sont-ils, qui sont-ils,
Comme ils sont loin du sol,
_ Regardez les passer, eux, ce sont les sauvages,
_ Ils vont tout leur [Bb] désir neveux,
[D] Par-dessus monts, et bois, et mer, et vent,
_ Et loin des esclareges, l'air qu'ils boivent,
Ferait éclater vos poumons,
_ _ Gardez-les avant d'atteindre sa chimère,
Plus d'un lèvre [Bb] rompu, et du [D] sang plein des yeux,
Mourra ces [Bb] pauvres gens,
T [A]'aussi femmes et mères, et [Gm] ça va les aimer,
[A] Aussi bien [D] que vous, _ _ rejoignez cette femme,
Et nourrir cette mère,
Ils pouvaient [Bb] devenir volailles, [D] comme vous,
Mais ils sont avant tout, les fils de la chimère,
Les assoiffés d'azur, les poètes des fous,
_ _ Regardez les vieux coques, jeunes noirs édifiantes,
_ Rien de vous ne [Gm] pourra monter aussi [D] haut que,
Et le peu qui viendra, deux à vous, c'est leur fiente,
Les bourgeois sont troublés, de voir passer les gueules,
_ Regardez les vieux [Dm] coques, jeunes [D] noirs édifiantes, _
Rien de vous [Bb] ne pourra monter aussi [D] haut que,
Et le peu qui [Bb] viendra, _ deux à vous, [A] c'est leur fiente,
Les bourgeois [Gm] sont troublés, de [A] voir passer [D] les gueules.
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