Chords for Les oiseaux de passage
Tempo:
112.6 bpm
Chords used:
C
Bb
A
Dm
D
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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Ô vie heureuse des bourgeois, qu'Avril [C]
bourgeonne,
Ou que [Bb] décembre gèle, ils sont fiers [A] et contents.
Ce [Dm] pigeon est aimé, droit jour, par sa [C] pigeonne,
Ça [Bb] lui suffit, il sait [A] que l'amour n [Dm]'a qu'un temps.
Ce dindon a toujours béni [C] sa destinée,
Et quand vient le [Bb] moment de mourir, il [A] faut voir
Cette genou en [Dm] ampleur, c'est là que je [C] suis né.
Je meurs [Bb] près de ma mère, [A] et j'ai fait mon [Dm] devoir,
Elle a fait son devoir, c'est-à-dire [C] que honque.
Elle eut [Bb] de souhaits impossibles, [A] elle eut aucun [Dm] rêve de lune,
Aucun [C] désir de jonque, l [Bb]'emportant sans rameur,
[A] Sur un fleuve [Dm] inconnu, et tous sont ainsi faits,
Vivre la [C] même vie, toujours [Bb] pour ces gens-là,
Cela n'est [A] point hideux, ce canard n'a [Dm] qu'un bec.
Et n'eut jamais [C] envie, ou de n'en [Bb] plus avoir,
[E] Ou bien d'en [Dm] avoir deux, ils n'ont aucun besoin,
De baiser [C] sur les lèvres, et loin [Bb] des songevins,
Loin des [A] soucis cuisants, [D] possèdent pour tout cœur,
Un [C] viscère sans fièvre, un [Bb] coucou régulier,
[A] Et [Gm] garantie [A] disant, ô les gens [D] bien heureux,
Tout à coup [C] dans l'espace, si haut [Bb] qu'il semble aller,
Lentement [A] un grand vol, en forme [Dm] de triangle,
Arrive, [C] plane et passe, où vont-ils, [Bb] qui sont-ils,
[A] Comme ils sont [Dm] loin du sol, regardez les passés,
Eux, ce sont [C] les sauvages, ils vont tout leur désir,
[Bb] Leveux, par [A]-dessus monts, et bois, et mer, [Dm] et vent,
Et loin des [C] esclavages, l'air qu'ils [Bb] boivent,
Ferait [A]
éclater [Dm] vos poumons, regardez les avant,
D'atteindre sa [C] chimère, plus d'un lèvre [Bb] rompu,
Et du sang plein [A] les yeux, mourra [Dm] ces pauvres gens,
Ont aussi femme [C] et mère, et [Bb] savent les aimer,
[A] Aussi bien que [D] vous mieux, pour choyer cette [Dm] femme,
Et [C] nourrir cette mère, ils [Bb] pouvaient devenir,
[A] Volailles comme vous, mais ils [Dm] sont avant tout,
Des fils de la [C] chimère, des [Bb] assoiffés d'azur,
Des [D] poètes, des fous, regardez les [Dm] vieux coques,
Jeunois [C] et diffiantes, rien de vous ne [Bb] pourra,
Monter [A] aussi haut que, et le peu qui [Dm] viendra,
Deux à vous, [C] c'est leur fiente, les [Bb] bourgeois sont [A] troublés,
De voir [Dm] passer les gueux, [D] regardez les vieux [Dm] coques,
Jeunois [C] et diffiantes, rien [Bb] de vous ne pourra,
Monter [A] aussi haut que, et le peu qui [Dm] viendra,
Deux à vous, c'est [C] leur fiente, les bourgeois [Bbm] sont troublés,
[A] De voir passer [Dm] les gueux.
[G] [N]
bourgeonne,
Ou que [Bb] décembre gèle, ils sont fiers [A] et contents.
Ce [Dm] pigeon est aimé, droit jour, par sa [C] pigeonne,
Ça [Bb] lui suffit, il sait [A] que l'amour n [Dm]'a qu'un temps.
Ce dindon a toujours béni [C] sa destinée,
Et quand vient le [Bb] moment de mourir, il [A] faut voir
Cette genou en [Dm] ampleur, c'est là que je [C] suis né.
Je meurs [Bb] près de ma mère, [A] et j'ai fait mon [Dm] devoir,
Elle a fait son devoir, c'est-à-dire [C] que honque.
Elle eut [Bb] de souhaits impossibles, [A] elle eut aucun [Dm] rêve de lune,
Aucun [C] désir de jonque, l [Bb]'emportant sans rameur,
[A] Sur un fleuve [Dm] inconnu, et tous sont ainsi faits,
Vivre la [C] même vie, toujours [Bb] pour ces gens-là,
Cela n'est [A] point hideux, ce canard n'a [Dm] qu'un bec.
Et n'eut jamais [C] envie, ou de n'en [Bb] plus avoir,
[E] Ou bien d'en [Dm] avoir deux, ils n'ont aucun besoin,
De baiser [C] sur les lèvres, et loin [Bb] des songevins,
Loin des [A] soucis cuisants, [D] possèdent pour tout cœur,
Un [C] viscère sans fièvre, un [Bb] coucou régulier,
[A] Et [Gm] garantie [A] disant, ô les gens [D] bien heureux,
Tout à coup [C] dans l'espace, si haut [Bb] qu'il semble aller,
Lentement [A] un grand vol, en forme [Dm] de triangle,
Arrive, [C] plane et passe, où vont-ils, [Bb] qui sont-ils,
[A] Comme ils sont [Dm] loin du sol, regardez les passés,
Eux, ce sont [C] les sauvages, ils vont tout leur désir,
[Bb] Leveux, par [A]-dessus monts, et bois, et mer, [Dm] et vent,
Et loin des [C] esclavages, l'air qu'ils [Bb] boivent,
Ferait [A]
éclater [Dm] vos poumons, regardez les avant,
D'atteindre sa [C] chimère, plus d'un lèvre [Bb] rompu,
Et du sang plein [A] les yeux, mourra [Dm] ces pauvres gens,
Ont aussi femme [C] et mère, et [Bb] savent les aimer,
[A] Aussi bien que [D] vous mieux, pour choyer cette [Dm] femme,
Et [C] nourrir cette mère, ils [Bb] pouvaient devenir,
[A] Volailles comme vous, mais ils [Dm] sont avant tout,
Des fils de la [C] chimère, des [Bb] assoiffés d'azur,
Des [D] poètes, des fous, regardez les [Dm] vieux coques,
Jeunois [C] et diffiantes, rien de vous ne [Bb] pourra,
Monter [A] aussi haut que, et le peu qui [Dm] viendra,
Deux à vous, [C] c'est leur fiente, les [Bb] bourgeois sont [A] troublés,
De voir [Dm] passer les gueux, [D] regardez les vieux [Dm] coques,
Jeunois [C] et diffiantes, rien [Bb] de vous ne pourra,
Monter [A] aussi haut que, et le peu qui [Dm] viendra,
Deux à vous, c'est [C] leur fiente, les bourgeois [Bbm] sont troublés,
[A] De voir passer [Dm] les gueux.
[G] [N]
Key:
C
Bb
A
Dm
D
C
Bb
A
_ _ _ _ _ _ _
Ô vie heureuse des bourgeois, qu'Avril [C] _
bourgeonne,
Ou que [Bb] décembre gèle, ils sont fiers [A] et contents.
Ce [Dm] pigeon est aimé, droit jour, par sa [C] pigeonne,
Ça [Bb] lui suffit, il sait [A] que l'amour n [Dm]'a qu'un temps.
Ce dindon a toujours béni [C] sa destinée,
Et quand vient le [Bb] moment de mourir, il [A] faut voir
Cette genou en [Dm] ampleur, c'est là que je [C] suis né.
Je meurs [Bb] près de ma mère, [A] et j'ai fait mon [Dm] devoir,
Elle a fait son devoir, c'est-à-dire [C] que honque.
Elle eut [Bb] de souhaits impossibles, [A] elle eut aucun [Dm] rêve de lune, _
Aucun [C] désir de jonque, l [Bb]'emportant sans rameur,
[A] Sur un fleuve [Dm] inconnu, et tous sont ainsi faits,
Vivre la [C] même vie, toujours [Bb] pour ces gens-là,
Cela n'est [A] point hideux, ce canard n'a [Dm] qu'un bec.
Et n'eut jamais [C] envie, ou de n'en [Bb] plus avoir,
[E] Ou bien d'en [Dm] avoir deux, ils n'ont aucun besoin,
De baiser [C] sur les lèvres, et loin [Bb] des songevins,
Loin des [A] soucis cuisants, [D] possèdent pour tout cœur,
Un [C] viscère sans fièvre, un [Bb] coucou régulier,
[A] Et [Gm] garantie [A] disant, ô les gens [D] bien heureux,
Tout à coup [C] dans l'espace, si haut [Bb] qu'il semble aller,
Lentement [A] un grand vol, en forme [Dm] de triangle,
Arrive, [C] plane et passe, où vont-ils, [Bb] qui sont-ils,
[A] Comme ils sont [Dm] loin du sol, regardez les passés,
Eux, ce sont [C] les sauvages, ils vont tout leur désir,
[Bb] Leveux, par [A]-dessus monts, et bois, et mer, [Dm] et vent,
Et loin des [C] esclavages, l'air qu'ils [Bb] boivent,
Ferait [A]
éclater [Dm] vos poumons, _ regardez les avant,
D'atteindre sa [C] chimère, plus d'un lèvre [Bb] rompu,
Et du sang plein [A] les yeux, mourra [Dm] ces pauvres gens,
Ont aussi femme [C] et mère, et [Bb] savent les aimer,
[A] Aussi bien que [D] vous mieux, pour choyer cette [Dm] femme,
Et [C] nourrir cette mère, ils [Bb] pouvaient devenir,
[A] Volailles comme vous, mais ils [Dm] sont avant tout,
Des fils de la [C] chimère, des [Bb] assoiffés d'azur,
Des [D] poètes, des fous, regardez les [Dm] vieux coques,
Jeunois [C] et diffiantes, rien de vous ne [Bb] pourra,
Monter [A] aussi haut que, et le peu qui [Dm] viendra,
Deux à vous, [C] c'est leur fiente, les [Bb] bourgeois sont [A] troublés,
De voir [Dm] passer les gueux, [D] regardez les vieux [Dm] coques,
Jeunois [C] et diffiantes, rien [Bb] de vous ne pourra,
Monter [A] aussi haut que, et le peu qui [Dm] viendra,
Deux à vous, c'est [C] leur fiente, les bourgeois [Bbm] sont troublés,
[A] De voir passer [Dm] les gueux.
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Ô vie heureuse des bourgeois, qu'Avril [C] _
bourgeonne,
Ou que [Bb] décembre gèle, ils sont fiers [A] et contents.
Ce [Dm] pigeon est aimé, droit jour, par sa [C] pigeonne,
Ça [Bb] lui suffit, il sait [A] que l'amour n [Dm]'a qu'un temps.
Ce dindon a toujours béni [C] sa destinée,
Et quand vient le [Bb] moment de mourir, il [A] faut voir
Cette genou en [Dm] ampleur, c'est là que je [C] suis né.
Je meurs [Bb] près de ma mère, [A] et j'ai fait mon [Dm] devoir,
Elle a fait son devoir, c'est-à-dire [C] que honque.
Elle eut [Bb] de souhaits impossibles, [A] elle eut aucun [Dm] rêve de lune, _
Aucun [C] désir de jonque, l [Bb]'emportant sans rameur,
[A] Sur un fleuve [Dm] inconnu, et tous sont ainsi faits,
Vivre la [C] même vie, toujours [Bb] pour ces gens-là,
Cela n'est [A] point hideux, ce canard n'a [Dm] qu'un bec.
Et n'eut jamais [C] envie, ou de n'en [Bb] plus avoir,
[E] Ou bien d'en [Dm] avoir deux, ils n'ont aucun besoin,
De baiser [C] sur les lèvres, et loin [Bb] des songevins,
Loin des [A] soucis cuisants, [D] possèdent pour tout cœur,
Un [C] viscère sans fièvre, un [Bb] coucou régulier,
[A] Et [Gm] garantie [A] disant, ô les gens [D] bien heureux,
Tout à coup [C] dans l'espace, si haut [Bb] qu'il semble aller,
Lentement [A] un grand vol, en forme [Dm] de triangle,
Arrive, [C] plane et passe, où vont-ils, [Bb] qui sont-ils,
[A] Comme ils sont [Dm] loin du sol, regardez les passés,
Eux, ce sont [C] les sauvages, ils vont tout leur désir,
[Bb] Leveux, par [A]-dessus monts, et bois, et mer, [Dm] et vent,
Et loin des [C] esclavages, l'air qu'ils [Bb] boivent,
Ferait [A]
éclater [Dm] vos poumons, _ regardez les avant,
D'atteindre sa [C] chimère, plus d'un lèvre [Bb] rompu,
Et du sang plein [A] les yeux, mourra [Dm] ces pauvres gens,
Ont aussi femme [C] et mère, et [Bb] savent les aimer,
[A] Aussi bien que [D] vous mieux, pour choyer cette [Dm] femme,
Et [C] nourrir cette mère, ils [Bb] pouvaient devenir,
[A] Volailles comme vous, mais ils [Dm] sont avant tout,
Des fils de la [C] chimère, des [Bb] assoiffés d'azur,
Des [D] poètes, des fous, regardez les [Dm] vieux coques,
Jeunois [C] et diffiantes, rien de vous ne [Bb] pourra,
Monter [A] aussi haut que, et le peu qui [Dm] viendra,
Deux à vous, [C] c'est leur fiente, les [Bb] bourgeois sont [A] troublés,
De voir [Dm] passer les gueux, [D] regardez les vieux [Dm] coques,
Jeunois [C] et diffiantes, rien [Bb] de vous ne pourra,
Monter [A] aussi haut que, et le peu qui [Dm] viendra,
Deux à vous, c'est [C] leur fiente, les bourgeois [Bbm] sont troublés,
[A] De voir passer [Dm] les gueux.
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