Chords for Les Colocs- La Comete (Avec Paroles)
Tempo:
104.6 bpm
Chords used:
E
Bm
D
A
F#
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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Comme le temps est pesant, mon âme est scogriffe,
Un grand ciel menaçant, un éclair qui me crie.
Ton cœur est malicieux, ton esprit dans ses griffes
Ne [E] peut rien faire pour toi, et tu es tout petit.
Les nuages voyageurs font des dessins abstraits,
Ils me parlent de bonheurs que jamais je n'entends.
Je pourrais faire comme eux et partir sans délai,
Léger comme une poussière transportée par le vent.
Et dans la solitude de ma danse aérienne,
Le courage revenu, je trouverai les mots.
Je réciterai sans cesse des prières pour que vienne
La douceur du silence d'un éternel repos.
Mais, épuisé que je suis, je remets à plus tard
Le jour de mon départ pour une autre planète.
Si seulement je pouvais étouffer mon cafard,
Une voix chaude me dirait, tu brilles comme une comète.
[Bm]
[E]
Tu brilles comme une comète.
Comme la lune est moqueuse quand elle s'empare du ciel,
Elle me regarde aller comme une lampe de poursuite.
[D] Je voudrais la détruire ou me poser sur elle,
[E] Etourdie par son [Bm] [E] charme qui jamais ne me guide.
[F#] [E] Je suis comme une loupe que le soleil [Bm] embrasse,
Ses rayons me planchent vers les culminants d'un coin.
[E] Allume le feu partout où se trouve ma cuirasse,
Et après mon passage, [Bm] il ne [E] reste plus rien.
[A] [G]
[E] Et dans la solitude de ce nouveau désert,
[D] J'aurais tout [E] à construire pour accueillir la [D] paix.
[E] Mon temps aussi pour prévenir l'univers
Que la joie est revenue et qu'elle ne restera jamais.
[A] [E] Condamné par le doute, immobile et craintif,
Je suis comme mon peuple indécis et rêveur.
Je parle à qui le veut de mon pays fictif,
Le carpelet de vertige [D] est [E] rangé par la peur.
Et dans la solitude de ce nouveau désert,
[Bm] J'aurais tout à [E] construire pour accueillir la paix.
Et tout mon temps aussi pour prévenir l'univers
[Bm] Que la joie est [E] revenue et qu'elle ne restera jamais.
[A] [N]
Un grand ciel menaçant, un éclair qui me crie.
Ton cœur est malicieux, ton esprit dans ses griffes
Ne [E] peut rien faire pour toi, et tu es tout petit.
Les nuages voyageurs font des dessins abstraits,
Ils me parlent de bonheurs que jamais je n'entends.
Je pourrais faire comme eux et partir sans délai,
Léger comme une poussière transportée par le vent.
Et dans la solitude de ma danse aérienne,
Le courage revenu, je trouverai les mots.
Je réciterai sans cesse des prières pour que vienne
La douceur du silence d'un éternel repos.
Mais, épuisé que je suis, je remets à plus tard
Le jour de mon départ pour une autre planète.
Si seulement je pouvais étouffer mon cafard,
Une voix chaude me dirait, tu brilles comme une comète.
[Bm]
[E]
Tu brilles comme une comète.
Comme la lune est moqueuse quand elle s'empare du ciel,
Elle me regarde aller comme une lampe de poursuite.
[D] Je voudrais la détruire ou me poser sur elle,
[E] Etourdie par son [Bm] [E] charme qui jamais ne me guide.
[F#] [E] Je suis comme une loupe que le soleil [Bm] embrasse,
Ses rayons me planchent vers les culminants d'un coin.
[E] Allume le feu partout où se trouve ma cuirasse,
Et après mon passage, [Bm] il ne [E] reste plus rien.
[A] [G]
[E] Et dans la solitude de ce nouveau désert,
[D] J'aurais tout [E] à construire pour accueillir la [D] paix.
[E] Mon temps aussi pour prévenir l'univers
Que la joie est revenue et qu'elle ne restera jamais.
[A] [E] Condamné par le doute, immobile et craintif,
Je suis comme mon peuple indécis et rêveur.
Je parle à qui le veut de mon pays fictif,
Le carpelet de vertige [D] est [E] rangé par la peur.
Et dans la solitude de ce nouveau désert,
[Bm] J'aurais tout à [E] construire pour accueillir la paix.
Et tout mon temps aussi pour prévenir l'univers
[Bm] Que la joie est [E] revenue et qu'elle ne restera jamais.
[A] [N]
Key:
E
Bm
D
A
F#
E
Bm
D
Comme le temps est pesant, mon âme est scogriffe,
Un grand ciel menaçant, un éclair qui me crie.
Ton cœur est malicieux, ton esprit dans ses griffes
Ne [E] peut rien faire pour toi, et tu es tout petit. _ _ _ _
Les nuages voyageurs font des dessins abstraits,
Ils me parlent de bonheurs que jamais je n'entends.
Je pourrais faire comme eux et partir sans délai,
Léger comme une poussière transportée par le vent. _ _ _ _
Et dans la solitude de ma danse aérienne,
Le courage revenu, je trouverai les mots.
Je réciterai sans cesse des prières pour que vienne
La douceur du silence d'un éternel repos.
Mais, _ épuisé que je suis, je remets à plus tard
Le jour de mon départ _ pour une autre planète.
Si seulement je pouvais étouffer mon cafard,
Une voix chaude me dirait, tu brilles comme une comète.
[Bm] _ _ _ _ _ _ _
_ _ [E] _ _ _ _ _ _
_ Tu brilles comme une comète. _
_ _ _ _ Comme la lune est moqueuse quand elle s'empare du ciel,
Elle me regarde aller comme une lampe de poursuite.
[D] Je voudrais la détruire ou me poser sur elle,
[E] Etourdie par son [Bm] [E] charme qui jamais ne me guide. _ _
_ _ [F#] [E] Je suis comme une loupe que le soleil [Bm] embrasse,
Ses rayons me planchent vers les culminants d'un coin.
[E] Allume le feu partout où se trouve ma cuirasse,
Et après mon passage, [Bm] il ne [E] reste plus rien.
_ _ [A] _ [G] _
[E] Et dans la solitude de ce nouveau désert,
[D] J'aurais tout [E] à construire pour accueillir la [D] paix.
[E] Mon temps aussi pour prévenir l'univers
Que la joie est revenue et qu'elle ne restera jamais.
_ [A] _ _ [E] Condamné par le doute, _ immobile et craintif,
Je suis comme mon peuple indécis et rêveur.
Je parle à qui le veut de mon pays fictif,
Le carpelet de vertige [D] est [E] rangé par la peur.
Et dans la solitude de ce nouveau désert,
[Bm] J'aurais tout à [E] construire pour accueillir la paix.
Et tout mon temps aussi pour prévenir l'univers
[Bm] Que la joie est [E] revenue et qu'elle ne restera jamais. _
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_ _ _ [A] _ _ _ _ [N] _
Un grand ciel menaçant, un éclair qui me crie.
Ton cœur est malicieux, ton esprit dans ses griffes
Ne [E] peut rien faire pour toi, et tu es tout petit. _ _ _ _
Les nuages voyageurs font des dessins abstraits,
Ils me parlent de bonheurs que jamais je n'entends.
Je pourrais faire comme eux et partir sans délai,
Léger comme une poussière transportée par le vent. _ _ _ _
Et dans la solitude de ma danse aérienne,
Le courage revenu, je trouverai les mots.
Je réciterai sans cesse des prières pour que vienne
La douceur du silence d'un éternel repos.
Mais, _ épuisé que je suis, je remets à plus tard
Le jour de mon départ _ pour une autre planète.
Si seulement je pouvais étouffer mon cafard,
Une voix chaude me dirait, tu brilles comme une comète.
[Bm] _ _ _ _ _ _ _
_ _ [E] _ _ _ _ _ _
_ Tu brilles comme une comète. _
_ _ _ _ Comme la lune est moqueuse quand elle s'empare du ciel,
Elle me regarde aller comme une lampe de poursuite.
[D] Je voudrais la détruire ou me poser sur elle,
[E] Etourdie par son [Bm] [E] charme qui jamais ne me guide. _ _
_ _ [F#] [E] Je suis comme une loupe que le soleil [Bm] embrasse,
Ses rayons me planchent vers les culminants d'un coin.
[E] Allume le feu partout où se trouve ma cuirasse,
Et après mon passage, [Bm] il ne [E] reste plus rien.
_ _ [A] _ [G] _
[E] Et dans la solitude de ce nouveau désert,
[D] J'aurais tout [E] à construire pour accueillir la [D] paix.
[E] Mon temps aussi pour prévenir l'univers
Que la joie est revenue et qu'elle ne restera jamais.
_ [A] _ _ [E] Condamné par le doute, _ immobile et craintif,
Je suis comme mon peuple indécis et rêveur.
Je parle à qui le veut de mon pays fictif,
Le carpelet de vertige [D] est [E] rangé par la peur.
Et dans la solitude de ce nouveau désert,
[Bm] J'aurais tout à [E] construire pour accueillir la paix.
Et tout mon temps aussi pour prévenir l'univers
[Bm] Que la joie est [E] revenue et qu'elle ne restera jamais. _
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