LEO FERRE Les Poètes. Chords
Tempo:
120.75 bpm
Chords used:
C#
F#
G#
A#m
G#m
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[C#]
[D#m] [C#]
[F#] Ce sont de drôles de types qui [C#] vivent de leur plume,
Qui ne vivent pas, c'est selon [D#m] la saison.
Ce sont de drôles de types qui traversent [A#m] la brume,
Avec des pas d'oiseaux sous l [C#]'air des chansons.
[F#] Leur âme est en carafe sous les ponts de [G#m] la Seine,
Leur soute dans les [A#] bouquins qu'ils n'ont [F] jamais vendus.
Leur femme est [G#m] quelque part au bout d'une rengaine,
Qui nous parle d'amour et de fruits [F#] défendus.
Ils [C#m] mettent des couleurs sur le gris [E] des pavés,
Quand ils marchent [C#m] dessus, ils se croient sur la [F#] mer.
Ils mettent [B] des rubans autour de l [D#m]'alphabet,
Et sortent [G#] dans la rue leurs mots [C#] pour prendre l'air.
[B] Ils ont des chiens parfois compagnons [A#m] de misère,
Et qui lèchent leurs mains de plumes et [F#] d'amitié,
[B] Avec dans le museau la fidèle [G#] lumière,
Qui les [C#] conduit vers les pays d [A#m]'absurdité.
[C#] [F#]
[C#] Ce sont de drôles de types qui regardent [G#] les fleurs,
Et qui voient dans leur pli des sourires [F#] de femmes.
Ce sont de drôles de types qui chantent [C#] le malheur,
Sur les pianos du cœur et les violons de l'âme.
[G#] Leurs bras tout déplumés se [G#m] souviennent des ailes,
Que la [G#] littérature accrochera [C#] plus tard,
A leur spectre gelé [G#] au-dessus des [G#m] poubelles,
Où remourront leurs vers comme les fées [A#m] de l 'âme.
[C#m] Ils marchent dans [E] l'azur, [C#] la tête dans [D#] les villes,
Et savent s'arrêter pour [C#m] bénir les chevaux.
Ils marchent [F#] dans l'horreur, [D#m] la tête dans des îles,
Où n'abordent [G#] jamais les âmes des bourreaux.
[G#m]
[B] Ils ont des paradis que l'on dit d [A#m]'artifice,
Et l'on met en prison leurs quatrain de [B] tissus,
Comme si l'on mettait au fer un [G#m]
édifice,
Sous prétexte que les [D#m] bourgeois sont [A#m] dans les goûts.
[C#] [F#] [F#]
[D#m] [C#]
[F#] Ce sont de drôles de types qui [C#] vivent de leur plume,
Qui ne vivent pas, c'est selon [D#m] la saison.
Ce sont de drôles de types qui traversent [A#m] la brume,
Avec des pas d'oiseaux sous l [C#]'air des chansons.
[F#] Leur âme est en carafe sous les ponts de [G#m] la Seine,
Leur soute dans les [A#] bouquins qu'ils n'ont [F] jamais vendus.
Leur femme est [G#m] quelque part au bout d'une rengaine,
Qui nous parle d'amour et de fruits [F#] défendus.
Ils [C#m] mettent des couleurs sur le gris [E] des pavés,
Quand ils marchent [C#m] dessus, ils se croient sur la [F#] mer.
Ils mettent [B] des rubans autour de l [D#m]'alphabet,
Et sortent [G#] dans la rue leurs mots [C#] pour prendre l'air.
[B] Ils ont des chiens parfois compagnons [A#m] de misère,
Et qui lèchent leurs mains de plumes et [F#] d'amitié,
[B] Avec dans le museau la fidèle [G#] lumière,
Qui les [C#] conduit vers les pays d [A#m]'absurdité.
[C#] [F#]
[C#] Ce sont de drôles de types qui regardent [G#] les fleurs,
Et qui voient dans leur pli des sourires [F#] de femmes.
Ce sont de drôles de types qui chantent [C#] le malheur,
Sur les pianos du cœur et les violons de l'âme.
[G#] Leurs bras tout déplumés se [G#m] souviennent des ailes,
Que la [G#] littérature accrochera [C#] plus tard,
A leur spectre gelé [G#] au-dessus des [G#m] poubelles,
Où remourront leurs vers comme les fées [A#m] de l 'âme.
[C#m] Ils marchent dans [E] l'azur, [C#] la tête dans [D#] les villes,
Et savent s'arrêter pour [C#m] bénir les chevaux.
Ils marchent [F#] dans l'horreur, [D#m] la tête dans des îles,
Où n'abordent [G#] jamais les âmes des bourreaux.
[G#m]
[B] Ils ont des paradis que l'on dit d [A#m]'artifice,
Et l'on met en prison leurs quatrain de [B] tissus,
Comme si l'on mettait au fer un [G#m]
édifice,
Sous prétexte que les [D#m] bourgeois sont [A#m] dans les goûts.
[C#] [F#] [F#]
Key:
C#
F#
G#
A#m
G#m
C#
F#
G#
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_ _ _ _ [C#] _ _ _ _
[D#m] _ _ _ _ [C#] _ _ _ _
[F#] _ Ce sont de drôles de types qui [C#] vivent de leur plume,
Qui ne vivent pas, c'est selon [D#m] la saison.
Ce sont de drôles de types qui traversent [A#m] la brume,
Avec des pas d'oiseaux sous l [C#]'air des chansons.
_ [F#] _ _ Leur âme est en carafe sous les ponts de [G#m] la Seine,
Leur soute dans les [A#] bouquins qu'ils n'ont [F] jamais vendus.
Leur femme est [G#m] quelque part au bout d'une rengaine,
Qui nous parle d'amour et de fruits [F#] _ défendus. _
_ Ils [C#m] mettent des couleurs sur le gris [E] des pavés,
Quand ils marchent [C#m] dessus, ils se croient sur la [F#] mer.
Ils mettent [B] des rubans autour de l [D#m]'alphabet,
Et sortent [G#] dans la rue leurs mots [C#] pour prendre l'air.
_ [B] _ Ils ont des chiens parfois compagnons [A#m] de misère,
Et qui lèchent leurs mains de plumes et [F#] d'amitié,
[B] Avec dans le museau la fidèle [G#] lumière,
Qui les [C#] conduit vers les pays d [A#m]'absurdité. _ _
[C#] _ _ _ _ [F#] _ _ _ _
[C#] _ _ _ _ _ Ce sont de drôles de types qui regardent [G#] les fleurs,
Et qui voient dans leur pli des sourires [F#] de femmes.
Ce sont de drôles de types qui chantent [C#] le malheur,
Sur les pianos du cœur et les violons de l'âme. _
_ [G#] Leurs bras tout déplumés se [G#m] souviennent des ailes,
Que la [G#] littérature accrochera [C#] plus tard,
A leur spectre gelé [G#] au-dessus des [G#m] poubelles,
Où remourront leurs vers comme les fées [A#m] de l _ 'âme.
[C#m] _ Ils marchent dans [E] l'azur, [C#] la tête dans [D#] les villes,
Et savent s'arrêter pour [C#m] bénir les chevaux.
Ils marchent [F#] dans l'horreur, [D#m] la tête dans des îles,
Où n'abordent [G#] jamais les âmes des bourreaux.
[G#m] _ _
[B] Ils ont des paradis que l'on dit d [A#m]'artifice,
Et l'on met en prison leurs quatrain de [B] tissus,
Comme si l'on mettait au fer un [G#m]
édifice,
Sous prétexte que les [D#m] bourgeois sont [A#m] dans les goûts.
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[F#] _ _ _ _ _ _ _ _
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[D#m] _ _ _ _ [C#] _ _ _ _
[F#] _ Ce sont de drôles de types qui [C#] vivent de leur plume,
Qui ne vivent pas, c'est selon [D#m] la saison.
Ce sont de drôles de types qui traversent [A#m] la brume,
Avec des pas d'oiseaux sous l [C#]'air des chansons.
_ [F#] _ _ Leur âme est en carafe sous les ponts de [G#m] la Seine,
Leur soute dans les [A#] bouquins qu'ils n'ont [F] jamais vendus.
Leur femme est [G#m] quelque part au bout d'une rengaine,
Qui nous parle d'amour et de fruits [F#] _ défendus. _
_ Ils [C#m] mettent des couleurs sur le gris [E] des pavés,
Quand ils marchent [C#m] dessus, ils se croient sur la [F#] mer.
Ils mettent [B] des rubans autour de l [D#m]'alphabet,
Et sortent [G#] dans la rue leurs mots [C#] pour prendre l'air.
_ [B] _ Ils ont des chiens parfois compagnons [A#m] de misère,
Et qui lèchent leurs mains de plumes et [F#] d'amitié,
[B] Avec dans le museau la fidèle [G#] lumière,
Qui les [C#] conduit vers les pays d [A#m]'absurdité. _ _
[C#] _ _ _ _ [F#] _ _ _ _
[C#] _ _ _ _ _ Ce sont de drôles de types qui regardent [G#] les fleurs,
Et qui voient dans leur pli des sourires [F#] de femmes.
Ce sont de drôles de types qui chantent [C#] le malheur,
Sur les pianos du cœur et les violons de l'âme. _
_ [G#] Leurs bras tout déplumés se [G#m] souviennent des ailes,
Que la [G#] littérature accrochera [C#] plus tard,
A leur spectre gelé [G#] au-dessus des [G#m] poubelles,
Où remourront leurs vers comme les fées [A#m] de l _ 'âme.
[C#m] _ Ils marchent dans [E] l'azur, [C#] la tête dans [D#] les villes,
Et savent s'arrêter pour [C#m] bénir les chevaux.
Ils marchent [F#] dans l'horreur, [D#m] la tête dans des îles,
Où n'abordent [G#] jamais les âmes des bourreaux.
[G#m] _ _
[B] Ils ont des paradis que l'on dit d [A#m]'artifice,
Et l'on met en prison leurs quatrain de [B] tissus,
Comme si l'on mettait au fer un [G#m]
édifice,
Sous prétexte que les [D#m] bourgeois sont [A#m] dans les goûts.
_ [C#] _ _ _ _ [F#] _ _ _ _ _ _ _ _ _
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