Chords for Keny Arkana - Entre les lignes #2: 20.12
Tempo:
90.1 bpm
Chords used:
Ebm
Abm
Db
Bb
B
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Ebm]
[Abm]
[Db]
[Ebm] J'ai juré de rester la même, mais qui suis-je ?
Les hauts, les bas, montagne russe affective, [Abm] tensions internes, mais je dois guérir,
sans s'avouer, apérir, avant la fin du périple.
[Db] Dans ma dérive, j'ai touché l'infinité, je suis morte en silence et j'ai lutté dans la dignité.
[Ebm] J'ai fait les choses par conscience, dans ma page, j'ai fait les choses par amour,
ce qui en découle ne m'appartient pas, compte seulement l'instant présent, c'est ce que
la vie m'a enseigné.
Oui, demain c'est comme un autre [Abm] monde, demain rien n'est plus sûr, le poids du monde sur
les épaules, une époque qui veut éradiquer le futur, [Db] humanité du dernier round, eu à
l'usure, alors c'est ça que sont devenus les descendants des sages, [Ebm] aveuglés par ce
qui brille, on ne peut voir les présages, peu importe qu'on comprenne ou pas, je fais
passer le message, [B] le passé n'est plus, oui tout devient chimère, à la mémoire d'hier
et de tous ceux qui nous quittèrent.
[Ebm] J'ai dégringolé, ravin, soir d'hiver, depuis ne s'en libère que le parfum de mes [F] prières,
j'ai noirci des pages de grief, de larmes et de rage, alarme et société, ou armée
de [Bb] lâches, incarnés, j'ai voulu toucher les étoiles, j'étais pas prêté, je crois que
je me suis plus que brûlé les [Ebm] doigts, alors je suis parti affronter mes peurs, à la belle
étoile, la nature m'a guéri parce que je suis resté [Abm] pieuse, seul avec moi-même à
regarder la danse, des constellations à méditer pour apaiser ma peine, parce [Db] que société
perverse t'écrasera si tu te perdes, te regardera de haut, du haut de sa basse, elle se demerde,
[Ebm] mais où on va si même les gens qui s'aiment se taisent, se détestent, se jugent et se
vendent et contre un peu d'espèces, je désespère pas, je sais que tout part d'un éclat, éclaire
de conscience, non j'obéis pas à un [Abm] état, à l'heure où s'accélère les sortilèges
des CRS qui fragasseraient même un cortège de veuves et d [Db]'orphelins, je suis né dans
ce monde, en le dénonçant je m'attire les foudres parce que je chante, son effondrement
un peu seul contre [Ebm] tous, je suis né dans ce monde, de béton dans ce mitard, né comme
toi sous les néons, glock d'une salle d'hôpital, bienvenue ici Basile, grandeur nature, communication
airtienne, pour se faire entendre faut brûler tes [Abm] voitures, alors j'ai créé entre les
lignes et les ratures, entre la lumière et la brume, entre le soleil et la lune, [Db] car
j'ai grandi trop vite, je rejette la vie d'adulte et comme j'ai vu à qui profite
la merde, j'ai épousé la lutte, [Ebm] toi qui est parti marcher tes rêves, je te salue,
éterne et l'éphémère, ce qui était ne sera plus, sors de ta rue et vois le monde
qui t'a vu naître, la force est infinie comme l'univers ou l'âme humaine, [Abm] près
d'un son esprit, les médias c'est l'âme du règne, ceux qui accusent l'incendie sont
souvent ceux qui l'allumèrent, [Db] enfants de la lumière, sors de la cage intime, aucune
cause n'est perdue, aucune prière [Fm] n'est indigne [Ebm] dans nos têtes, le monde s'imbibe
et s'imbrique, sa voyage en un clic, Babylone n'est qu'un crime, [B] ici tout a un prix, même
ceux qu'on achète pas, frangins y'a pas que les stars, sans mal est scar, [Ebm] on est esclave
la, terre est grande pourtant on a pas assez de place, monde bestial, alors on se noie
en regardant l'espace, [F] quart regard, BDM au jour le jour car on ne sait pas, de quoi
sera fait demain, souvent les chemins se [Bb] séparent, héritiers du venin mais on ne souille pas
le cristal, le quetzal, est-ce nous sommes les plumes qui racontent non, une autre [Ebm] histoire,
héritiers d'une parole, d'un esprit ancestral, malgré les interférences de l'époque, [Abm] non,
on a pas toujours l'étoffe du message ni l'envergure mais on s'efforce de penser
sage même dans l [Db]'amertume, grandissant, angle avert, Dieu me connecter à la terre,
on a redécouvert ce qu'on [Bb] croyait avoir [Ebm] perdu, héritiers, illuminés, rappelle toi, Babylone
a plié nos ancêtres pour s'autoproclamer roi, tant de mal a été fait, peut-on soigner
les plaies en les niant, dans ton crancœur émanent des [Abm] blessés, la guérison vient du
pardon, oui c'est vrai mais pour pardonner faut aussi que chacun reconnaisse ses méfaits,
[Db] ici le tortionnaire te parle de haut, te traite de fou, insulte tes rêves et tes racines,
sa chante sur le peu qui reste beau, [Ebm] interminable serait la liste mais comprend le vrai problème,
guéris-toi d'abord car le monde est d'abord en nous-mêmes, c'est ce que la vie m'a enseigné
dans mon calvaire, planète bleue arrivée en 2012, oui j'ai pleuré la [Abm] terre dans des
révélations, pourtant tous embrouillés, embourbés, mais qui par enquête finira par
[Db] trouver, partout les mêmes masques sur les cœurs, c'est parce que ça aime trop sa coquille
que ça refuse d [Ebm]'éclore, éclore c'est douloureux, mélange madie c'est pas trop tard, dis-leur
que petite graine te viendra pas au pape.
[Abm]
[Db]
[Ebm]
[Abm]
[Db]
[Ebm]
[Abm]
[Db]
[Ebm]
[Abm]
[Db]
[Ebm] J'ai juré de rester la même, mais qui suis-je ?
Les hauts, les bas, montagne russe affective, [Abm] tensions internes, mais je dois guérir,
sans s'avouer, apérir, avant la fin du périple.
[Db] Dans ma dérive, j'ai touché l'infinité, je suis morte en silence et j'ai lutté dans la dignité.
[Ebm] J'ai fait les choses par conscience, dans ma page, j'ai fait les choses par amour,
ce qui en découle ne m'appartient pas, compte seulement l'instant présent, c'est ce que
la vie m'a enseigné.
Oui, demain c'est comme un autre [Abm] monde, demain rien n'est plus sûr, le poids du monde sur
les épaules, une époque qui veut éradiquer le futur, [Db] humanité du dernier round, eu à
l'usure, alors c'est ça que sont devenus les descendants des sages, [Ebm] aveuglés par ce
qui brille, on ne peut voir les présages, peu importe qu'on comprenne ou pas, je fais
passer le message, [B] le passé n'est plus, oui tout devient chimère, à la mémoire d'hier
et de tous ceux qui nous quittèrent.
[Ebm] J'ai dégringolé, ravin, soir d'hiver, depuis ne s'en libère que le parfum de mes [F] prières,
j'ai noirci des pages de grief, de larmes et de rage, alarme et société, ou armée
de [Bb] lâches, incarnés, j'ai voulu toucher les étoiles, j'étais pas prêté, je crois que
je me suis plus que brûlé les [Ebm] doigts, alors je suis parti affronter mes peurs, à la belle
étoile, la nature m'a guéri parce que je suis resté [Abm] pieuse, seul avec moi-même à
regarder la danse, des constellations à méditer pour apaiser ma peine, parce [Db] que société
perverse t'écrasera si tu te perdes, te regardera de haut, du haut de sa basse, elle se demerde,
[Ebm] mais où on va si même les gens qui s'aiment se taisent, se détestent, se jugent et se
vendent et contre un peu d'espèces, je désespère pas, je sais que tout part d'un éclat, éclaire
de conscience, non j'obéis pas à un [Abm] état, à l'heure où s'accélère les sortilèges
des CRS qui fragasseraient même un cortège de veuves et d [Db]'orphelins, je suis né dans
ce monde, en le dénonçant je m'attire les foudres parce que je chante, son effondrement
un peu seul contre [Ebm] tous, je suis né dans ce monde, de béton dans ce mitard, né comme
toi sous les néons, glock d'une salle d'hôpital, bienvenue ici Basile, grandeur nature, communication
airtienne, pour se faire entendre faut brûler tes [Abm] voitures, alors j'ai créé entre les
lignes et les ratures, entre la lumière et la brume, entre le soleil et la lune, [Db] car
j'ai grandi trop vite, je rejette la vie d'adulte et comme j'ai vu à qui profite
la merde, j'ai épousé la lutte, [Ebm] toi qui est parti marcher tes rêves, je te salue,
éterne et l'éphémère, ce qui était ne sera plus, sors de ta rue et vois le monde
qui t'a vu naître, la force est infinie comme l'univers ou l'âme humaine, [Abm] près
d'un son esprit, les médias c'est l'âme du règne, ceux qui accusent l'incendie sont
souvent ceux qui l'allumèrent, [Db] enfants de la lumière, sors de la cage intime, aucune
cause n'est perdue, aucune prière [Fm] n'est indigne [Ebm] dans nos têtes, le monde s'imbibe
et s'imbrique, sa voyage en un clic, Babylone n'est qu'un crime, [B] ici tout a un prix, même
ceux qu'on achète pas, frangins y'a pas que les stars, sans mal est scar, [Ebm] on est esclave
la, terre est grande pourtant on a pas assez de place, monde bestial, alors on se noie
en regardant l'espace, [F] quart regard, BDM au jour le jour car on ne sait pas, de quoi
sera fait demain, souvent les chemins se [Bb] séparent, héritiers du venin mais on ne souille pas
le cristal, le quetzal, est-ce nous sommes les plumes qui racontent non, une autre [Ebm] histoire,
héritiers d'une parole, d'un esprit ancestral, malgré les interférences de l'époque, [Abm] non,
on a pas toujours l'étoffe du message ni l'envergure mais on s'efforce de penser
sage même dans l [Db]'amertume, grandissant, angle avert, Dieu me connecter à la terre,
on a redécouvert ce qu'on [Bb] croyait avoir [Ebm] perdu, héritiers, illuminés, rappelle toi, Babylone
a plié nos ancêtres pour s'autoproclamer roi, tant de mal a été fait, peut-on soigner
les plaies en les niant, dans ton crancœur émanent des [Abm] blessés, la guérison vient du
pardon, oui c'est vrai mais pour pardonner faut aussi que chacun reconnaisse ses méfaits,
[Db] ici le tortionnaire te parle de haut, te traite de fou, insulte tes rêves et tes racines,
sa chante sur le peu qui reste beau, [Ebm] interminable serait la liste mais comprend le vrai problème,
guéris-toi d'abord car le monde est d'abord en nous-mêmes, c'est ce que la vie m'a enseigné
dans mon calvaire, planète bleue arrivée en 2012, oui j'ai pleuré la [Abm] terre dans des
révélations, pourtant tous embrouillés, embourbés, mais qui par enquête finira par
[Db] trouver, partout les mêmes masques sur les cœurs, c'est parce que ça aime trop sa coquille
que ça refuse d [Ebm]'éclore, éclore c'est douloureux, mélange madie c'est pas trop tard, dis-leur
que petite graine te viendra pas au pape.
[Abm]
[Db]
[Ebm]
[Abm]
[Db]
[Ebm]
[Abm]
[Db]
[Ebm]
Key:
Ebm
Abm
Db
Bb
B
Ebm
Abm
Db
[Ebm] _ _ _ _ _ _ _ _
[Abm] _ _ _ _ _ _ _ _
[Db] _ _ _ _ _ _ _ _
[Ebm] _ _ _ _ _ J'ai juré de rester la même, mais qui suis-je ?
Les hauts, les bas, montagne russe affective, [Abm] tensions internes, mais je dois guérir,
sans s'avouer, apérir, avant la fin du périple.
[Db] Dans ma dérive, j'ai touché l'infinité, je suis morte en silence et j'ai lutté dans la dignité.
[Ebm] J'ai fait les choses par conscience, dans ma page, j'ai fait les choses par amour,
ce qui en découle ne m'appartient pas, compte seulement l'instant présent, c'est ce que
la vie m'a enseigné.
Oui, demain c'est comme un autre [Abm] monde, demain rien n'est plus sûr, le poids du monde sur
les épaules, une époque qui veut éradiquer le futur, [Db] humanité du dernier round, eu à
l'usure, alors c'est ça que sont devenus les descendants des sages, [Ebm] aveuglés par ce
qui brille, on ne peut voir les présages, peu importe qu'on comprenne ou pas, je fais
passer le message, [B] le passé n'est plus, oui tout devient chimère, à la mémoire d'hier
et de tous ceux qui nous quittèrent.
[Ebm] J'ai dégringolé, ravin, soir d'hiver, depuis ne s'en libère que le parfum de mes [F] prières,
j'ai noirci des pages de grief, de larmes et de rage, alarme et société, ou armée
de [Bb] lâches, incarnés, j'ai voulu toucher les étoiles, j'étais pas prêté, je crois que
je me suis plus que brûlé les [Ebm] doigts, alors je suis parti affronter mes peurs, à la belle
étoile, la nature m'a guéri parce que je suis resté [Abm] pieuse, seul avec moi-même à
regarder la danse, des constellations à méditer pour apaiser ma peine, parce [Db] que société
perverse t'écrasera si tu te perdes, te regardera de haut, du haut de sa basse, elle se demerde,
[Ebm] mais où on va si même les gens qui s'aiment se taisent, se détestent, se jugent et se
vendent et contre un peu d'espèces, je désespère pas, je sais que tout part d'un éclat, éclaire
de conscience, non j'obéis pas à un [Abm] état, à l'heure où s'accélère les sortilèges
des CRS qui fragasseraient même un cortège de veuves et d [Db]'orphelins, je suis né dans
ce monde, en le dénonçant je m'attire les foudres parce que je chante, son effondrement
un peu seul contre [Ebm] tous, je suis né dans ce monde, de béton dans ce mitard, né comme
toi sous les néons, glock d'une salle d'hôpital, bienvenue ici Basile, grandeur nature, communication
airtienne, pour se faire entendre faut brûler tes [Abm] voitures, alors j'ai créé entre les
lignes et les ratures, entre la lumière et la brume, entre le soleil et la lune, [Db] car
j'ai grandi trop vite, je rejette la vie d'adulte et comme j'ai vu à qui profite
la merde, j'ai épousé la lutte, [Ebm] toi qui est parti marcher tes rêves, je te salue,
éterne et l'éphémère, ce qui était ne sera plus, sors de ta rue et vois le monde
qui t'a vu naître, la force est infinie comme l'univers ou l'âme humaine, [Abm] près
d'un son esprit, les médias c'est l'âme du règne, ceux qui accusent l'incendie sont
souvent ceux qui l'allumèrent, [Db] enfants de la lumière, sors de la cage intime, aucune
cause n'est perdue, aucune prière [Fm] n'est indigne [Ebm] dans nos têtes, le monde s'imbibe
et s'imbrique, sa voyage en un clic, Babylone n'est qu'un crime, [B] ici tout a un prix, même
ceux qu'on achète pas, frangins y'a pas que les stars, sans mal est scar, [Ebm] on est esclave
la, terre est grande pourtant on a pas assez de place, monde bestial, alors on se noie
en regardant l'espace, [F] quart regard, BDM au jour le jour car on ne sait pas, de quoi
sera fait demain, souvent les chemins se [Bb] séparent, héritiers du venin mais on ne souille pas
le cristal, le quetzal, est-ce nous sommes les plumes qui racontent non, une autre [Ebm] histoire,
héritiers d'une parole, d'un esprit ancestral, malgré les interférences de l'époque, [Abm] non,
on a pas toujours l'étoffe du message ni l'envergure mais on s'efforce de penser
sage même dans l [Db]'amertume, grandissant, angle avert, Dieu me connecter à la terre,
on a redécouvert ce qu'on [Bb] croyait avoir [Ebm] perdu, héritiers, illuminés, rappelle toi, Babylone
a plié nos ancêtres pour s'autoproclamer roi, tant de mal a été fait, peut-on soigner
les plaies en les niant, dans ton crancœur émanent des [Abm] blessés, la guérison vient du
pardon, oui c'est vrai mais pour pardonner faut aussi que chacun reconnaisse ses méfaits,
[Db] ici le tortionnaire te parle de haut, te traite de fou, insulte tes rêves et tes racines,
sa chante sur le peu qui reste beau, [Ebm] interminable serait la liste mais comprend le vrai problème,
guéris-toi d'abord car le monde est d'abord en nous-mêmes, c'est ce que la vie m'a enseigné
dans mon calvaire, planète bleue arrivée en 2012, oui j'ai pleuré la [Abm] terre dans des
révélations, pourtant tous embrouillés, embourbés, mais qui par enquête finira par
[Db] trouver, partout les mêmes masques sur les cœurs, c'est parce que ça aime trop sa coquille
que ça refuse d [Ebm]'éclore, éclore c'est douloureux, mélange madie c'est pas trop tard, dis-leur
que petite graine te viendra pas au pape. _ _ _ _ _ _ _
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[Ebm] _ _ _ _ _ _ _ _
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[Abm] _ _ _ _ _ _ _ _
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Les hauts, les bas, montagne russe affective, [Abm] tensions internes, mais je dois guérir,
sans s'avouer, apérir, avant la fin du périple.
[Db] Dans ma dérive, j'ai touché l'infinité, je suis morte en silence et j'ai lutté dans la dignité.
[Ebm] J'ai fait les choses par conscience, dans ma page, j'ai fait les choses par amour,
ce qui en découle ne m'appartient pas, compte seulement l'instant présent, c'est ce que
la vie m'a enseigné.
Oui, demain c'est comme un autre [Abm] monde, demain rien n'est plus sûr, le poids du monde sur
les épaules, une époque qui veut éradiquer le futur, [Db] humanité du dernier round, eu à
l'usure, alors c'est ça que sont devenus les descendants des sages, [Ebm] aveuglés par ce
qui brille, on ne peut voir les présages, peu importe qu'on comprenne ou pas, je fais
passer le message, [B] le passé n'est plus, oui tout devient chimère, à la mémoire d'hier
et de tous ceux qui nous quittèrent.
[Ebm] J'ai dégringolé, ravin, soir d'hiver, depuis ne s'en libère que le parfum de mes [F] prières,
j'ai noirci des pages de grief, de larmes et de rage, alarme et société, ou armée
de [Bb] lâches, incarnés, j'ai voulu toucher les étoiles, j'étais pas prêté, je crois que
je me suis plus que brûlé les [Ebm] doigts, alors je suis parti affronter mes peurs, à la belle
étoile, la nature m'a guéri parce que je suis resté [Abm] pieuse, seul avec moi-même à
regarder la danse, des constellations à méditer pour apaiser ma peine, parce [Db] que société
perverse t'écrasera si tu te perdes, te regardera de haut, du haut de sa basse, elle se demerde,
[Ebm] mais où on va si même les gens qui s'aiment se taisent, se détestent, se jugent et se
vendent et contre un peu d'espèces, je désespère pas, je sais que tout part d'un éclat, éclaire
de conscience, non j'obéis pas à un [Abm] état, à l'heure où s'accélère les sortilèges
des CRS qui fragasseraient même un cortège de veuves et d [Db]'orphelins, je suis né dans
ce monde, en le dénonçant je m'attire les foudres parce que je chante, son effondrement
un peu seul contre [Ebm] tous, je suis né dans ce monde, de béton dans ce mitard, né comme
toi sous les néons, glock d'une salle d'hôpital, bienvenue ici Basile, grandeur nature, communication
airtienne, pour se faire entendre faut brûler tes [Abm] voitures, alors j'ai créé entre les
lignes et les ratures, entre la lumière et la brume, entre le soleil et la lune, [Db] car
j'ai grandi trop vite, je rejette la vie d'adulte et comme j'ai vu à qui profite
la merde, j'ai épousé la lutte, [Ebm] toi qui est parti marcher tes rêves, je te salue,
éterne et l'éphémère, ce qui était ne sera plus, sors de ta rue et vois le monde
qui t'a vu naître, la force est infinie comme l'univers ou l'âme humaine, [Abm] près
d'un son esprit, les médias c'est l'âme du règne, ceux qui accusent l'incendie sont
souvent ceux qui l'allumèrent, [Db] enfants de la lumière, sors de la cage intime, aucune
cause n'est perdue, aucune prière [Fm] n'est indigne [Ebm] dans nos têtes, le monde s'imbibe
et s'imbrique, sa voyage en un clic, Babylone n'est qu'un crime, [B] ici tout a un prix, même
ceux qu'on achète pas, frangins y'a pas que les stars, sans mal est scar, [Ebm] on est esclave
la, terre est grande pourtant on a pas assez de place, monde bestial, alors on se noie
en regardant l'espace, [F] quart regard, BDM au jour le jour car on ne sait pas, de quoi
sera fait demain, souvent les chemins se [Bb] séparent, héritiers du venin mais on ne souille pas
le cristal, le quetzal, est-ce nous sommes les plumes qui racontent non, une autre [Ebm] histoire,
héritiers d'une parole, d'un esprit ancestral, malgré les interférences de l'époque, [Abm] non,
on a pas toujours l'étoffe du message ni l'envergure mais on s'efforce de penser
sage même dans l [Db]'amertume, grandissant, angle avert, Dieu me connecter à la terre,
on a redécouvert ce qu'on [Bb] croyait avoir [Ebm] perdu, héritiers, illuminés, rappelle toi, Babylone
a plié nos ancêtres pour s'autoproclamer roi, tant de mal a été fait, peut-on soigner
les plaies en les niant, dans ton crancœur émanent des [Abm] blessés, la guérison vient du
pardon, oui c'est vrai mais pour pardonner faut aussi que chacun reconnaisse ses méfaits,
[Db] ici le tortionnaire te parle de haut, te traite de fou, insulte tes rêves et tes racines,
sa chante sur le peu qui reste beau, [Ebm] interminable serait la liste mais comprend le vrai problème,
guéris-toi d'abord car le monde est d'abord en nous-mêmes, c'est ce que la vie m'a enseigné
dans mon calvaire, planète bleue arrivée en 2012, oui j'ai pleuré la [Abm] terre dans des
révélations, pourtant tous embrouillés, embourbés, mais qui par enquête finira par
[Db] trouver, partout les mêmes masques sur les cœurs, c'est parce que ça aime trop sa coquille
que ça refuse d [Ebm]'éclore, éclore c'est douloureux, mélange madie c'est pas trop tard, dis-leur
que petite graine te viendra pas au pape. _ _ _ _ _ _ _
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