Chords for Keny Arkana - Eh connard
Tempo:
94.25 bpm
Chords used:
C#
Fm
D#
F
C
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[C#] [D#] [C#]
[Fm] [C#] [F] [C#]
[Fm] [C#] [F] [C#]
[Fm] [C#] [F] [C#]
[C] Tu te rappelles quand tu disais [C#] que je faisais partie de ces gosses [D#] qui ne s'en sortiront
jamais, [C#] intonables et bien trop [C] féroces, qui t'allisaient ton [C#] sang quand t'obéir
aux doigts et [F] à l'œil, qui n'avaient que des cendres [C#] et un besoin de vivre à 100
[C] à l'heure ?
Tu te rappelles [C#] quand tu disais que j'atteindrais pas [D#] les sept spigets, que
je finirais [C#] morte dans un coin de rue où j'y [C] serais lame, une gosse perdue, [C#] qu'on
n'avait plus rien à carrer, [F] où un avenir en cellule derrière [C#] les barouches et les
[C] tarés ?
Connard, tu te rappelles [C#] quand tu pensais que [D#] j'étais bonne, qu'à fuguer,
[C#] qu'à faire la conne, où on me [C] défantait, l'exemple [C#] imprécis, tel que les lois haïssées,
[D#] pointé du doigt et qui pisse et [C#] douce, puis je n'ai plus ce qu'on a risé, [Fm] bref,
la totale, tu te [C#] rappelles, que quand tu parlais de moi, [D#] tu ne parlais jamais au futur, [C#] putain,
j'en avais marre des fois, [Fm] toutes ces conneries, mais [C#] regardez, tu ne vas pas dégoûter,
[D#] mais je suis en vie et je ne regrette pas [C#] d'avoir jamais écouté.
[Fm] Et connard, c'est à toi que je parle, dis-moi, tu te reconnais, directeur de centre et de
maison d'enfants, et laisse-moi rigoler, nous écris et tout, et j'écris tout pour
détruire les gamins, [F] ou les proies des parents, connard, personne ne peut créter en demain,
[Fm] et connard, c'est à toi que je parle et je ne vais pas oublier, c'est une qualité,
que vous ne putez ni des belles paroles, qui finalement, racaillent le peu d'espoir qui
reste, hein, toi tu dis qu'il n'y en a plus, [A#m] moi je m'en fous, je n'ai jamais écouté,
mais ma mère, elle t'a cru, [C] tu te rappelles, quand tu lui [C#] disais que mon cas était [D#] irratrapable
et que, rejoindre deux [C#] trois chemins, j'en étais bien [C] incapable, c'était, on ne peut
plus [C#] sauver cette sauvage, madame [D#] crucifère, mais qu'est-ce qu'il y a de plus, tu [C#] allais
me sauver toi, ou ton [Fm] lucifère, qu'est-ce que tu croyais, qu'on aide les mômes, à
part le [F] dressage, mais toutes vos institutions, [C#] maintenant à la perte, tu captes le [Fm] message,
alors, si tu crois toujours pour gagner l'obéissance, c'est par la force que ça se [C#] passe, et que
tu es toujours aussi [Fm] insensé, et connard, pour nous faire s'agir, c'était quoi tes
[F] méthodes, à ouais, troguer les mômes, [Fm] en gonflant leur tête de médoque, et connard,
trop facile de faire gober des neuroleptiques, à des petits saigneux devenus [C#] légumes par
tac à miso [C]-alchimique, et connard, à tes [Fm] yeux on était quoi tous, juste ma mauvaise
craine, petite raciste, noire coréenne, pouce avec fourberie, deuxième manche, arbre
de revanche, tu peux toujours prier ton joie, pour qu'aucun d'entre nous se venge, et connard,
c'est à toi, je pars, dis-moi, tu te reconnais, directeur de centre, aide mes bons enfants,
et laisse-moi rigoler, les yeux qui s'éblouent, les escure-feu, pour détruire les gamins,
ou les foires des barrans, connard, personne ne peut prétendre demain, et connard, c'est
à toi, je pars, les j'ai pas oublié, c'est une guerre, ni tes coups de pute, ni tes belles
paroles, qui finalement, rattaient le peu d'espoir qui reste, toi tu dis qu'il y en
a plus, moi je m'en fous, j'ai jamais écouté, mais ma mère était crue, tu te rappelles
lorsque tu ordonnais avec ta malveillance, qu'aucun étudiant ne devait me laisser une
seconde sans surveillance, de peur que je parte, qu'est-ce qu'il y a, tu croyais que
j'allais me laisser mourir, dans ton enclos, ou attendre que quelqu'un vienne me secourir,
non mais qu'est-ce que tu croyais, qu'on soignait le feu avec de l'alcool, marcher
à la baguette, moi je t'en foutrais des piqûres d'alcool, car tu n'avais pas le
droit, et ça tu sais très bien d'ailleurs, tu pourrais traîner devant tes tribunaux,
tes pratiques de tirailleurs, mais bon c'est pas, non mais principe là, retourneras pour
toi aussi, et tu te rappelleras, c'est toujours là que moi et des autres petits indos qui
le carrient, une justice là-haut plus juste que votre système, et on finit toujours par
payer les effets des causes qu'on s'aime, hé connard, hé connard, c'est à toi que
je parle, tu te reconnais, hé connard, hé connard, c'est à toi que je parle, tu te
reconnais, hé connard, hé connard, c'est à toi que je parle, tu te reconnais, hé connard,
hé connard, hé connard, c'est à toi que je parle, dis-moi, tu te reconnais, directeur
de centre et de maison d'enfants, hé laisse-moi rigoler, monsieur qui t'écoute, mais c'est
ce qu'il nous faut pour détruire les [F] gamins ou les forts des parents, connard, personne
ne peut créer d [Fm]'endemain, hé connard, c'est à toi que je parle, et j'ai pas oublié,
t'es une guêne, ni t'écoutes, pute, ni t'éveilles, paroles qui finalement requièrent
le peu d'espoir qui reste, hein, toi tu dis qu'il y en a plus, moi je m'en fous,
j'ai jamais écouté, mais ma mère elle t'as cru, hé connard, c'est à toi que je
parle, dis-moi, tu te reconnais, directeur de centre et de maison d'enfants, hé laisse-moi
rigoler, je ne t'ai pas écouté, hé connard, c'est à toi que je parle, hé connard, c 'est
à toi que je parle, hé connard, c'est à toi que je parle, hé connard, c'est à toi
que je parle, hé connard, c'est à toi que je parle, hé connard, c'est à toi que je parle.
[D#] [C#]
[Fm] [C#] [F] [C#]
[Fm] [C#] [F] [C#]
[Fm] [C#] [F] [C#]
[C] Tu te rappelles quand tu disais [C#] que je faisais partie de ces gosses [D#] qui ne s'en sortiront
jamais, [C#] intonables et bien trop [C] féroces, qui t'allisaient ton [C#] sang quand t'obéir
aux doigts et [F] à l'œil, qui n'avaient que des cendres [C#] et un besoin de vivre à 100
[C] à l'heure ?
Tu te rappelles [C#] quand tu disais que j'atteindrais pas [D#] les sept spigets, que
je finirais [C#] morte dans un coin de rue où j'y [C] serais lame, une gosse perdue, [C#] qu'on
n'avait plus rien à carrer, [F] où un avenir en cellule derrière [C#] les barouches et les
[C] tarés ?
Connard, tu te rappelles [C#] quand tu pensais que [D#] j'étais bonne, qu'à fuguer,
[C#] qu'à faire la conne, où on me [C] défantait, l'exemple [C#] imprécis, tel que les lois haïssées,
[D#] pointé du doigt et qui pisse et [C#] douce, puis je n'ai plus ce qu'on a risé, [Fm] bref,
la totale, tu te [C#] rappelles, que quand tu parlais de moi, [D#] tu ne parlais jamais au futur, [C#] putain,
j'en avais marre des fois, [Fm] toutes ces conneries, mais [C#] regardez, tu ne vas pas dégoûter,
[D#] mais je suis en vie et je ne regrette pas [C#] d'avoir jamais écouté.
[Fm] Et connard, c'est à toi que je parle, dis-moi, tu te reconnais, directeur de centre et de
maison d'enfants, et laisse-moi rigoler, nous écris et tout, et j'écris tout pour
détruire les gamins, [F] ou les proies des parents, connard, personne ne peut créter en demain,
[Fm] et connard, c'est à toi que je parle et je ne vais pas oublier, c'est une qualité,
que vous ne putez ni des belles paroles, qui finalement, racaillent le peu d'espoir qui
reste, hein, toi tu dis qu'il n'y en a plus, [A#m] moi je m'en fous, je n'ai jamais écouté,
mais ma mère, elle t'a cru, [C] tu te rappelles, quand tu lui [C#] disais que mon cas était [D#] irratrapable
et que, rejoindre deux [C#] trois chemins, j'en étais bien [C] incapable, c'était, on ne peut
plus [C#] sauver cette sauvage, madame [D#] crucifère, mais qu'est-ce qu'il y a de plus, tu [C#] allais
me sauver toi, ou ton [Fm] lucifère, qu'est-ce que tu croyais, qu'on aide les mômes, à
part le [F] dressage, mais toutes vos institutions, [C#] maintenant à la perte, tu captes le [Fm] message,
alors, si tu crois toujours pour gagner l'obéissance, c'est par la force que ça se [C#] passe, et que
tu es toujours aussi [Fm] insensé, et connard, pour nous faire s'agir, c'était quoi tes
[F] méthodes, à ouais, troguer les mômes, [Fm] en gonflant leur tête de médoque, et connard,
trop facile de faire gober des neuroleptiques, à des petits saigneux devenus [C#] légumes par
tac à miso [C]-alchimique, et connard, à tes [Fm] yeux on était quoi tous, juste ma mauvaise
craine, petite raciste, noire coréenne, pouce avec fourberie, deuxième manche, arbre
de revanche, tu peux toujours prier ton joie, pour qu'aucun d'entre nous se venge, et connard,
c'est à toi, je pars, dis-moi, tu te reconnais, directeur de centre, aide mes bons enfants,
et laisse-moi rigoler, les yeux qui s'éblouent, les escure-feu, pour détruire les gamins,
ou les foires des barrans, connard, personne ne peut prétendre demain, et connard, c'est
à toi, je pars, les j'ai pas oublié, c'est une guerre, ni tes coups de pute, ni tes belles
paroles, qui finalement, rattaient le peu d'espoir qui reste, toi tu dis qu'il y en
a plus, moi je m'en fous, j'ai jamais écouté, mais ma mère était crue, tu te rappelles
lorsque tu ordonnais avec ta malveillance, qu'aucun étudiant ne devait me laisser une
seconde sans surveillance, de peur que je parte, qu'est-ce qu'il y a, tu croyais que
j'allais me laisser mourir, dans ton enclos, ou attendre que quelqu'un vienne me secourir,
non mais qu'est-ce que tu croyais, qu'on soignait le feu avec de l'alcool, marcher
à la baguette, moi je t'en foutrais des piqûres d'alcool, car tu n'avais pas le
droit, et ça tu sais très bien d'ailleurs, tu pourrais traîner devant tes tribunaux,
tes pratiques de tirailleurs, mais bon c'est pas, non mais principe là, retourneras pour
toi aussi, et tu te rappelleras, c'est toujours là que moi et des autres petits indos qui
le carrient, une justice là-haut plus juste que votre système, et on finit toujours par
payer les effets des causes qu'on s'aime, hé connard, hé connard, c'est à toi que
je parle, tu te reconnais, hé connard, hé connard, c'est à toi que je parle, tu te
reconnais, hé connard, hé connard, c'est à toi que je parle, tu te reconnais, hé connard,
hé connard, hé connard, c'est à toi que je parle, dis-moi, tu te reconnais, directeur
de centre et de maison d'enfants, hé laisse-moi rigoler, monsieur qui t'écoute, mais c'est
ce qu'il nous faut pour détruire les [F] gamins ou les forts des parents, connard, personne
ne peut créer d [Fm]'endemain, hé connard, c'est à toi que je parle, et j'ai pas oublié,
t'es une guêne, ni t'écoutes, pute, ni t'éveilles, paroles qui finalement requièrent
le peu d'espoir qui reste, hein, toi tu dis qu'il y en a plus, moi je m'en fous,
j'ai jamais écouté, mais ma mère elle t'as cru, hé connard, c'est à toi que je
parle, dis-moi, tu te reconnais, directeur de centre et de maison d'enfants, hé laisse-moi
rigoler, je ne t'ai pas écouté, hé connard, c'est à toi que je parle, hé connard, c 'est
à toi que je parle, hé connard, c'est à toi que je parle, hé connard, c'est à toi
que je parle, hé connard, c'est à toi que je parle, hé connard, c'est à toi que je parle.
[D#] [C#]
Key:
C#
Fm
D#
F
C
C#
Fm
D#
_ _ [C#] _ _ [D#] _ _ [C#] _ _
[Fm] _ _ [C#] _ _ [F] _ _ [C#] _ _
[Fm] _ _ [C#] _ _ [F] _ _ [C#] _ _
[Fm] _ _ [C#] _ _ [F] _ _ [C#] _
[C] Tu te rappelles quand tu disais [C#] que je faisais partie de ces gosses [D#] qui ne s'en sortiront
jamais, [C#] intonables et bien trop [C] féroces, qui t'allisaient ton [C#] sang quand t'obéir
aux doigts et [F] à l'œil, qui n'avaient que des cendres [C#] et un besoin de vivre à 100
[C] à l'heure ?
Tu te rappelles [C#] quand tu disais que j'atteindrais pas [D#] les sept spigets, que
je finirais [C#] morte dans un coin de rue où j'y [C] serais lame, une gosse perdue, [C#] qu'on
n'avait plus rien à carrer, [F] où un avenir en cellule derrière [C#] les barouches et les
[C] tarés ?
Connard, tu te rappelles [C#] quand tu pensais que [D#] j'étais bonne, qu'à fuguer,
[C#] qu'à faire la conne, où on me [C] défantait, l'exemple [C#] imprécis, tel que les lois haïssées,
[D#] pointé du doigt et qui pisse et [C#] douce, puis je n'ai plus ce qu'on a risé, [Fm] bref,
la totale, tu te [C#] rappelles, que quand tu parlais de moi, [D#] tu ne parlais jamais au futur, [C#] putain,
j'en avais marre des fois, [Fm] toutes ces conneries, mais [C#] regardez, tu ne vas pas dégoûter,
[D#] mais je suis en vie et je ne regrette pas [C#] d'avoir jamais écouté.
[Fm] Et connard, c'est à toi que je parle, dis-moi, tu te reconnais, directeur de centre et de
maison d'enfants, et laisse-moi rigoler, nous écris et tout, et j'écris tout pour
détruire les gamins, [F] ou les proies des parents, connard, personne ne peut créter en demain,
[Fm] et connard, c'est à toi que je parle et je ne vais pas oublier, c'est une qualité,
que vous ne putez ni des belles paroles, qui finalement, racaillent le peu d'espoir qui
reste, hein, toi tu dis qu'il n'y en a plus, [A#m] moi je m'en fous, je n'ai jamais écouté,
mais ma mère, elle t'a cru, [C] tu te rappelles, quand tu lui [C#] disais que mon cas était [D#] irratrapable
et que, rejoindre deux [C#] trois chemins, j'en étais bien [C] incapable, c'était, on ne peut
plus [C#] sauver cette sauvage, madame [D#] crucifère, mais qu'est-ce qu'il y a de plus, tu [C#] allais
me sauver toi, ou ton [Fm] lucifère, qu'est-ce que tu croyais, qu'on aide les mômes, à
part le [F] dressage, mais toutes vos institutions, [C#] maintenant à la perte, tu captes le [Fm] message,
alors, si tu crois toujours pour gagner l'obéissance, c'est par la force que ça se [C#] passe, et que
tu es toujours aussi [Fm] insensé, et connard, pour nous faire s'agir, c'était quoi tes
[F] méthodes, à ouais, troguer les mômes, [Fm] en gonflant leur tête de médoque, et connard,
trop facile de faire gober des neuroleptiques, à des petits saigneux devenus [C#] légumes par
tac à miso [C]-alchimique, et connard, à tes [Fm] yeux on était quoi tous, juste ma mauvaise
craine, petite raciste, noire coréenne, pouce avec fourberie, deuxième manche, arbre
de revanche, tu peux toujours prier ton joie, pour qu'aucun d'entre nous se venge, et connard,
c'est à toi, je pars, dis-moi, tu te reconnais, directeur de centre, aide mes bons enfants,
et laisse-moi rigoler, les yeux qui s'éblouent, les escure-feu, pour détruire les gamins,
ou les foires des barrans, connard, personne ne peut prétendre demain, et connard, c'est
à toi, je pars, les j'ai pas oublié, c'est une guerre, ni tes coups de pute, ni tes belles
paroles, qui finalement, rattaient le peu d'espoir qui reste, toi tu dis qu'il y en
a plus, moi je m'en fous, j'ai jamais écouté, mais ma mère était crue, tu te rappelles
lorsque tu ordonnais avec ta malveillance, qu'aucun étudiant ne devait me laisser une
seconde sans surveillance, de peur que je parte, qu'est-ce qu'il y a, tu croyais que
j'allais me laisser mourir, dans ton enclos, ou attendre que quelqu'un vienne me secourir,
non mais qu'est-ce que tu croyais, qu'on soignait le feu avec de l'alcool, marcher
à la baguette, moi je t'en foutrais des piqûres d'alcool, car tu n'avais pas le
droit, et ça tu sais très bien d'ailleurs, tu pourrais traîner devant tes tribunaux,
tes pratiques de tirailleurs, mais bon c'est pas, non mais principe là, retourneras pour
toi aussi, et tu te rappelleras, c'est toujours là que moi et des autres petits indos qui
le carrient, une justice là-haut plus juste que votre système, et on finit toujours par
payer les effets des causes qu'on s'aime, hé connard, hé connard, c'est à toi que
je parle, tu te reconnais, hé connard, hé connard, c'est à toi que je parle, tu te
reconnais, hé connard, hé connard, c'est à toi que je parle, tu te reconnais, hé connard,
hé connard, hé connard, c'est à toi que je parle, dis-moi, tu te reconnais, directeur
de centre et de maison d'enfants, hé laisse-moi rigoler, monsieur qui t'écoute, mais c'est
ce qu'il nous faut pour détruire les [F] gamins ou les forts des parents, connard, personne
ne peut créer d [Fm]'endemain, hé connard, c'est à toi que je parle, et j'ai pas oublié,
t'es une guêne, ni t'écoutes, pute, ni t'éveilles, paroles qui finalement requièrent
le peu d'espoir qui reste, hein, toi tu dis qu'il y en a plus, moi je m'en fous,
j'ai jamais écouté, mais ma mère elle t'as cru, hé connard, c'est à toi que je
parle, dis-moi, tu te reconnais, directeur de centre et de maison d'enfants, hé laisse-moi
rigoler, je _ _ _ _ _ ne t'ai _ _ _ pas _ écouté, hé connard, c'est à toi que je parle, hé _ _ _ _ connard, c _ _ _ 'est
à toi que je parle, hé connard, c'est à toi que je parle, hé connard, c'est à toi
que je parle, _ hé connard, c'est à toi que je parle, hé connard, c'est à toi que je parle.
_ [D#] _ _ [C#] _
[Fm] _ _ [C#] _ _ [F] _ _ [C#] _ _
[Fm] _ _ [C#] _ _ [F] _ _ [C#] _ _
[Fm] _ _ [C#] _ _ [F] _ _ [C#] _
[C] Tu te rappelles quand tu disais [C#] que je faisais partie de ces gosses [D#] qui ne s'en sortiront
jamais, [C#] intonables et bien trop [C] féroces, qui t'allisaient ton [C#] sang quand t'obéir
aux doigts et [F] à l'œil, qui n'avaient que des cendres [C#] et un besoin de vivre à 100
[C] à l'heure ?
Tu te rappelles [C#] quand tu disais que j'atteindrais pas [D#] les sept spigets, que
je finirais [C#] morte dans un coin de rue où j'y [C] serais lame, une gosse perdue, [C#] qu'on
n'avait plus rien à carrer, [F] où un avenir en cellule derrière [C#] les barouches et les
[C] tarés ?
Connard, tu te rappelles [C#] quand tu pensais que [D#] j'étais bonne, qu'à fuguer,
[C#] qu'à faire la conne, où on me [C] défantait, l'exemple [C#] imprécis, tel que les lois haïssées,
[D#] pointé du doigt et qui pisse et [C#] douce, puis je n'ai plus ce qu'on a risé, [Fm] bref,
la totale, tu te [C#] rappelles, que quand tu parlais de moi, [D#] tu ne parlais jamais au futur, [C#] putain,
j'en avais marre des fois, [Fm] toutes ces conneries, mais [C#] regardez, tu ne vas pas dégoûter,
[D#] mais je suis en vie et je ne regrette pas [C#] d'avoir jamais écouté.
[Fm] Et connard, c'est à toi que je parle, dis-moi, tu te reconnais, directeur de centre et de
maison d'enfants, et laisse-moi rigoler, nous écris et tout, et j'écris tout pour
détruire les gamins, [F] ou les proies des parents, connard, personne ne peut créter en demain,
[Fm] et connard, c'est à toi que je parle et je ne vais pas oublier, c'est une qualité,
que vous ne putez ni des belles paroles, qui finalement, racaillent le peu d'espoir qui
reste, hein, toi tu dis qu'il n'y en a plus, [A#m] moi je m'en fous, je n'ai jamais écouté,
mais ma mère, elle t'a cru, [C] tu te rappelles, quand tu lui [C#] disais que mon cas était [D#] irratrapable
et que, rejoindre deux [C#] trois chemins, j'en étais bien [C] incapable, c'était, on ne peut
plus [C#] sauver cette sauvage, madame [D#] crucifère, mais qu'est-ce qu'il y a de plus, tu [C#] allais
me sauver toi, ou ton [Fm] lucifère, qu'est-ce que tu croyais, qu'on aide les mômes, à
part le [F] dressage, mais toutes vos institutions, [C#] maintenant à la perte, tu captes le [Fm] message,
alors, si tu crois toujours pour gagner l'obéissance, c'est par la force que ça se [C#] passe, et que
tu es toujours aussi [Fm] insensé, et connard, pour nous faire s'agir, c'était quoi tes
[F] méthodes, à ouais, troguer les mômes, [Fm] en gonflant leur tête de médoque, et connard,
trop facile de faire gober des neuroleptiques, à des petits saigneux devenus [C#] légumes par
tac à miso [C]-alchimique, et connard, à tes [Fm] yeux on était quoi tous, juste ma mauvaise
craine, petite raciste, noire coréenne, pouce avec fourberie, deuxième manche, arbre
de revanche, tu peux toujours prier ton joie, pour qu'aucun d'entre nous se venge, et connard,
c'est à toi, je pars, dis-moi, tu te reconnais, directeur de centre, aide mes bons enfants,
et laisse-moi rigoler, les yeux qui s'éblouent, les escure-feu, pour détruire les gamins,
ou les foires des barrans, connard, personne ne peut prétendre demain, et connard, c'est
à toi, je pars, les j'ai pas oublié, c'est une guerre, ni tes coups de pute, ni tes belles
paroles, qui finalement, rattaient le peu d'espoir qui reste, toi tu dis qu'il y en
a plus, moi je m'en fous, j'ai jamais écouté, mais ma mère était crue, tu te rappelles
lorsque tu ordonnais avec ta malveillance, qu'aucun étudiant ne devait me laisser une
seconde sans surveillance, de peur que je parte, qu'est-ce qu'il y a, tu croyais que
j'allais me laisser mourir, dans ton enclos, ou attendre que quelqu'un vienne me secourir,
non mais qu'est-ce que tu croyais, qu'on soignait le feu avec de l'alcool, marcher
à la baguette, moi je t'en foutrais des piqûres d'alcool, car tu n'avais pas le
droit, et ça tu sais très bien d'ailleurs, tu pourrais traîner devant tes tribunaux,
tes pratiques de tirailleurs, mais bon c'est pas, non mais principe là, retourneras pour
toi aussi, et tu te rappelleras, c'est toujours là que moi et des autres petits indos qui
le carrient, une justice là-haut plus juste que votre système, et on finit toujours par
payer les effets des causes qu'on s'aime, hé connard, hé connard, c'est à toi que
je parle, tu te reconnais, hé connard, hé connard, c'est à toi que je parle, tu te
reconnais, hé connard, hé connard, c'est à toi que je parle, tu te reconnais, hé connard,
hé connard, hé connard, c'est à toi que je parle, dis-moi, tu te reconnais, directeur
de centre et de maison d'enfants, hé laisse-moi rigoler, monsieur qui t'écoute, mais c'est
ce qu'il nous faut pour détruire les [F] gamins ou les forts des parents, connard, personne
ne peut créer d [Fm]'endemain, hé connard, c'est à toi que je parle, et j'ai pas oublié,
t'es une guêne, ni t'écoutes, pute, ni t'éveilles, paroles qui finalement requièrent
le peu d'espoir qui reste, hein, toi tu dis qu'il y en a plus, moi je m'en fous,
j'ai jamais écouté, mais ma mère elle t'as cru, hé connard, c'est à toi que je
parle, dis-moi, tu te reconnais, directeur de centre et de maison d'enfants, hé laisse-moi
rigoler, je _ _ _ _ _ ne t'ai _ _ _ pas _ écouté, hé connard, c'est à toi que je parle, hé _ _ _ _ connard, c _ _ _ 'est
à toi que je parle, hé connard, c'est à toi que je parle, hé connard, c'est à toi
que je parle, _ hé connard, c'est à toi que je parle, hé connard, c'est à toi que je parle.
_ [D#] _ _ [C#] _