Chords for Kasia
Tempo:
82 bpm
Chords used:
D
E
C#
A
Bm
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret

Start Jamming...
Cachant son dort dans son appartement,
Sa [D] mèche de cheveux qui fout le feu,
À la cinquième, c'est New York qui affroint,
Et moi aussi, je crois, [G#] mais de la voir poser
Là au [E] centre des ombres,
[G#] Comme le rayon d'un Dieu, mais d [D]'un Dieu sans [G#] église,
Dans les cendres d'un feu qui le [D] cœur vous aiguise,
[B] Comme un chemin de croix, mais qui vous offre pas,
[E] Comme une apparition,
[F#m] Il se lèvera bientôt, je serai là vite,
On [D] parlera un peu, dans le mar du café noir,
Puis elle mettra sur elle de la soie de Bombay,
Des [E] ombres [C#m] en paupières, son âme hallucinée,
[D] Je suivrai du regard, travirai les [C#] remparts,
Et dans ses yeux sans fond, où [A] l'on cherche des histoires,
[B] J'y entendrai les voix qui nous mènent à la lumière,
[E] Qui nous mènent à la mer.
[D]
Cachant dans les étoiles, c'est l'étoile du noir,
Le [Bm] chemin infini qui relie l'âme au corps,
[E] C'est la beauté du tout, ce qu'on ne peut tenir,
L [C#]'oxygène à mes nuits, la [C#] force des sourires,
Qui [D] filent entre les mains, c'est tout ce qu'on ne peut,
[A] Pas expliquer enfin, [E] c'est la grâce, oui c'est Dieu,
[B] Et j'y crois, [F#m] quand elle danse pour moi,
Qu'elle me fait sentir plein, qu'elle [D] joue avec mon âme,
Qu [F#m]'elle y met son parfum, quand dans mes [E] intérieurs,
Qu'il y a des brumes à l'aurore,
Elle me [C#m] prend dans ses doigts du [E] pourpre,
Elle fait de l [D]'or, et c'est là que je vais loin,
Loin du chemin des [C#] tristes, quand elle m'emporte au fond,
De ses [A] yeux bien trop clairs, [Bm] qui ont la couleur d'un est,
Toujours un peu à l'ouest, [E] elle, elle dit que tout va bien,
Si [D] tu la croises un jour, à la pointe du jour,
[Bm] Elle t'emmène, rassure, pour te montrer l'amour,
[E] Et ces ombres de Chine, qui deviennent lumière,
[C#] Et ces vagues, toujours, qui retournent à la mer,
Qu [D]'on avait cru pardus, c'est celui qui revient,
[A] Quand ton âme des nus, [E] a perdu son chemin,
[D] Cachat, quand elle est là, c'est le chant des marins,
Que [Bm] tu entends au loin, c'est le dessein d'un saint,
Qui [E] fait oublier ce mal, que l'on s'est fait pour rien,
[C#] Cachat, c'est pas la fin, c'est juste nos destins,
C [D]'est un peu comme un don, un tableau italien,
C [A]'est un 4 septembre, qui [E] se marie en juin,
[D]
[Bm]
[E]
[C#]
[D]
[A]
[E]
[F#]
Cachat [C#m] s'endort, dans son appartement,
[D] Sa mèche de cheveux, qui fout le feu,
A la cinquième, c'est New York qui a froid,
Et moi aussi, je crois, mais de la [Am] voir,
Posée, là, au [E] centre des ombres,
[C#] Je m'assois à ses hanches, et je regarde, grâce,
Et puis, quand je m'y penche, sans [D] prendre trop de [B] place,
Moi, je suis le rivière, de ses yeux, qui [E] lumière,
L'oxygène à ma flamme.
Sa [D] mèche de cheveux qui fout le feu,
À la cinquième, c'est New York qui affroint,
Et moi aussi, je crois, [G#] mais de la voir poser
Là au [E] centre des ombres,
[G#] Comme le rayon d'un Dieu, mais d [D]'un Dieu sans [G#] église,
Dans les cendres d'un feu qui le [D] cœur vous aiguise,
[B] Comme un chemin de croix, mais qui vous offre pas,
[E] Comme une apparition,
[F#m] Il se lèvera bientôt, je serai là vite,
On [D] parlera un peu, dans le mar du café noir,
Puis elle mettra sur elle de la soie de Bombay,
Des [E] ombres [C#m] en paupières, son âme hallucinée,
[D] Je suivrai du regard, travirai les [C#] remparts,
Et dans ses yeux sans fond, où [A] l'on cherche des histoires,
[B] J'y entendrai les voix qui nous mènent à la lumière,
[E] Qui nous mènent à la mer.
[D]
Cachant dans les étoiles, c'est l'étoile du noir,
Le [Bm] chemin infini qui relie l'âme au corps,
[E] C'est la beauté du tout, ce qu'on ne peut tenir,
L [C#]'oxygène à mes nuits, la [C#] force des sourires,
Qui [D] filent entre les mains, c'est tout ce qu'on ne peut,
[A] Pas expliquer enfin, [E] c'est la grâce, oui c'est Dieu,
[B] Et j'y crois, [F#m] quand elle danse pour moi,
Qu'elle me fait sentir plein, qu'elle [D] joue avec mon âme,
Qu [F#m]'elle y met son parfum, quand dans mes [E] intérieurs,
Qu'il y a des brumes à l'aurore,
Elle me [C#m] prend dans ses doigts du [E] pourpre,
Elle fait de l [D]'or, et c'est là que je vais loin,
Loin du chemin des [C#] tristes, quand elle m'emporte au fond,
De ses [A] yeux bien trop clairs, [Bm] qui ont la couleur d'un est,
Toujours un peu à l'ouest, [E] elle, elle dit que tout va bien,
Si [D] tu la croises un jour, à la pointe du jour,
[Bm] Elle t'emmène, rassure, pour te montrer l'amour,
[E] Et ces ombres de Chine, qui deviennent lumière,
[C#] Et ces vagues, toujours, qui retournent à la mer,
Qu [D]'on avait cru pardus, c'est celui qui revient,
[A] Quand ton âme des nus, [E] a perdu son chemin,
[D] Cachat, quand elle est là, c'est le chant des marins,
Que [Bm] tu entends au loin, c'est le dessein d'un saint,
Qui [E] fait oublier ce mal, que l'on s'est fait pour rien,
[C#] Cachat, c'est pas la fin, c'est juste nos destins,
C [D]'est un peu comme un don, un tableau italien,
C [A]'est un 4 septembre, qui [E] se marie en juin,
[D]
[Bm]
[E]
[C#]
[D]
[A]
[E]
[F#]
Cachat [C#m] s'endort, dans son appartement,
[D] Sa mèche de cheveux, qui fout le feu,
A la cinquième, c'est New York qui a froid,
Et moi aussi, je crois, mais de la [Am] voir,
Posée, là, au [E] centre des ombres,
[C#] Je m'assois à ses hanches, et je regarde, grâce,
Et puis, quand je m'y penche, sans [D] prendre trop de [B] place,
Moi, je suis le rivière, de ses yeux, qui [E] lumière,
L'oxygène à ma flamme.
Key:
D
E
C#
A
Bm
D
E
C#
Cachant son dort dans son appartement,
Sa [D] mèche de cheveux qui fout le feu,
À la cinquième, c'est New York qui affroint,
Et moi aussi, je crois, [G#] mais de la voir poser
Là au [E] centre des ombres,
[G#] Comme le rayon d'un Dieu, mais d [D]'un Dieu sans [G#] église,
Dans les cendres d'un feu qui le [D] cœur vous aiguise,
[B] Comme un chemin de croix, mais qui vous offre pas,
[E] Comme une apparition, _
_ _ [F#m] Il se lèvera bientôt, je serai là vite,
On [D] parlera un peu, dans le mar du café noir,
Puis elle mettra sur elle de la soie de Bombay,
Des [E] ombres [C#m] en paupières, son âme hallucinée,
[D] Je suivrai du regard, travirai les [C#] remparts,
Et dans ses yeux sans fond, où [A] l'on cherche des histoires,
[B] J'y entendrai les voix qui nous mènent à la lumière,
[E] Qui nous mènent à la mer.
_ _ _ [D]
Cachant dans les étoiles, c'est l'étoile du noir,
Le [Bm] chemin infini qui relie l'âme au corps,
[E] C'est la beauté du tout, ce qu'on ne peut tenir,
L [C#]'oxygène à mes nuits, la [C#] force des sourires,
Qui [D] filent entre les mains, c'est tout ce qu'on ne peut,
[A] Pas expliquer enfin, [E] c'est la grâce, oui c'est Dieu,
_ _ [B] Et j'y crois, _ _ [F#m] quand elle danse pour moi,
Qu'elle me fait sentir plein, qu'elle [D] joue avec mon âme,
Qu [F#m]'elle y met son parfum, quand dans mes [E] intérieurs,
Qu'il y a des brumes à l'aurore,
Elle me [C#m] prend dans ses doigts du [E] pourpre,
Elle fait de l [D]'or, et c'est là que je vais loin,
Loin du chemin des [C#] tristes, quand elle m'emporte au fond,
De ses [A] yeux bien trop clairs, [Bm] qui ont la couleur d'un est,
Toujours un peu à l'ouest, [E] elle, elle dit que tout va bien,
Si [D] tu la croises un jour, à la pointe du jour,
[Bm] Elle t'emmène, rassure, pour te montrer l'amour,
[E] Et ces ombres de Chine, qui deviennent lumière,
[C#] Et ces vagues, toujours, qui retournent à la mer,
Qu [D]'on avait cru pardus, c'est celui qui revient,
[A] Quand ton âme des nus, [E] a perdu son chemin,
[D] Cachat, quand elle est là, c'est le chant des marins,
Que [Bm] tu entends au loin, c'est le dessein d'un saint,
Qui [E] fait oublier ce mal, que l'on s'est fait pour rien,
[C#] Cachat, c'est pas la fin, c'est juste nos destins,
C [D]'est un peu comme un don, un tableau italien,
C [A]'est un 4 septembre, qui [E] se marie en juin,
[D] _ _
_ _ _ _ [Bm] _ _
_ _ _ _ [E] _ _
_ _ _ _ [C#] _ _
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_ _ _ Cachat [C#m] s'endort, dans son appartement,
[D] Sa mèche de cheveux, qui fout le feu,
A la cinquième, c'est New York qui a froid,
Et moi aussi, je crois, mais de la [Am] voir,
Posée, là, au [E] centre des ombres,
[C#] Je m'assois à ses hanches, et je regarde, grâce,
Et puis, quand je m'y penche, sans [D] prendre trop de [B] place,
Moi, je suis le rivière, de ses yeux, qui [E] lumière,
L'oxygène à ma flamme. _ _ _ _
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Sa [D] mèche de cheveux qui fout le feu,
À la cinquième, c'est New York qui affroint,
Et moi aussi, je crois, [G#] mais de la voir poser
Là au [E] centre des ombres,
[G#] Comme le rayon d'un Dieu, mais d [D]'un Dieu sans [G#] église,
Dans les cendres d'un feu qui le [D] cœur vous aiguise,
[B] Comme un chemin de croix, mais qui vous offre pas,
[E] Comme une apparition, _
_ _ [F#m] Il se lèvera bientôt, je serai là vite,
On [D] parlera un peu, dans le mar du café noir,
Puis elle mettra sur elle de la soie de Bombay,
Des [E] ombres [C#m] en paupières, son âme hallucinée,
[D] Je suivrai du regard, travirai les [C#] remparts,
Et dans ses yeux sans fond, où [A] l'on cherche des histoires,
[B] J'y entendrai les voix qui nous mènent à la lumière,
[E] Qui nous mènent à la mer.
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Cachant dans les étoiles, c'est l'étoile du noir,
Le [Bm] chemin infini qui relie l'âme au corps,
[E] C'est la beauté du tout, ce qu'on ne peut tenir,
L [C#]'oxygène à mes nuits, la [C#] force des sourires,
Qui [D] filent entre les mains, c'est tout ce qu'on ne peut,
[A] Pas expliquer enfin, [E] c'est la grâce, oui c'est Dieu,
_ _ [B] Et j'y crois, _ _ [F#m] quand elle danse pour moi,
Qu'elle me fait sentir plein, qu'elle [D] joue avec mon âme,
Qu [F#m]'elle y met son parfum, quand dans mes [E] intérieurs,
Qu'il y a des brumes à l'aurore,
Elle me [C#m] prend dans ses doigts du [E] pourpre,
Elle fait de l [D]'or, et c'est là que je vais loin,
Loin du chemin des [C#] tristes, quand elle m'emporte au fond,
De ses [A] yeux bien trop clairs, [Bm] qui ont la couleur d'un est,
Toujours un peu à l'ouest, [E] elle, elle dit que tout va bien,
Si [D] tu la croises un jour, à la pointe du jour,
[Bm] Elle t'emmène, rassure, pour te montrer l'amour,
[E] Et ces ombres de Chine, qui deviennent lumière,
[C#] Et ces vagues, toujours, qui retournent à la mer,
Qu [D]'on avait cru pardus, c'est celui qui revient,
[A] Quand ton âme des nus, [E] a perdu son chemin,
[D] Cachat, quand elle est là, c'est le chant des marins,
Que [Bm] tu entends au loin, c'est le dessein d'un saint,
Qui [E] fait oublier ce mal, que l'on s'est fait pour rien,
[C#] Cachat, c'est pas la fin, c'est juste nos destins,
C [D]'est un peu comme un don, un tableau italien,
C [A]'est un 4 septembre, qui [E] se marie en juin,
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[D] Sa mèche de cheveux, qui fout le feu,
A la cinquième, c'est New York qui a froid,
Et moi aussi, je crois, mais de la [Am] voir,
Posée, là, au [E] centre des ombres,
[C#] Je m'assois à ses hanches, et je regarde, grâce,
Et puis, quand je m'y penche, sans [D] prendre trop de [B] place,
Moi, je suis le rivière, de ses yeux, qui [E] lumière,
L'oxygène à ma flamme. _ _ _ _
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