Chords for Juliette Noureddine : l'éternel féminin
Tempo:
86.65 bpm
Chords used:
Cm
C
A
G
F#
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Cm]
Dans mon sous-sol crasse où brûlent mes fourneaux, où les amedones grillent [B] de vase en eau,
[Cm] regardez qui est là qui attise les flammes, régnant sur les enfers, le diable est une femme.
Rien d'étonnant n'est-ce pas ?
Des brûles jusqu'aux blondes, par elles sont advenues tous les malheurs du monde.
[Cm] Le diable est une femme et vous vous en doutiez, [A#] la place d'une femme n'est-elle pas au foyer ?
[A]
Sur mon lit [D#] calciné, [G] là, si vessifle, [C] ruelle, [C#] comment pour m [Dm] [A]'invoquer ?
Faut [A#]-il que l'on m'appelle [C] ?
Mes diables et mes [F#m] hommes, et Dieu même [C] en personne, tout [F#] simplement me [Cm] nomment patronne.
Depuis tant de prophètes, de savants vertueux, l'équation est logique, c'est [A] la preuve [Cm] par deux.
On l'attend pour enclaver sur un ton formidable, le diable est une femme, les femmes c'est le diable.
Et qu'elles soient victimes ou qu'elles soient complices de leurs malheurs et fils et de leurs maléfices,
frappés dans les premiers talibans [A#] ordinaires, ces démons adorés, car il [Cm] faut les faire perdre.
Sur mon [A] lit calciné, là, si [F] vessifle, ruelle, [F] messieurs, [C#] venez m'aider [Em] à ôter [D] mes [C] dentes,
dans vos brûlons et moi, [A] ainsi que je [G] leur donne.
Allez, [D#] [F#] appelez-moi [G] patronne.
Quelle que [Gm] soit le brigand, il y a la corruptrice, consciente du pouvoir qui dort entre ses cuisses,
qui suscire les ordres et les avis punestes.
[A#] Vous, mes soeurs, les salopes, les putains [Cm] et les bêtes.
Derrière chaque type, sans [Gm] foi ni loi ni âme, si vous cherchez le diable, [A] vous trouverez [C] la femme,
la gueuse de la prêtresse, la garce et la sorcière, [A#] la fille de Borgia et la [C] maman d'Hitler.
Sur mon lit [A] calciné, là, si vessifle, [Cm] ruelle, je vous [D] attends, venez, mes belles demoiselles,
que votre dernier mot, [G] que la vie abandonne, [C] soit dans un souvre [F#]-sou, [C] patronne.
[Cm]
En attendant, je compte vos crimes et vos bassesses, tous vos pieux mensonges et vos histoires de fesses.
[Cm] J'encourage le vice, je provoque des guerres, je dirige [F#m] le monde [Cm] et Dieu me laisse faire.
Parce que Dieu se fout bien de vos petits tourments, avec ses anges [F] blancs dans son blanc firmament.
[Cm] Dieu est tellement belle, c'est une femme généreuse, mais ne [D#m] vous y fiez pas, ça [G] réduit la lumeur.
[C] [Cm]
[F#] Sur mon [G] lit [D#] calciné, [F] là, [A] s'il est si [C] cruelle, [Cm] pour vêter vos [A] péchés, [F#] [G] je réponds à [Cm] l'appel.
[C] Et pour me [D] faire venir d'une [Cm] voix qui frissonne, il [F#] suffit de redire.
Dans mon sous-sol crasse où brûlent mes fourneaux, où les amedones grillent [B] de vase en eau,
[Cm] regardez qui est là qui attise les flammes, régnant sur les enfers, le diable est une femme.
Rien d'étonnant n'est-ce pas ?
Des brûles jusqu'aux blondes, par elles sont advenues tous les malheurs du monde.
[Cm] Le diable est une femme et vous vous en doutiez, [A#] la place d'une femme n'est-elle pas au foyer ?
[A]
Sur mon lit [D#] calciné, [G] là, si vessifle, [C] ruelle, [C#] comment pour m [Dm] [A]'invoquer ?
Faut [A#]-il que l'on m'appelle [C] ?
Mes diables et mes [F#m] hommes, et Dieu même [C] en personne, tout [F#] simplement me [Cm] nomment patronne.
Depuis tant de prophètes, de savants vertueux, l'équation est logique, c'est [A] la preuve [Cm] par deux.
On l'attend pour enclaver sur un ton formidable, le diable est une femme, les femmes c'est le diable.
Et qu'elles soient victimes ou qu'elles soient complices de leurs malheurs et fils et de leurs maléfices,
frappés dans les premiers talibans [A#] ordinaires, ces démons adorés, car il [Cm] faut les faire perdre.
Sur mon [A] lit calciné, là, si [F] vessifle, ruelle, [F] messieurs, [C#] venez m'aider [Em] à ôter [D] mes [C] dentes,
dans vos brûlons et moi, [A] ainsi que je [G] leur donne.
Allez, [D#] [F#] appelez-moi [G] patronne.
Quelle que [Gm] soit le brigand, il y a la corruptrice, consciente du pouvoir qui dort entre ses cuisses,
qui suscire les ordres et les avis punestes.
[A#] Vous, mes soeurs, les salopes, les putains [Cm] et les bêtes.
Derrière chaque type, sans [Gm] foi ni loi ni âme, si vous cherchez le diable, [A] vous trouverez [C] la femme,
la gueuse de la prêtresse, la garce et la sorcière, [A#] la fille de Borgia et la [C] maman d'Hitler.
Sur mon lit [A] calciné, là, si vessifle, [Cm] ruelle, je vous [D] attends, venez, mes belles demoiselles,
que votre dernier mot, [G] que la vie abandonne, [C] soit dans un souvre [F#]-sou, [C] patronne.
[Cm]
En attendant, je compte vos crimes et vos bassesses, tous vos pieux mensonges et vos histoires de fesses.
[Cm] J'encourage le vice, je provoque des guerres, je dirige [F#m] le monde [Cm] et Dieu me laisse faire.
Parce que Dieu se fout bien de vos petits tourments, avec ses anges [F] blancs dans son blanc firmament.
[Cm] Dieu est tellement belle, c'est une femme généreuse, mais ne [D#m] vous y fiez pas, ça [G] réduit la lumeur.
[C] [Cm]
[F#] Sur mon [G] lit [D#] calciné, [F] là, [A] s'il est si [C] cruelle, [Cm] pour vêter vos [A] péchés, [F#] [G] je réponds à [Cm] l'appel.
[C] Et pour me [D] faire venir d'une [Cm] voix qui frissonne, il [F#] suffit de redire.
Key:
Cm
C
A
G
F#
Cm
C
A
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_ [Cm] _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ Dans mon sous-sol crasse où brûlent mes fourneaux, où les amedones grillent [B] de vase en eau,
[Cm] regardez qui est là qui attise les flammes, régnant sur les enfers, le diable est une femme.
Rien d'étonnant n'est-ce pas ?
Des brûles jusqu'aux blondes, par elles sont advenues tous les malheurs du monde.
[Cm] Le diable est une femme et vous vous en doutiez, [A#] la place d'une femme n'est-elle pas au foyer ?
_ _ _ _ [A]
Sur mon lit [D#] _ calciné, [G] là, si vessifle, [C] ruelle, [C#] comment pour m [Dm] [A]'invoquer ?
Faut [A#]-il que l'on m'appelle [C] ?
Mes diables et mes [F#m] hommes, et Dieu même [C] en personne, tout [F#] simplement me [Cm] nomment patronne. _ _ _
_ Depuis tant de prophètes, de savants vertueux, l'équation est logique, c'est [A] la preuve [Cm] par deux.
On l'attend pour enclaver sur un ton formidable, le diable est une femme, les femmes c'est le diable.
_ Et qu'elles soient victimes ou qu'elles soient complices de leurs malheurs et fils et de leurs maléfices,
frappés dans les premiers talibans [A#] ordinaires, ces démons adorés, car il [Cm] faut les faire perdre. _
_ Sur mon [A] lit calciné, là, si [F] vessifle, ruelle, [F] messieurs, [C#] venez m'aider [Em] à ôter [D] mes [C] dentes,
dans vos brûlons et moi, [A] ainsi que je [G] leur donne.
Allez, [D#] [F#] appelez-moi _ [G] patronne.
Quelle que [Gm] _ _ _ soit le brigand, il y a la corruptrice, consciente du pouvoir qui dort entre ses cuisses,
qui suscire les ordres et les avis punestes.
[A#] Vous, mes soeurs, les salopes, les putains [Cm] et les bêtes. _
_ Derrière chaque type, sans [Gm] foi ni loi ni âme, si vous cherchez le diable, [A] vous trouverez [C] la femme,
la gueuse de la prêtresse, la garce et la sorcière, [A#] la fille de Borgia et la [C] maman d'Hitler.
_ _ _ Sur mon lit [A] calciné, là, si vessifle, [Cm] ruelle, je vous [D] attends, venez, mes belles demoiselles,
que votre dernier mot, [G] que la vie abandonne, [C] soit dans un souvre [F#]-sou, _ [C] patronne.
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_ _ En attendant, je compte vos crimes et vos bassesses, tous vos pieux mensonges et vos histoires de fesses.
[Cm] J'encourage le vice, je provoque des guerres, je dirige [F#m] le monde [Cm] et Dieu me laisse faire.
Parce que Dieu se fout bien de vos petits tourments, avec ses anges [F] blancs dans son blanc firmament.
[Cm] Dieu est tellement belle, c'est une femme généreuse, mais ne [D#m] vous y fiez pas, ça [G] réduit la lumeur.
[C] _ _ _ _ _ _ [Cm] _
[F#] Sur mon [G] lit _ _ [D#] calciné, [F] là, [A] s'il est si [C] cruelle, [Cm] pour vêter vos [A] péchés, [F#] [G] je réponds à [Cm] l'appel. _ _
_ _ _ _ [C] _ Et pour me [D] faire venir d'une [Cm] voix qui frissonne, il [F#] suffit de redire. _ _ _ _ _
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_ _ _ _ Dans mon sous-sol crasse où brûlent mes fourneaux, où les amedones grillent [B] de vase en eau,
[Cm] regardez qui est là qui attise les flammes, régnant sur les enfers, le diable est une femme.
Rien d'étonnant n'est-ce pas ?
Des brûles jusqu'aux blondes, par elles sont advenues tous les malheurs du monde.
[Cm] Le diable est une femme et vous vous en doutiez, [A#] la place d'une femme n'est-elle pas au foyer ?
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Sur mon lit [D#] _ calciné, [G] là, si vessifle, [C] ruelle, [C#] comment pour m [Dm] [A]'invoquer ?
Faut [A#]-il que l'on m'appelle [C] ?
Mes diables et mes [F#m] hommes, et Dieu même [C] en personne, tout [F#] simplement me [Cm] nomment patronne. _ _ _
_ Depuis tant de prophètes, de savants vertueux, l'équation est logique, c'est [A] la preuve [Cm] par deux.
On l'attend pour enclaver sur un ton formidable, le diable est une femme, les femmes c'est le diable.
_ Et qu'elles soient victimes ou qu'elles soient complices de leurs malheurs et fils et de leurs maléfices,
frappés dans les premiers talibans [A#] ordinaires, ces démons adorés, car il [Cm] faut les faire perdre. _
_ Sur mon [A] lit calciné, là, si [F] vessifle, ruelle, [F] messieurs, [C#] venez m'aider [Em] à ôter [D] mes [C] dentes,
dans vos brûlons et moi, [A] ainsi que je [G] leur donne.
Allez, [D#] [F#] appelez-moi _ [G] patronne.
Quelle que [Gm] _ _ _ soit le brigand, il y a la corruptrice, consciente du pouvoir qui dort entre ses cuisses,
qui suscire les ordres et les avis punestes.
[A#] Vous, mes soeurs, les salopes, les putains [Cm] et les bêtes. _
_ Derrière chaque type, sans [Gm] foi ni loi ni âme, si vous cherchez le diable, [A] vous trouverez [C] la femme,
la gueuse de la prêtresse, la garce et la sorcière, [A#] la fille de Borgia et la [C] maman d'Hitler.
_ _ _ Sur mon lit [A] calciné, là, si vessifle, [Cm] ruelle, je vous [D] attends, venez, mes belles demoiselles,
que votre dernier mot, [G] que la vie abandonne, [C] soit dans un souvre [F#]-sou, _ [C] patronne.
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_ _ En attendant, je compte vos crimes et vos bassesses, tous vos pieux mensonges et vos histoires de fesses.
[Cm] J'encourage le vice, je provoque des guerres, je dirige [F#m] le monde [Cm] et Dieu me laisse faire.
Parce que Dieu se fout bien de vos petits tourments, avec ses anges [F] blancs dans son blanc firmament.
[Cm] Dieu est tellement belle, c'est une femme généreuse, mais ne [D#m] vous y fiez pas, ça [G] réduit la lumeur.
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[F#] Sur mon [G] lit _ _ [D#] calciné, [F] là, [A] s'il est si [C] cruelle, [Cm] pour vêter vos [A] péchés, [F#] [G] je réponds à [Cm] l'appel. _ _
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