Chords for Jazzy Bazz - Parfum (Official Audio)
Tempo:
90.55 bpm
Chords used:
C
Am
B
F
Gm
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Bm] [Bb] [C] [Am] Des odeurs qui rappellent [C] des moments, des souvenirs dont je ressens [B] le parfum,
[C] des arômes assommants [Am] quand les [C] vestiges se transforment en parpaings.
[Bb] Un [Gm] parfum sucré [Gb] peut rendre amer, [F] retour en arrière,
odeur de caramel et rien à faire à part [B] s'insulter.
Le cul [D] vissé sur des gradins usés, [C] soulage au nid, c'est l'empadère,
mes chagrins dans un jardin secret.
[Am] Flashback, odeur de [C] verdure, première sensation de liberté, un peu d'air pur,
[B] un voyage scolaire, [C] je ressens l'arôme, je revois [Am] la colère et l'accident,
[C] mais c'est comme si on portait des milliers de talismans,
donc malgré tout une bonne atmosphère.
Puis le retour sous les bâtiments, [Gm] frappé par le soleil,
[Ebm] en plein été l'odeur du [F] bitume sec, [Am] attendant que les disputes [F] cessent et que
sa [E] figure sèche, mes [Fm] confessions dans des écrits [Am] épistolaires,
[C] sans concession, le cœur braqué par des pistolets.
Des [Am] parfums qui font rejaillir des [C] souvenirs, des joies et des peines,
des larmes et des [B] sourires.
[C]
[Am] [C] [F] Loin du patronat, [C] issu du monde ouvrier, de la bonne cuisine de la nonna,
[B] l'odeur des polpettes, [C] mes papilles qui [E] palpitent, [Am] avant que je vacille,
que [Em] mes pupilles s [Gm]'écarquillent, embrumées par les fumées de [Ebm] chit qui nous ont bousillées.
[B] Je regrette l [C]'époque de l'anonymat, [F] et ma [B] pudeur est comme un bouclier,
[D] face aux notes de l [C]'harmonica, aux photos de [Am] pépé, le costard et la [F] gomina,
rien qu'on la ressasse, l'idée de [C] faire de la thune, les années passées,
[G] arrache les petites mains des vieilles paluches, qui [Ab] nous mettaient en garde contre les [Am] jeux de vilains.
[C] Pour se dire je t'aime, on attend que mille [Gm] années passent,
quand mes [Ebm] affaires sentaient la terre [F] battue, je rentrais [B] attiré par [F] l'odeur de la chaplure des mille [B] années sasses.
J [Fm]'apprends l'honneur dehors jusqu'à des [C] heures tardives,
tout ça passe par mes [F] narines, mais ça me prend au cœur,
avec ma voisine c'est pas [C] réciproque de toute façon,
chaque épisode est âcre même quand ça [B] sent le bonheur,
quand tu [C] vises le max, le parcours est laborieux,
je dois faire de multiples choix dans ce paysage [Gm] vaporeux,
des rêves [Gb] déjudés, le thé par ses [B] appérants,
m'étais [C] sur un seul sable, au nez qui [F] sent l'urine de [B] chahérant,
tout gars de [D] rue devient fou, une [E] embrouille sur l [Em]'avenue de Saint-Cloud,
et j'ai l'impression d'être adulte d'un coup,
des [F] parfums qui font [C] rejaillir des souvenirs,
des joies et des peines, des larmes et des [B] sourires,
des [C] parfums qui font rejaillir des [Am] souvenirs,
[C] ensevelis dans une mémoire qui ne demande qu'à [Gm] s'ouvrir,
l'odeur des [Ebm] bombes de peinture, d'une amitié [F] forte,
on trempe et l'attend, les [G] insultes, les coups de ceinture,
[D] la brutalité forge le [C] tempérament,
la roudine on s'en contentait [F] rarement,
la furie laisse place [C] à des gens qui sur ma musique s'exaltent,
et moi même [B] je suis surpris d'être là,
[C] puisqu'avant [E] je [Am] subissais le taf,
même si la galère nous unissait grave,
[Gm] ça sent mon enfance quand [Ebm] je repasse rue Goubet,
[Am] mon adolescence quand des fumigènes [F] crament,
[G] trop de mauvais flashbacks, comme si un [Abm] drame ne [Am] suffisait pas,
coupable quand [Em] je suis incapable de la consoler,
[F] quand je remplaçais les affaires d'école dans le [C] cartable,
par des bails à consommer, au cœur un [B] pincement,
car j'aimerais [C] capturer tous ces [E] instants [Am] impalpables,
[Em] pour les recomposer [Abm] et la [Gm] réconforter,
des [Gb] parfums qui font rejaillir des [F] souvenirs,
des joies et des peines, des larmes et des [B] sourires.
[Fm] [C]
[D] [Fm]
[Am] [Em] [Am]
[N]
[C] des arômes assommants [Am] quand les [C] vestiges se transforment en parpaings.
[Bb] Un [Gm] parfum sucré [Gb] peut rendre amer, [F] retour en arrière,
odeur de caramel et rien à faire à part [B] s'insulter.
Le cul [D] vissé sur des gradins usés, [C] soulage au nid, c'est l'empadère,
mes chagrins dans un jardin secret.
[Am] Flashback, odeur de [C] verdure, première sensation de liberté, un peu d'air pur,
[B] un voyage scolaire, [C] je ressens l'arôme, je revois [Am] la colère et l'accident,
[C] mais c'est comme si on portait des milliers de talismans,
donc malgré tout une bonne atmosphère.
Puis le retour sous les bâtiments, [Gm] frappé par le soleil,
[Ebm] en plein été l'odeur du [F] bitume sec, [Am] attendant que les disputes [F] cessent et que
sa [E] figure sèche, mes [Fm] confessions dans des écrits [Am] épistolaires,
[C] sans concession, le cœur braqué par des pistolets.
Des [Am] parfums qui font rejaillir des [C] souvenirs, des joies et des peines,
des larmes et des [B] sourires.
[C]
[Am] [C] [F] Loin du patronat, [C] issu du monde ouvrier, de la bonne cuisine de la nonna,
[B] l'odeur des polpettes, [C] mes papilles qui [E] palpitent, [Am] avant que je vacille,
que [Em] mes pupilles s [Gm]'écarquillent, embrumées par les fumées de [Ebm] chit qui nous ont bousillées.
[B] Je regrette l [C]'époque de l'anonymat, [F] et ma [B] pudeur est comme un bouclier,
[D] face aux notes de l [C]'harmonica, aux photos de [Am] pépé, le costard et la [F] gomina,
rien qu'on la ressasse, l'idée de [C] faire de la thune, les années passées,
[G] arrache les petites mains des vieilles paluches, qui [Ab] nous mettaient en garde contre les [Am] jeux de vilains.
[C] Pour se dire je t'aime, on attend que mille [Gm] années passent,
quand mes [Ebm] affaires sentaient la terre [F] battue, je rentrais [B] attiré par [F] l'odeur de la chaplure des mille [B] années sasses.
J [Fm]'apprends l'honneur dehors jusqu'à des [C] heures tardives,
tout ça passe par mes [F] narines, mais ça me prend au cœur,
avec ma voisine c'est pas [C] réciproque de toute façon,
chaque épisode est âcre même quand ça [B] sent le bonheur,
quand tu [C] vises le max, le parcours est laborieux,
je dois faire de multiples choix dans ce paysage [Gm] vaporeux,
des rêves [Gb] déjudés, le thé par ses [B] appérants,
m'étais [C] sur un seul sable, au nez qui [F] sent l'urine de [B] chahérant,
tout gars de [D] rue devient fou, une [E] embrouille sur l [Em]'avenue de Saint-Cloud,
et j'ai l'impression d'être adulte d'un coup,
des [F] parfums qui font [C] rejaillir des souvenirs,
des joies et des peines, des larmes et des [B] sourires,
des [C] parfums qui font rejaillir des [Am] souvenirs,
[C] ensevelis dans une mémoire qui ne demande qu'à [Gm] s'ouvrir,
l'odeur des [Ebm] bombes de peinture, d'une amitié [F] forte,
on trempe et l'attend, les [G] insultes, les coups de ceinture,
[D] la brutalité forge le [C] tempérament,
la roudine on s'en contentait [F] rarement,
la furie laisse place [C] à des gens qui sur ma musique s'exaltent,
et moi même [B] je suis surpris d'être là,
[C] puisqu'avant [E] je [Am] subissais le taf,
même si la galère nous unissait grave,
[Gm] ça sent mon enfance quand [Ebm] je repasse rue Goubet,
[Am] mon adolescence quand des fumigènes [F] crament,
[G] trop de mauvais flashbacks, comme si un [Abm] drame ne [Am] suffisait pas,
coupable quand [Em] je suis incapable de la consoler,
[F] quand je remplaçais les affaires d'école dans le [C] cartable,
par des bails à consommer, au cœur un [B] pincement,
car j'aimerais [C] capturer tous ces [E] instants [Am] impalpables,
[Em] pour les recomposer [Abm] et la [Gm] réconforter,
des [Gb] parfums qui font rejaillir des [F] souvenirs,
des joies et des peines, des larmes et des [B] sourires.
[Fm] [C]
[D] [Fm]
[Am] [Em] [Am]
[N]
Key:
C
Am
B
F
Gm
C
Am
B
[Bm] _ _ _ [Bb] _ _ [C] _ [Am] Des odeurs qui rappellent [C] des moments, des souvenirs dont je ressens [B] le parfum,
[C] des arômes assommants [Am] quand les [C] vestiges se transforment en parpaings.
[Bb] Un [Gm] parfum sucré [Gb] peut rendre amer, [F] retour en arrière,
odeur de caramel et rien à faire à part [B] s'insulter.
Le cul [D] vissé sur des gradins usés, [C] soulage au nid, c'est l'empadère,
mes chagrins dans un jardin secret.
[Am] Flashback, odeur de [C] verdure, première sensation de liberté, un peu d'air pur,
[B] un voyage scolaire, [C] je ressens l'arôme, je revois [Am] la colère et l'accident,
[C] mais c'est comme si on portait des milliers de talismans,
donc malgré tout une bonne atmosphère.
Puis le retour sous les bâtiments, [Gm] frappé par le soleil,
[Ebm] en plein été l'odeur du [F] bitume sec, [Am] attendant que les disputes [F] cessent et que
sa [E] figure sèche, mes [Fm] confessions dans des écrits [Am] épistolaires,
[C] sans concession, le cœur braqué par des pistolets.
Des [Am] parfums qui font rejaillir des [C] souvenirs, des joies et des peines,
des larmes et des [B] sourires.
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_ [Am] _ [C] _ _ _ [F] Loin du patronat, [C] issu du monde ouvrier, de la bonne cuisine de la nonna,
[B] l'odeur des polpettes, [C] mes papilles qui [E] palpitent, [Am] avant que je vacille,
que [Em] mes pupilles s [Gm]'écarquillent, embrumées par les fumées de [Ebm] chit qui nous ont bousillées.
[B] Je regrette l [C]'époque de l'anonymat, [F] et ma [B] pudeur est comme un bouclier,
[D] face aux notes de l [C]'harmonica, aux photos de [Am] pépé, le costard et la [F] gomina,
rien qu'on la ressasse, l'idée de [C] faire de la thune, les années passées,
[G] arrache les petites mains des vieilles paluches, qui [Ab] nous mettaient en garde contre les [Am] jeux de vilains.
[C] Pour se dire je t'aime, on attend que mille [Gm] années passent,
quand mes [Ebm] affaires sentaient la terre [F] battue, je rentrais [B] attiré par [F] l'odeur de la chaplure des mille [B] années sasses.
J [Fm]'apprends l'honneur dehors jusqu'à des [C] heures tardives,
tout ça passe par mes [F] narines, mais ça me prend au cœur,
avec ma voisine c'est pas [C] réciproque de toute façon,
chaque épisode est âcre même quand ça [B] sent le bonheur,
quand tu [C] vises le max, le parcours est laborieux,
je dois faire de multiples choix dans ce paysage [Gm] vaporeux,
des rêves [Gb] déjudés, le thé par ses [B] appérants,
m'étais [C] sur un seul sable, au nez qui [F] sent l'urine de [B] chahérant,
tout gars de [D] rue devient fou, une [E] embrouille sur l [Em]'avenue de Saint-Cloud,
et j'ai l'impression d'être adulte d'un coup,
des [F] parfums qui font [C] rejaillir des souvenirs,
des joies et des peines, des larmes et des [B] sourires,
des [C] parfums qui font rejaillir des [Am] souvenirs,
[C] ensevelis dans une mémoire qui ne demande qu'à [Gm] s'ouvrir,
l'odeur des [Ebm] bombes de peinture, d'une amitié [F] forte,
on trempe et l'attend, les [G] insultes, les coups de ceinture,
[D] la brutalité forge le [C] tempérament,
la roudine on s'en contentait [F] rarement,
la furie laisse place [C] à des gens qui sur ma musique s'exaltent,
et moi même [B] je suis surpris d'être là,
[C] puisqu'avant [E] je [Am] subissais le taf,
même si la galère nous unissait grave,
[Gm] ça sent mon enfance quand [Ebm] je repasse rue Goubet,
[Am] mon adolescence quand des fumigènes [F] crament,
[G] trop de mauvais flashbacks, comme si un [Abm] drame ne [Am] suffisait pas,
coupable quand [Em] je suis incapable de la consoler,
[F] quand je remplaçais les affaires d'école dans le [C] cartable,
par des bails à consommer, au cœur un [B] pincement,
car j'aimerais [C] capturer tous ces [E] instants [Am] impalpables,
[Em] pour les recomposer [Abm] et la [Gm] réconforter,
des [Gb] parfums qui font rejaillir des [F] souvenirs,
des joies et des peines, des larmes et des [B] sourires.
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[C] des arômes assommants [Am] quand les [C] vestiges se transforment en parpaings.
[Bb] Un [Gm] parfum sucré [Gb] peut rendre amer, [F] retour en arrière,
odeur de caramel et rien à faire à part [B] s'insulter.
Le cul [D] vissé sur des gradins usés, [C] soulage au nid, c'est l'empadère,
mes chagrins dans un jardin secret.
[Am] Flashback, odeur de [C] verdure, première sensation de liberté, un peu d'air pur,
[B] un voyage scolaire, [C] je ressens l'arôme, je revois [Am] la colère et l'accident,
[C] mais c'est comme si on portait des milliers de talismans,
donc malgré tout une bonne atmosphère.
Puis le retour sous les bâtiments, [Gm] frappé par le soleil,
[Ebm] en plein été l'odeur du [F] bitume sec, [Am] attendant que les disputes [F] cessent et que
sa [E] figure sèche, mes [Fm] confessions dans des écrits [Am] épistolaires,
[C] sans concession, le cœur braqué par des pistolets.
Des [Am] parfums qui font rejaillir des [C] souvenirs, des joies et des peines,
des larmes et des [B] sourires.
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[B] l'odeur des polpettes, [C] mes papilles qui [E] palpitent, [Am] avant que je vacille,
que [Em] mes pupilles s [Gm]'écarquillent, embrumées par les fumées de [Ebm] chit qui nous ont bousillées.
[B] Je regrette l [C]'époque de l'anonymat, [F] et ma [B] pudeur est comme un bouclier,
[D] face aux notes de l [C]'harmonica, aux photos de [Am] pépé, le costard et la [F] gomina,
rien qu'on la ressasse, l'idée de [C] faire de la thune, les années passées,
[G] arrache les petites mains des vieilles paluches, qui [Ab] nous mettaient en garde contre les [Am] jeux de vilains.
[C] Pour se dire je t'aime, on attend que mille [Gm] années passent,
quand mes [Ebm] affaires sentaient la terre [F] battue, je rentrais [B] attiré par [F] l'odeur de la chaplure des mille [B] années sasses.
J [Fm]'apprends l'honneur dehors jusqu'à des [C] heures tardives,
tout ça passe par mes [F] narines, mais ça me prend au cœur,
avec ma voisine c'est pas [C] réciproque de toute façon,
chaque épisode est âcre même quand ça [B] sent le bonheur,
quand tu [C] vises le max, le parcours est laborieux,
je dois faire de multiples choix dans ce paysage [Gm] vaporeux,
des rêves [Gb] déjudés, le thé par ses [B] appérants,
m'étais [C] sur un seul sable, au nez qui [F] sent l'urine de [B] chahérant,
tout gars de [D] rue devient fou, une [E] embrouille sur l [Em]'avenue de Saint-Cloud,
et j'ai l'impression d'être adulte d'un coup,
des [F] parfums qui font [C] rejaillir des souvenirs,
des joies et des peines, des larmes et des [B] sourires,
des [C] parfums qui font rejaillir des [Am] souvenirs,
[C] ensevelis dans une mémoire qui ne demande qu'à [Gm] s'ouvrir,
l'odeur des [Ebm] bombes de peinture, d'une amitié [F] forte,
on trempe et l'attend, les [G] insultes, les coups de ceinture,
[D] la brutalité forge le [C] tempérament,
la roudine on s'en contentait [F] rarement,
la furie laisse place [C] à des gens qui sur ma musique s'exaltent,
et moi même [B] je suis surpris d'être là,
[C] puisqu'avant [E] je [Am] subissais le taf,
même si la galère nous unissait grave,
[Gm] ça sent mon enfance quand [Ebm] je repasse rue Goubet,
[Am] mon adolescence quand des fumigènes [F] crament,
[G] trop de mauvais flashbacks, comme si un [Abm] drame ne [Am] suffisait pas,
coupable quand [Em] je suis incapable de la consoler,
[F] quand je remplaçais les affaires d'école dans le [C] cartable,
par des bails à consommer, au cœur un [B] pincement,
car j'aimerais [C] capturer tous ces [E] instants [Am] impalpables,
[Em] pour les recomposer [Abm] et la [Gm] réconforter,
des [Gb] parfums qui font rejaillir des [F] souvenirs,
des joies et des peines, des larmes et des [B] sourires.
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