Chords for Hexagone
Tempo:
125.6 bpm
Chords used:
D
Em
E
A
B
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Em]
[D]
[Em]
[E] Ils s'embrassent au mois de janvier car une nouvelle année commence mais depuis des éternités
n'a pas tellement changé [D] la France
Passe les jours et les semaines, il n'y a que le décor qui évolue, la mentalité est la même, tous les tocards, toutes les [Em] faux-culs
Ils sont pas lourds en février à se souvenir de Sharon, des matraqueurs assermentés qui filiont l'air aux leurs [D] besognes
La France est un pays de flics, à tous les coins, druillent en assaut pour faire régner l'ordre public, ils assassinent impunément
[Em] Quand on exécute au mois de mars de [E] l'autre côté des Pyrénées un anarchiste du Pays Basque pour lui apprendre à se [D] révolter
Ils crient, ils pleurent et ils s'indignent de cette immonde mise à mort mais ils oublient que la guillotine chez nous aussi fonctionne [Em] encore
Être né sous le signe de l [D]'hexagone, [A] c'est pas ce qu'on fait de mieux [E] en ce moment
[B] Et le roi des cons sur son [D] trône, [A] je parierais pas qu'il est [Em] allemand
On leur [E] a dit au mois d'avril à la télé et dans les journaux de pas se découvrir d'un fil que le printemps c'était pour [D] bientôt
Les vieux principes du 16e siècle et les vieilles traditions débiles, ils les appliquent tous à la lettre, ils font pitié ces [Em] imbéciles
Ils se souviennent au mois [E] de mai d'un sang qui coule à rouge et noir, d'une révolution manquée qui faillit renverser l [D]'histoire
Je me souviens sur toutes ces moutons effrayés par la liberté, s'en allant voter par millions pour l'ordre et la sécurité
Ils commémorent au mois de juin, débarquement de Normandie, ils pensent au [B] brave soldat ricain qui est venu se faire tuer loin [D] de chez lui
Ils oublient qu'à l'abri des bombes, les français criaient vif pétain qu'ils étaient bien planqués [A] à Londres, qu'il n'y avait [Eb] pas beaucoup de gens [Em] moulins
[E] Être né sous le signe de l [D]'hexagone, c'est [A] pas la gloire en [B] vérité
Et le roi des cons [D] sur son trône, me [A] dites pas qu'il est [E] portugais
Ils font la fête au mois de juillet, en souvenir d'une révolution qui n'a jamais éliminé la misère et l [D]'exploitation
Ils s'abreuvent de balles populaires, peu d'artifices et de flonflon, ils pensent oublier dans la bière qu'ils sont gouvernés [Em] comme des pions
Au [E] mois d'août c'est la liberté, après une longue année d'usine, ils crient vif les congés payés, ils oublient un peu [D] la machine
En Espagne, en Grèce ou en France, ils vont polluer toutes les plages et par leur unique présence, abîmer tous les [Em] paysages
Lorsqu'en septembre on assassine un peuple et une liberté, au cœur de l'Amérique latine, ils sont pas nombreux [D] à gueuler
Un ambassadeur se ramène, bras ouverts, il est accueilli, le fascisme c'est la gangrène à Santiago [Em] comme à Paris
Ettenez sous le signe [D] de l'hexagone, [D] c'est vraiment pas [B] une sinecure
Et le roi des cons sur son [A] trône, il est français, [Em] ça j'en suis sûr
[E]
Fini les vendanges en octobre, le raisin ferme en tantonneau, ils sont très fiers de leur vignoble, leur Côte du Rhône et [D] leur Bordeaux
Ils exportent le sang de la terre un peu partout à l'étranger, leur pinard et leur [A] camembert, c'est leur seule gloire à [Em] ces tarés
En novembre au salon de l'auto, ils vont admirer par [E] milliers le dernier modèle de chez Peugeot qu'ils pourront jamais [D] se payer
La bagnole, la télé, le tiercé, c'est l'opium du peuple de France, lui supprimer c'est le tuer, c'est une drogue à [Em] accoutumance
En [E] décembre c'est l'apothéose, la grande bouffe et les petits cadeaux, ils sont toujours aussi moroses mais y'a de la joie dans les [A] ghettos
[D] La terre peut s'arrêter de tourner, ils rateront pas leur réveillon, moi j'voudrais tous les voir crever, étouffés de lindes aux [E] marrons
Être nés sous le signe [D] de l'hexagone, on peut pas dire que ça soit [E] pendant, [B] si le roi les [D] confère dès son trône, y'aurait cinquante millions de prétendants
[E] [D]
[Em]
[D]
[E] [Em] [E]
[D]
[Em]
[E] Ils s'embrassent au mois de janvier car une nouvelle année commence mais depuis des éternités
n'a pas tellement changé [D] la France
Passe les jours et les semaines, il n'y a que le décor qui évolue, la mentalité est la même, tous les tocards, toutes les [Em] faux-culs
Ils sont pas lourds en février à se souvenir de Sharon, des matraqueurs assermentés qui filiont l'air aux leurs [D] besognes
La France est un pays de flics, à tous les coins, druillent en assaut pour faire régner l'ordre public, ils assassinent impunément
[Em] Quand on exécute au mois de mars de [E] l'autre côté des Pyrénées un anarchiste du Pays Basque pour lui apprendre à se [D] révolter
Ils crient, ils pleurent et ils s'indignent de cette immonde mise à mort mais ils oublient que la guillotine chez nous aussi fonctionne [Em] encore
Être né sous le signe de l [D]'hexagone, [A] c'est pas ce qu'on fait de mieux [E] en ce moment
[B] Et le roi des cons sur son [D] trône, [A] je parierais pas qu'il est [Em] allemand
On leur [E] a dit au mois d'avril à la télé et dans les journaux de pas se découvrir d'un fil que le printemps c'était pour [D] bientôt
Les vieux principes du 16e siècle et les vieilles traditions débiles, ils les appliquent tous à la lettre, ils font pitié ces [Em] imbéciles
Ils se souviennent au mois [E] de mai d'un sang qui coule à rouge et noir, d'une révolution manquée qui faillit renverser l [D]'histoire
Je me souviens sur toutes ces moutons effrayés par la liberté, s'en allant voter par millions pour l'ordre et la sécurité
Ils commémorent au mois de juin, débarquement de Normandie, ils pensent au [B] brave soldat ricain qui est venu se faire tuer loin [D] de chez lui
Ils oublient qu'à l'abri des bombes, les français criaient vif pétain qu'ils étaient bien planqués [A] à Londres, qu'il n'y avait [Eb] pas beaucoup de gens [Em] moulins
[E] Être né sous le signe de l [D]'hexagone, c'est [A] pas la gloire en [B] vérité
Et le roi des cons [D] sur son trône, me [A] dites pas qu'il est [E] portugais
Ils font la fête au mois de juillet, en souvenir d'une révolution qui n'a jamais éliminé la misère et l [D]'exploitation
Ils s'abreuvent de balles populaires, peu d'artifices et de flonflon, ils pensent oublier dans la bière qu'ils sont gouvernés [Em] comme des pions
Au [E] mois d'août c'est la liberté, après une longue année d'usine, ils crient vif les congés payés, ils oublient un peu [D] la machine
En Espagne, en Grèce ou en France, ils vont polluer toutes les plages et par leur unique présence, abîmer tous les [Em] paysages
Lorsqu'en septembre on assassine un peuple et une liberté, au cœur de l'Amérique latine, ils sont pas nombreux [D] à gueuler
Un ambassadeur se ramène, bras ouverts, il est accueilli, le fascisme c'est la gangrène à Santiago [Em] comme à Paris
Ettenez sous le signe [D] de l'hexagone, [D] c'est vraiment pas [B] une sinecure
Et le roi des cons sur son [A] trône, il est français, [Em] ça j'en suis sûr
[E]
Fini les vendanges en octobre, le raisin ferme en tantonneau, ils sont très fiers de leur vignoble, leur Côte du Rhône et [D] leur Bordeaux
Ils exportent le sang de la terre un peu partout à l'étranger, leur pinard et leur [A] camembert, c'est leur seule gloire à [Em] ces tarés
En novembre au salon de l'auto, ils vont admirer par [E] milliers le dernier modèle de chez Peugeot qu'ils pourront jamais [D] se payer
La bagnole, la télé, le tiercé, c'est l'opium du peuple de France, lui supprimer c'est le tuer, c'est une drogue à [Em] accoutumance
En [E] décembre c'est l'apothéose, la grande bouffe et les petits cadeaux, ils sont toujours aussi moroses mais y'a de la joie dans les [A] ghettos
[D] La terre peut s'arrêter de tourner, ils rateront pas leur réveillon, moi j'voudrais tous les voir crever, étouffés de lindes aux [E] marrons
Être nés sous le signe [D] de l'hexagone, on peut pas dire que ça soit [E] pendant, [B] si le roi les [D] confère dès son trône, y'aurait cinquante millions de prétendants
[E] [D]
[Em]
[D]
[E] [Em] [E]
Key:
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Em
E
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Em
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n'a pas tellement changé [D] la France _ _
Passe les jours et les semaines, il n'y a que le décor qui évolue, la mentalité est la même, tous les tocards, toutes les [Em] faux-culs
_ _ Ils sont pas lourds en février à se souvenir de Sharon, des matraqueurs assermentés qui filiont l'air aux leurs [D] besognes _ _ _
La France est un pays de flics, à tous les coins, druillent en assaut pour faire régner l'ordre public, ils assassinent impunément
[Em] _ _ _ Quand on exécute au mois de mars de [E] l'autre côté des Pyrénées un anarchiste du Pays Basque pour lui apprendre à se [D] révolter _ _
_ Ils crient, ils pleurent et ils s'indignent de cette immonde mise à mort mais ils oublient que la guillotine chez nous aussi fonctionne [Em] encore
_ _ _ Être né sous le signe de l [D]'hexagone, _ _ [A] c'est pas ce qu'on fait de mieux [E] en ce moment
_ _ [B] Et le roi des cons sur son [D] trône, _ [A] je parierais pas qu'il est [Em] allemand
_ _ _ On leur [E] a dit au mois d'avril à la télé et dans les journaux de pas se découvrir d'un fil que le printemps c'était pour [D] bientôt _
_ Les vieux principes du 16e siècle et les vieilles traditions débiles, ils les appliquent tous à la lettre, ils font pitié ces [Em] imbéciles
_ _ _ Ils se souviennent au mois [E] de mai d'un sang qui coule à rouge et noir, d'une révolution manquée qui faillit renverser l [D]'histoire _
_ Je me souviens sur toutes ces moutons effrayés par la liberté, s'en allant voter par millions pour l'ordre et la sécurité _ _ _ _
Ils commémorent au mois de juin, débarquement de Normandie, ils pensent au [B] brave soldat ricain qui est venu se faire tuer loin [D] de chez lui _
_ _ Ils oublient qu'à l'abri des bombes, les français criaient vif pétain qu'ils étaient bien planqués [A] à Londres, qu'il n'y avait [Eb] pas beaucoup de gens [Em] moulins
_ _ [E] Être né sous le signe de l [D]'hexagone, _ _ c'est [A] pas la gloire en [B] vérité
Et _ _ le roi des cons [D] sur son trône, _ me [A] dites pas qu'il est [E] portugais
_ _ Ils font la fête au mois de juillet, en souvenir d'une révolution qui n'a jamais éliminé la misère et l [D]'exploitation _
_ _ Ils s'abreuvent de balles populaires, peu d'artifices et de flonflon, ils pensent oublier dans la bière qu'ils sont gouvernés [Em] comme des pions
_ _ Au [E] mois d'août c'est la liberté, après une longue année d'usine, ils crient vif les congés payés, ils oublient un peu [D] la machine
_ _ En Espagne, en Grèce ou en France, ils vont polluer toutes les plages et par leur unique présence, abîmer tous les [Em] paysages _ _ _ _
Lorsqu'en septembre on assassine un peuple et une liberté, au cœur de l'Amérique latine, ils sont pas nombreux [D] à gueuler _
_ _ _ Un ambassadeur se ramène, bras ouverts, il est accueilli, le fascisme c'est la gangrène à Santiago [Em] comme à Paris _ _ _
Ettenez sous le signe [D] de l'hexagone, _ _ [D] c'est vraiment pas [B] une sinecure
_ _ Et le roi des cons sur son [A] _ trône, il est français, [Em] ça j'en suis sûr
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Fini les vendanges en octobre, le raisin ferme en tantonneau, ils sont très fiers de leur vignoble, leur Côte du Rhône et [D] leur Bordeaux
_ _ Ils exportent le sang de la terre un peu partout à l'étranger, leur pinard et leur [A] camembert, c'est leur seule gloire à [Em] ces tarés
_ En novembre au salon de l'auto, ils vont admirer par [E] milliers le dernier modèle de chez Peugeot qu'ils pourront jamais [D] se payer
_ _ La bagnole, la télé, le tiercé, c'est l'opium du peuple de France, lui supprimer c'est le tuer, c'est une drogue à _ [Em] accoutumance
_ _ En [E] décembre c'est l'apothéose, la grande bouffe et les petits cadeaux, ils sont toujours aussi moroses mais y'a de la joie dans les [A] ghettos _
_ _ [D] La terre peut s'arrêter de tourner, ils rateront pas leur réveillon, moi j'voudrais tous les voir crever, étouffés de lindes aux [E] marrons
_ _ Être nés sous le signe [D] de l'hexagone, _ _ on peut pas dire que ça soit [E] pendant, _ _ [B] si le roi les [D] confère dès son trône, _ y'aurait cinquante millions _ _ _ de prétendants
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n'a pas tellement changé [D] la France _ _
Passe les jours et les semaines, il n'y a que le décor qui évolue, la mentalité est la même, tous les tocards, toutes les [Em] faux-culs
_ _ Ils sont pas lourds en février à se souvenir de Sharon, des matraqueurs assermentés qui filiont l'air aux leurs [D] besognes _ _ _
La France est un pays de flics, à tous les coins, druillent en assaut pour faire régner l'ordre public, ils assassinent impunément
[Em] _ _ _ Quand on exécute au mois de mars de [E] l'autre côté des Pyrénées un anarchiste du Pays Basque pour lui apprendre à se [D] révolter _ _
_ Ils crient, ils pleurent et ils s'indignent de cette immonde mise à mort mais ils oublient que la guillotine chez nous aussi fonctionne [Em] encore
_ _ _ Être né sous le signe de l [D]'hexagone, _ _ [A] c'est pas ce qu'on fait de mieux [E] en ce moment
_ _ [B] Et le roi des cons sur son [D] trône, _ [A] je parierais pas qu'il est [Em] allemand
_ _ _ On leur [E] a dit au mois d'avril à la télé et dans les journaux de pas se découvrir d'un fil que le printemps c'était pour [D] bientôt _
_ Les vieux principes du 16e siècle et les vieilles traditions débiles, ils les appliquent tous à la lettre, ils font pitié ces [Em] imbéciles
_ _ _ Ils se souviennent au mois [E] de mai d'un sang qui coule à rouge et noir, d'une révolution manquée qui faillit renverser l [D]'histoire _
_ Je me souviens sur toutes ces moutons effrayés par la liberté, s'en allant voter par millions pour l'ordre et la sécurité _ _ _ _
Ils commémorent au mois de juin, débarquement de Normandie, ils pensent au [B] brave soldat ricain qui est venu se faire tuer loin [D] de chez lui _
_ _ Ils oublient qu'à l'abri des bombes, les français criaient vif pétain qu'ils étaient bien planqués [A] à Londres, qu'il n'y avait [Eb] pas beaucoup de gens [Em] moulins
_ _ [E] Être né sous le signe de l [D]'hexagone, _ _ c'est [A] pas la gloire en [B] vérité
Et _ _ le roi des cons [D] sur son trône, _ me [A] dites pas qu'il est [E] portugais
_ _ Ils font la fête au mois de juillet, en souvenir d'une révolution qui n'a jamais éliminé la misère et l [D]'exploitation _
_ _ Ils s'abreuvent de balles populaires, peu d'artifices et de flonflon, ils pensent oublier dans la bière qu'ils sont gouvernés [Em] comme des pions
_ _ Au [E] mois d'août c'est la liberté, après une longue année d'usine, ils crient vif les congés payés, ils oublient un peu [D] la machine
_ _ En Espagne, en Grèce ou en France, ils vont polluer toutes les plages et par leur unique présence, abîmer tous les [Em] paysages _ _ _ _
Lorsqu'en septembre on assassine un peuple et une liberté, au cœur de l'Amérique latine, ils sont pas nombreux [D] à gueuler _
_ _ _ Un ambassadeur se ramène, bras ouverts, il est accueilli, le fascisme c'est la gangrène à Santiago [Em] comme à Paris _ _ _
Ettenez sous le signe [D] de l'hexagone, _ _ [D] c'est vraiment pas [B] une sinecure
_ _ Et le roi des cons sur son [A] _ trône, il est français, [Em] ça j'en suis sûr
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Fini les vendanges en octobre, le raisin ferme en tantonneau, ils sont très fiers de leur vignoble, leur Côte du Rhône et [D] leur Bordeaux
_ _ Ils exportent le sang de la terre un peu partout à l'étranger, leur pinard et leur [A] camembert, c'est leur seule gloire à [Em] ces tarés
_ En novembre au salon de l'auto, ils vont admirer par [E] milliers le dernier modèle de chez Peugeot qu'ils pourront jamais [D] se payer
_ _ La bagnole, la télé, le tiercé, c'est l'opium du peuple de France, lui supprimer c'est le tuer, c'est une drogue à _ [Em] accoutumance
_ _ En [E] décembre c'est l'apothéose, la grande bouffe et les petits cadeaux, ils sont toujours aussi moroses mais y'a de la joie dans les [A] ghettos _
_ _ [D] La terre peut s'arrêter de tourner, ils rateront pas leur réveillon, moi j'voudrais tous les voir crever, étouffés de lindes aux [E] marrons
_ _ Être nés sous le signe [D] de l'hexagone, _ _ on peut pas dire que ça soit [E] pendant, _ _ [B] si le roi les [D] confère dès son trône, _ y'aurait cinquante millions _ _ _ de prétendants
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