Chords for Henri Dès raconte - Je veux être grande - histoire pour enfants
Tempo:
57.35 bpm
Chords used:
G
C
D
Eb
Am
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[D]
Horides raconte, je veux être [G] grande.
Cybèle, la coccinelle, est très pressée de grandir.
Tous les [C] jours, elle réclame, je voudrais voler, [D] jouer à Cacherondelle, à Sauterelle,
jouer avec les libellules à [G] l'autre bout du pré.
Et tous les jours, sa maman lui répond, tu es encore trop petite, Cybèle.
Le pré [C] est bien trop loin, tu ne pourrais pas rentrer.
Quand tu auras [D] deux ans, tu pourras faire toutes ces choses.
[G] En attendant, préparons le dîner.
Mais Cybèle [Am] ne veut pas attendre.
Elle voudrait déjà voler et traverser le jardin.
[Bb] [G] Elle s'enfuit en boudant et rencontre en chemin, si beau l'escargot, le peintre du jardin.
[Db] Que t'arrive-t-il, Cybèle ?
lui demande-t-il.
J'en ai assez d'être petite, je ne peux ni jouer, ni voler, ni chasser.
Je dois attendre d'avoir au moins deux ans pour faire toutes ces choses.
C'est quand tes deux ans ?
[Eb] demande l'escargot.
Dans [F] beaucoup trop longtemps.
Peut-être quand j'aurai deux petits points sur le dos [Eb] ?
répond Cybèle.
Un point par an, c'est dans longtemps, admet Cybeau.
J'ai une idée.
[G] Cybeau prend son pinceau et lui peint deux petits ronds sur le dos.
[G] Regarde, tu es vraiment jolie [C] avec tes deux petits coins, dit-il à la coccinelle [D] en lui présentant un miroir.
Ouais !
dit Cybèle, mais j'en voudrais beaucoup plus.
[G] Ainsi, je serai sûr de pouvoir faire tout ce que je veux.
Cybeau, qui aime dessiner, [C] ne se fait pas prier.
Il ajoute un, [D] deux, trois, cinq, des dizaines de [G] petits points noirs sur le dos de la petite coccinelle, ravie.
Quand il a fini, Cybèle admire son dos si joliment décoré.
À moi la vie, je [C] m'envole, s'écrit-elle, et elle s'élance.
Impossible de décoller.
Elle grelotte, tout saute, et ses ailes tremblotent.
Triste, [E] elle rentre à pied à la maison.
— Bonjour, maman.
— Bonjour, grand-dame coccinelle, dit maman à Cybèle, faisant semblant de ne pas la reconnaître.
Voulez-vous une chaise, une tasse de thé, quelques petits gâteaux secs ?
— Vous devez venir de loin, Cybèle répond.
— Mais c'est moi, maman, Cybèle.
— Vous vous trompez, grand-dame coccinelle, je ne peux être votre maman, vous êtes bien trop vieille.
Et elle compte les petits points sur les ailes de la vieille demoiselle.
— Oh !
vous avez au moins cent ans.
Cybèle se sent toute triste.
Elle ne peut ni courir, ni voler, ni butiner.
[G] Et sa maman qui ne la reconnaît plus.
[C] Elle se sent si triste qu'elle se met à pleurer.
Et elle pleure tant et tant que les larmes la recouvrent et effacent toute la [A] peinture,
faisant disparaître tous les [G] petits points qu'elle avait sur son dos.
Alors [C] Cybèle redevient comme avant.
Maman s'écrit.
[Fm] — Hé, Cybèle, c'est toi, ma toute petite coccinelle.
Mais où étais-tu passée ?
— J'étais là, maman.
Je te regardais préparer le dîner, en [G] attendant de grandir.
[C] [D] [G]
[G]
[N]
Horides raconte, je veux être [G] grande.
Cybèle, la coccinelle, est très pressée de grandir.
Tous les [C] jours, elle réclame, je voudrais voler, [D] jouer à Cacherondelle, à Sauterelle,
jouer avec les libellules à [G] l'autre bout du pré.
Et tous les jours, sa maman lui répond, tu es encore trop petite, Cybèle.
Le pré [C] est bien trop loin, tu ne pourrais pas rentrer.
Quand tu auras [D] deux ans, tu pourras faire toutes ces choses.
[G] En attendant, préparons le dîner.
Mais Cybèle [Am] ne veut pas attendre.
Elle voudrait déjà voler et traverser le jardin.
[Bb] [G] Elle s'enfuit en boudant et rencontre en chemin, si beau l'escargot, le peintre du jardin.
[Db] Que t'arrive-t-il, Cybèle ?
lui demande-t-il.
J'en ai assez d'être petite, je ne peux ni jouer, ni voler, ni chasser.
Je dois attendre d'avoir au moins deux ans pour faire toutes ces choses.
C'est quand tes deux ans ?
[Eb] demande l'escargot.
Dans [F] beaucoup trop longtemps.
Peut-être quand j'aurai deux petits points sur le dos [Eb] ?
répond Cybèle.
Un point par an, c'est dans longtemps, admet Cybeau.
J'ai une idée.
[G] Cybeau prend son pinceau et lui peint deux petits ronds sur le dos.
[G] Regarde, tu es vraiment jolie [C] avec tes deux petits coins, dit-il à la coccinelle [D] en lui présentant un miroir.
Ouais !
dit Cybèle, mais j'en voudrais beaucoup plus.
[G] Ainsi, je serai sûr de pouvoir faire tout ce que je veux.
Cybeau, qui aime dessiner, [C] ne se fait pas prier.
Il ajoute un, [D] deux, trois, cinq, des dizaines de [G] petits points noirs sur le dos de la petite coccinelle, ravie.
Quand il a fini, Cybèle admire son dos si joliment décoré.
À moi la vie, je [C] m'envole, s'écrit-elle, et elle s'élance.
Impossible de décoller.
Elle grelotte, tout saute, et ses ailes tremblotent.
Triste, [E] elle rentre à pied à la maison.
— Bonjour, maman.
— Bonjour, grand-dame coccinelle, dit maman à Cybèle, faisant semblant de ne pas la reconnaître.
Voulez-vous une chaise, une tasse de thé, quelques petits gâteaux secs ?
— Vous devez venir de loin, Cybèle répond.
— Mais c'est moi, maman, Cybèle.
— Vous vous trompez, grand-dame coccinelle, je ne peux être votre maman, vous êtes bien trop vieille.
Et elle compte les petits points sur les ailes de la vieille demoiselle.
— Oh !
vous avez au moins cent ans.
Cybèle se sent toute triste.
Elle ne peut ni courir, ni voler, ni butiner.
[G] Et sa maman qui ne la reconnaît plus.
[C] Elle se sent si triste qu'elle se met à pleurer.
Et elle pleure tant et tant que les larmes la recouvrent et effacent toute la [A] peinture,
faisant disparaître tous les [G] petits points qu'elle avait sur son dos.
Alors [C] Cybèle redevient comme avant.
Maman s'écrit.
[Fm] — Hé, Cybèle, c'est toi, ma toute petite coccinelle.
Mais où étais-tu passée ?
— J'étais là, maman.
Je te regardais préparer le dîner, en [G] attendant de grandir.
[C] [D] [G]
[G]
[N]
Key:
G
C
D
Eb
Am
G
C
D
_ _ _ _ _ [D] _ _ _
Horides raconte, je veux être [G] grande. _ _ _ _
_ Cybèle, la coccinelle, est très pressée de grandir.
Tous les [C] jours, elle réclame, je voudrais voler, [D] jouer à Cacherondelle, à Sauterelle,
jouer avec les libellules à [G] l'autre bout du pré.
Et tous les jours, sa maman lui répond, tu es encore trop petite, Cybèle.
Le pré [C] est bien trop loin, tu ne pourrais pas rentrer.
Quand tu auras [D] deux ans, tu pourras faire toutes ces choses.
[G] En attendant, préparons le dîner.
Mais Cybèle [Am] ne veut pas attendre.
Elle voudrait déjà voler et traverser le jardin.
[Bb] _ _ [G] Elle s'enfuit en boudant et rencontre en chemin, si beau l'escargot, le peintre du jardin.
[Db] Que t'arrive-t-il, Cybèle ?
lui demande-t-il.
J'en ai assez d'être petite, je ne peux ni jouer, ni voler, ni chasser.
Je dois attendre d'avoir au moins deux ans pour faire toutes ces choses.
C'est quand tes deux ans ?
[Eb] demande l'escargot.
Dans [F] beaucoup trop longtemps.
Peut-être quand j'aurai deux petits points sur le dos [Eb] ?
répond Cybèle.
Un point par an, c'est dans longtemps, admet Cybeau.
J'ai une idée.
[G] Cybeau prend son pinceau et lui peint deux petits ronds sur le dos.
[G] Regarde, tu es vraiment jolie [C] avec tes deux petits coins, dit-il à la coccinelle [D] en lui présentant un miroir.
Ouais !
dit Cybèle, mais j'en voudrais beaucoup plus.
[G] Ainsi, je serai sûr de pouvoir faire tout ce que je veux.
Cybeau, qui aime dessiner, [C] ne se fait pas prier.
Il ajoute un, [D] deux, trois, cinq, des dizaines de [G] petits points noirs sur le dos de la petite coccinelle, ravie.
Quand il a fini, Cybèle admire son dos si joliment décoré.
À moi la vie, je [C] m'envole, s'écrit-elle, et elle s'élance.
_ Impossible de décoller.
Elle grelotte, tout saute, et ses ailes tremblotent.
Triste, [E] elle rentre à pied à la maison.
— Bonjour, maman.
— Bonjour, grand-dame coccinelle, dit maman à Cybèle, faisant semblant de ne pas la reconnaître.
Voulez-vous une chaise, une tasse de thé, quelques petits gâteaux secs ?
— Vous devez venir de loin, Cybèle répond.
— Mais c'est moi, maman, Cybèle.
— Vous vous trompez, grand-dame coccinelle, je ne peux être votre maman, vous êtes bien trop vieille.
Et elle compte les petits points sur les ailes de la vieille demoiselle.
— Oh !
vous avez au moins cent ans.
Cybèle se sent toute triste.
Elle ne peut ni courir, ni voler, ni butiner.
[G] Et sa maman qui ne la reconnaît plus.
[C] Elle se sent si triste qu'elle se met à pleurer.
_ _ Et elle pleure tant et tant que les larmes la recouvrent et effacent toute la [A] peinture,
faisant disparaître tous les [G] petits points qu'elle avait sur son dos.
Alors [C] Cybèle redevient comme avant.
Maman s'écrit.
[Fm] — Hé, Cybèle, c'est toi, ma toute petite coccinelle.
Mais où étais-tu passée ?
— J'étais là, maman.
Je te regardais préparer le dîner, en [G] attendant de grandir. _ _ _ _ _ _ _
[C] _ _ _ _ [D] _ _ _ [G] _
_ _ [G] _ _ _ _ _ _
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Horides raconte, je veux être [G] grande. _ _ _ _
_ Cybèle, la coccinelle, est très pressée de grandir.
Tous les [C] jours, elle réclame, je voudrais voler, [D] jouer à Cacherondelle, à Sauterelle,
jouer avec les libellules à [G] l'autre bout du pré.
Et tous les jours, sa maman lui répond, tu es encore trop petite, Cybèle.
Le pré [C] est bien trop loin, tu ne pourrais pas rentrer.
Quand tu auras [D] deux ans, tu pourras faire toutes ces choses.
[G] En attendant, préparons le dîner.
Mais Cybèle [Am] ne veut pas attendre.
Elle voudrait déjà voler et traverser le jardin.
[Bb] _ _ [G] Elle s'enfuit en boudant et rencontre en chemin, si beau l'escargot, le peintre du jardin.
[Db] Que t'arrive-t-il, Cybèle ?
lui demande-t-il.
J'en ai assez d'être petite, je ne peux ni jouer, ni voler, ni chasser.
Je dois attendre d'avoir au moins deux ans pour faire toutes ces choses.
C'est quand tes deux ans ?
[Eb] demande l'escargot.
Dans [F] beaucoup trop longtemps.
Peut-être quand j'aurai deux petits points sur le dos [Eb] ?
répond Cybèle.
Un point par an, c'est dans longtemps, admet Cybeau.
J'ai une idée.
[G] Cybeau prend son pinceau et lui peint deux petits ronds sur le dos.
[G] Regarde, tu es vraiment jolie [C] avec tes deux petits coins, dit-il à la coccinelle [D] en lui présentant un miroir.
Ouais !
dit Cybèle, mais j'en voudrais beaucoup plus.
[G] Ainsi, je serai sûr de pouvoir faire tout ce que je veux.
Cybeau, qui aime dessiner, [C] ne se fait pas prier.
Il ajoute un, [D] deux, trois, cinq, des dizaines de [G] petits points noirs sur le dos de la petite coccinelle, ravie.
Quand il a fini, Cybèle admire son dos si joliment décoré.
À moi la vie, je [C] m'envole, s'écrit-elle, et elle s'élance.
_ Impossible de décoller.
Elle grelotte, tout saute, et ses ailes tremblotent.
Triste, [E] elle rentre à pied à la maison.
— Bonjour, maman.
— Bonjour, grand-dame coccinelle, dit maman à Cybèle, faisant semblant de ne pas la reconnaître.
Voulez-vous une chaise, une tasse de thé, quelques petits gâteaux secs ?
— Vous devez venir de loin, Cybèle répond.
— Mais c'est moi, maman, Cybèle.
— Vous vous trompez, grand-dame coccinelle, je ne peux être votre maman, vous êtes bien trop vieille.
Et elle compte les petits points sur les ailes de la vieille demoiselle.
— Oh !
vous avez au moins cent ans.
Cybèle se sent toute triste.
Elle ne peut ni courir, ni voler, ni butiner.
[G] Et sa maman qui ne la reconnaît plus.
[C] Elle se sent si triste qu'elle se met à pleurer.
_ _ Et elle pleure tant et tant que les larmes la recouvrent et effacent toute la [A] peinture,
faisant disparaître tous les [G] petits points qu'elle avait sur son dos.
Alors [C] Cybèle redevient comme avant.
Maman s'écrit.
[Fm] — Hé, Cybèle, c'est toi, ma toute petite coccinelle.
Mais où étais-tu passée ?
— J'étais là, maman.
Je te regardais préparer le dîner, en [G] attendant de grandir. _ _ _ _ _ _ _
[C] _ _ _ _ [D] _ _ _ [G] _
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