Chords for Dooz Kawa - Perce neige (avec Dj Djel)
Tempo:
90.35 bpm
Chords used:
Em
B
E
G
Bm
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret

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On est juste deux gros caves dans une bagnole.
Hé, tu dors ?
Je te fais un petit freestyle.
Cette pluie qui pleure, dans l'automne qui perce ses faunes,
Ces déméter qui se meurent de l'exil de Persephone,
En somme nous sommes des fleurs perces, neige, ultime arme de la détresse,
Des gouttes qui coulent comme les larmes de la déesse,
Car nos valeurs ne sont plus offrantes, mais au grand cœur qui se pourfondent,
Puisque la loi n'est qu'une prostituée qui est vendue aux plus offrants.
Frappe !
Je me suis senti touché, mais sans repartie couché, je frappe.
Sans remords et sans haine, frère, comme l'apprenti boucher.
[Em] Yeah, [B] just go, sur les mailles, shit, [Em] yeah, just go [B] with it, [Em] yeah, opération [B] perche de neige.
[Em] Je crois que je crois.
[B]
[Em] [B] Yeah, [Em] ouais, c'est Ginnois, [A] c'est Ginnois.
[E] Ginnois est en passion, [G] dans le sang des glaçons,
Je peux rendre un violon violent quand je m'en sers en [E] strangulation,
Je validerai pas le [Em] titre des meilleurs rappeurs français,
Puisque j'ai [B] cassé le rythme avec un [Em] marteau anticlique.
J'ai génération maudite, [G] comme les actrices du désespoir qu'on hérite,
Je cherche des poids monores dans le jardin [E] des espérides.
[Em] De la voûte céleste, je fais le saut [B] de l'ange,
[E] Avec des chevilles esthées, j'ai fait le [Em] geste,
Mais le funeste est resté, comme le [B] fantôme de ma petite voisine qui s'était [E] défenestré.
C'était le [Em] premier trône du monde, moi, HLM [B] détesté,
Où j'ai baisé des tonnes de [E] blondes remplies de [Em] MST.
Je bâtis un domaine en rêve en [B] Evry, avec du sable, des raps, des maores,
[E] J'étais 13, frère des serbes, avec [Em] des sabres.
On m'a dit « Putain, c'est [B] nul, t'es si coin dans ta bulle »,
Mais ça m'a fait [E] l'effet inverse d'être [Em] pulvérisé vers la lune.
Sur l [B]'autoroute, j'posais des cônes, quand sur la route passait [Em] des connes
Qui me dégradaient des yeux, je portais mon icône.
[B] Un gilet jaune de la DDE, c'est pas du [Em] rap, mais pas l'arbre, c'est du vécu, quoi.
T'as cru la vie, c'est un film [B] de cul ?
Je passe pas sur [Bm] le câble.
[Em] La vérité, je suis pas vendable, chez moi c'est inné, mais pas branlable.
J'ai tout [E] schnappé, ton hip-hop est pendu à un grand [Em] arbre.
J'suis un soleil [B] levant, et maintenant, est-ce que ton bling-bling te [E] sauvera du bandit ?
Où est l [Em]'argent que t'as brandi ?
Pourquoi [Bm] tu mens ?
J'suis dans la branche [E] hip-hop.
Depuis que j'suis qu'une brindille, mais le [Em] petit pouce a grandi.
Même entouré de [B] bâtiments, malgré les chaînes que l'on porte,
Et [E] concurrencés par des glands, [G] qui se font bouffer par des porcs.
Nous, pour [B] devenir des grands, il fallait défoncer des portes, que les [Em] mises sortent.
J'suis pas artiste, mais Galaxis comme Mister Spock.
J'rappe pour les blancs, les [F#] transparents, les bronzés et les chin [B]-tocs.
[B] Anticommunotaristes, comme le [Em] rap français de l'époque.
Les [C#] MC, j'vous promets bien, ils se comportent comme des [E] comédiens.
Ils sont la comédia de [Em] l'art et du football italien.
[F#] Mon rap est un acte pathologique, pour ça que j'acte pathologique.
Et [C] si ta copine s'agite, c'est juste que j'ai ma main sous sa jupe.
J'essuie sa cyprine.
J'suis au fond du bar et traîne tout seul.
[E] J'ai pas envie qu'on me parle, mais du bon rap, [G] ferme ta gueule.
[Em] Mauvaise nouvelle, les frères, j'suis comme un pince-oreille ou comme des [D] escalotels.
J'fais flipper tout le personnel qui [E] perd le sommeil.
Tous car on underground comme [G] une mine anti-personnel.
Car j'ai les bites [B] explosifs pour trouver vos pertes semelles.
[E] J'suis froid comme un [Em] Playmobil, sans fil comme un [G] forfait mobile.
J'ai pas d'cordon, milical, j'suis [E] venu au monde sans nombril.
Ils [Bm] pensaient que mon rap serait qu'une phase, [B] que j'acterais qu'une phrase.
J'pourrais être un [E] flic, un leader parti [Em] politique.
Un de ces grands rappeurs de France [B] qui vend son cul dans la musique.
[Em] Mais c'est plus qu'ils pleurent dans l'automne du Perséphone.
C'est des métères [B] qui se meurent de l'exil de Perséphone.
En [Em] somme, nous sommes des fleurs personnages.
Ultime arme de [B] la détresse, des gouttes qui coulent [Em] comme les larmes de la déesse.
Dans l'automne du Perséphone, c'est des métères [B] qui se meurent de l'exil de Perséphone.
[Em] En somme, nous sommes des fleurs personnages.
Ultime arme de [B] la détresse, des gouttes qui coulent comme les larmes [Em] de la déesse.
Dans l'automne du Perséphone, c'est des métères qui se meurent de l'exil de Perséphone.
En somme, nous sommes des fleurs personnages.
Ultime arme de la détresse, des gouttes qui coulent comme les larmes de la déesse.
Les perches, [B] les gouttes, les larmes de la [Em] déesse.
[N] Je me suis senti touché, mais eux sont repartis coucher.
Je frappe, sans remords et sans haine, frère, comme la plante bouchée.
Hé, tu dors ?
Je te fais un petit freestyle.
Cette pluie qui pleure, dans l'automne qui perce ses faunes,
Ces déméter qui se meurent de l'exil de Persephone,
En somme nous sommes des fleurs perces, neige, ultime arme de la détresse,
Des gouttes qui coulent comme les larmes de la déesse,
Car nos valeurs ne sont plus offrantes, mais au grand cœur qui se pourfondent,
Puisque la loi n'est qu'une prostituée qui est vendue aux plus offrants.
Frappe !
Je me suis senti touché, mais sans repartie couché, je frappe.
Sans remords et sans haine, frère, comme l'apprenti boucher.
[Em] Yeah, [B] just go, sur les mailles, shit, [Em] yeah, just go [B] with it, [Em] yeah, opération [B] perche de neige.
[Em] Je crois que je crois.
[B]
[Em] [B] Yeah, [Em] ouais, c'est Ginnois, [A] c'est Ginnois.
[E] Ginnois est en passion, [G] dans le sang des glaçons,
Je peux rendre un violon violent quand je m'en sers en [E] strangulation,
Je validerai pas le [Em] titre des meilleurs rappeurs français,
Puisque j'ai [B] cassé le rythme avec un [Em] marteau anticlique.
J'ai génération maudite, [G] comme les actrices du désespoir qu'on hérite,
Je cherche des poids monores dans le jardin [E] des espérides.
[Em] De la voûte céleste, je fais le saut [B] de l'ange,
[E] Avec des chevilles esthées, j'ai fait le [Em] geste,
Mais le funeste est resté, comme le [B] fantôme de ma petite voisine qui s'était [E] défenestré.
C'était le [Em] premier trône du monde, moi, HLM [B] détesté,
Où j'ai baisé des tonnes de [E] blondes remplies de [Em] MST.
Je bâtis un domaine en rêve en [B] Evry, avec du sable, des raps, des maores,
[E] J'étais 13, frère des serbes, avec [Em] des sabres.
On m'a dit « Putain, c'est [B] nul, t'es si coin dans ta bulle »,
Mais ça m'a fait [E] l'effet inverse d'être [Em] pulvérisé vers la lune.
Sur l [B]'autoroute, j'posais des cônes, quand sur la route passait [Em] des connes
Qui me dégradaient des yeux, je portais mon icône.
[B] Un gilet jaune de la DDE, c'est pas du [Em] rap, mais pas l'arbre, c'est du vécu, quoi.
T'as cru la vie, c'est un film [B] de cul ?
Je passe pas sur [Bm] le câble.
[Em] La vérité, je suis pas vendable, chez moi c'est inné, mais pas branlable.
J'ai tout [E] schnappé, ton hip-hop est pendu à un grand [Em] arbre.
J'suis un soleil [B] levant, et maintenant, est-ce que ton bling-bling te [E] sauvera du bandit ?
Où est l [Em]'argent que t'as brandi ?
Pourquoi [Bm] tu mens ?
J'suis dans la branche [E] hip-hop.
Depuis que j'suis qu'une brindille, mais le [Em] petit pouce a grandi.
Même entouré de [B] bâtiments, malgré les chaînes que l'on porte,
Et [E] concurrencés par des glands, [G] qui se font bouffer par des porcs.
Nous, pour [B] devenir des grands, il fallait défoncer des portes, que les [Em] mises sortent.
J'suis pas artiste, mais Galaxis comme Mister Spock.
J'rappe pour les blancs, les [F#] transparents, les bronzés et les chin [B]-tocs.
[B] Anticommunotaristes, comme le [Em] rap français de l'époque.
Les [C#] MC, j'vous promets bien, ils se comportent comme des [E] comédiens.
Ils sont la comédia de [Em] l'art et du football italien.
[F#] Mon rap est un acte pathologique, pour ça que j'acte pathologique.
Et [C] si ta copine s'agite, c'est juste que j'ai ma main sous sa jupe.
J'essuie sa cyprine.
J'suis au fond du bar et traîne tout seul.
[E] J'ai pas envie qu'on me parle, mais du bon rap, [G] ferme ta gueule.
[Em] Mauvaise nouvelle, les frères, j'suis comme un pince-oreille ou comme des [D] escalotels.
J'fais flipper tout le personnel qui [E] perd le sommeil.
Tous car on underground comme [G] une mine anti-personnel.
Car j'ai les bites [B] explosifs pour trouver vos pertes semelles.
[E] J'suis froid comme un [Em] Playmobil, sans fil comme un [G] forfait mobile.
J'ai pas d'cordon, milical, j'suis [E] venu au monde sans nombril.
Ils [Bm] pensaient que mon rap serait qu'une phase, [B] que j'acterais qu'une phrase.
J'pourrais être un [E] flic, un leader parti [Em] politique.
Un de ces grands rappeurs de France [B] qui vend son cul dans la musique.
[Em] Mais c'est plus qu'ils pleurent dans l'automne du Perséphone.
C'est des métères [B] qui se meurent de l'exil de Perséphone.
En [Em] somme, nous sommes des fleurs personnages.
Ultime arme de [B] la détresse, des gouttes qui coulent [Em] comme les larmes de la déesse.
Dans l'automne du Perséphone, c'est des métères [B] qui se meurent de l'exil de Perséphone.
[Em] En somme, nous sommes des fleurs personnages.
Ultime arme de [B] la détresse, des gouttes qui coulent comme les larmes [Em] de la déesse.
Dans l'automne du Perséphone, c'est des métères qui se meurent de l'exil de Perséphone.
En somme, nous sommes des fleurs personnages.
Ultime arme de la détresse, des gouttes qui coulent comme les larmes de la déesse.
Les perches, [B] les gouttes, les larmes de la [Em] déesse.
[N] Je me suis senti touché, mais eux sont repartis coucher.
Je frappe, sans remords et sans haine, frère, comme la plante bouchée.
Key:
Em
B
E
G
Bm
Em
B
E
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_ On est juste deux gros caves dans une bagnole. _ _
_ _ _ _ _ Hé, tu dors ?
Je te fais un petit freestyle. _ _ _
Cette pluie qui pleure, dans l'automne qui perce ses faunes,
Ces déméter qui se meurent de l'exil de Persephone,
En somme nous sommes des fleurs perces, neige, ultime arme de la détresse,
Des gouttes qui coulent comme les larmes de la déesse,
Car nos valeurs ne sont plus offrantes, mais au grand cœur qui se pourfondent,
Puisque la loi n'est qu'une prostituée qui est vendue aux plus offrants.
Frappe !
Je me suis senti touché, mais sans repartie couché, je frappe.
Sans remords et sans haine, frère, comme l'apprenti boucher.
[Em] Yeah, _ [B] just go, sur les mailles, shit, [Em] yeah, just go [B] with it, [Em] yeah, opération [B] perche de neige.
_ _ [Em] Je crois que je crois.
_ [B] _ _
_ [Em] _ [B] Yeah, [Em] ouais, c'est Ginnois, [A] c'est Ginnois.
[E] Ginnois est en passion, [G] dans le sang des glaçons,
Je peux rendre un violon violent quand je m'en sers en [E] strangulation,
Je validerai pas le [Em] titre des meilleurs rappeurs français,
Puisque j'ai [B] cassé le rythme avec un [Em] marteau anticlique.
J'ai génération maudite, [G] comme les actrices du désespoir qu'on hérite,
Je cherche des poids monores dans le jardin [E] des espérides.
[Em] De la voûte céleste, je fais le saut [B] de l'ange,
[E] Avec des chevilles esthées, j'ai fait le [Em] geste,
Mais le funeste est resté, comme le [B] fantôme de ma petite voisine qui s'était [E] défenestré.
C'était le [Em] premier trône du monde, moi, HLM [B] détesté,
Où j'ai baisé des tonnes de [E] blondes remplies de [Em] MST.
Je bâtis un domaine en rêve en [B] Evry, avec du sable, des raps, des maores,
[E] J'étais 13, frère des serbes, avec [Em] des sabres.
On m'a dit « Putain, c'est [B] nul, t'es si coin dans ta bulle »,
Mais ça m'a fait [E] l'effet inverse d'être [Em] pulvérisé vers la lune.
Sur l [B]'autoroute, j'posais des cônes, quand sur la route passait [Em] des connes
Qui me dégradaient des yeux, je portais mon icône.
[B] Un gilet jaune de la DDE, c'est pas du [Em] rap, mais pas l'arbre, c'est du vécu, quoi.
T'as cru la vie, c'est un film [B] de cul ?
Je passe pas sur [Bm] le câble.
[Em] La vérité, je suis pas vendable, chez moi c'est inné, mais pas branlable.
J'ai tout [E] schnappé, ton hip-hop est pendu à un grand [Em] arbre.
J'suis un soleil [B] levant, et maintenant, est-ce que ton bling-bling te [E] sauvera du bandit ?
Où est l [Em]'argent que t'as brandi ?
Pourquoi [Bm] tu mens ?
J'suis dans la branche [E] hip-hop.
Depuis que j'suis qu'une brindille, mais le [Em] petit pouce a grandi.
Même entouré de [B] bâtiments, malgré les chaînes que l'on porte,
Et [E] concurrencés par des glands, [G] qui se font bouffer par des porcs.
Nous, pour [B] devenir des grands, il fallait défoncer des portes, que les [Em] mises sortent.
J'suis pas artiste, mais Galaxis comme Mister Spock.
J'rappe pour les blancs, les [F#] transparents, les bronzés et les chin [B]-tocs.
[B] Anticommunotaristes, comme le [Em] rap français de l'époque.
Les [C#] MC, j'vous promets bien, ils se comportent comme des [E] comédiens.
Ils sont la comédia de [Em] l'art et du football italien.
[F#] Mon rap est un acte pathologique, pour ça que j'acte pathologique.
Et [C] si ta copine s'agite, c'est juste que j'ai ma main sous sa jupe.
J'essuie sa cyprine.
J'suis au fond du bar et traîne tout seul.
[E] J'ai pas envie qu'on me parle, mais du bon rap, [G] ferme ta gueule.
[Em] Mauvaise nouvelle, les frères, j'suis comme un pince-oreille ou comme des [D] escalotels.
J'fais flipper tout le personnel qui [E] perd le sommeil.
Tous car on underground comme [G] une mine anti-personnel.
Car j'ai les bites [B] explosifs pour trouver vos pertes semelles.
[E] J'suis froid comme un [Em] Playmobil, sans fil comme un [G] forfait mobile.
J'ai pas d'cordon, milical, j'suis [E] venu au monde sans nombril.
Ils [Bm] pensaient que mon rap serait qu'une phase, [B] que j'acterais qu'une phrase.
J'pourrais être un [E] flic, un leader parti [Em] politique.
Un de ces grands rappeurs de France [B] qui vend son cul dans la musique.
[Em] Mais c'est plus qu'ils pleurent dans l'automne du Perséphone.
C'est des métères [B] qui se meurent de l'exil de Perséphone.
En [Em] somme, nous sommes des fleurs personnages.
Ultime arme de [B] la détresse, des gouttes qui coulent [Em] comme les larmes de la déesse.
Dans l'automne du Perséphone, c'est des métères [B] qui se meurent de l'exil de Perséphone.
[Em] En somme, nous sommes des fleurs personnages.
Ultime arme de [B] la détresse, des gouttes qui coulent comme les larmes [Em] de la déesse.
Dans l'automne du Perséphone, c'est des métères qui se meurent de l'exil de Perséphone.
En somme, nous sommes des fleurs personnages.
Ultime arme de la détresse, des gouttes qui coulent comme les larmes de la déesse.
Les perches, [B] les gouttes, les larmes de la [Em] déesse. _
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Je frappe, sans remords et sans haine, frère, comme la plante bouchée. _ _ _ _ _ _ _
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_ On est juste deux gros caves dans une bagnole. _ _
_ _ _ _ _ Hé, tu dors ?
Je te fais un petit freestyle. _ _ _
Cette pluie qui pleure, dans l'automne qui perce ses faunes,
Ces déméter qui se meurent de l'exil de Persephone,
En somme nous sommes des fleurs perces, neige, ultime arme de la détresse,
Des gouttes qui coulent comme les larmes de la déesse,
Car nos valeurs ne sont plus offrantes, mais au grand cœur qui se pourfondent,
Puisque la loi n'est qu'une prostituée qui est vendue aux plus offrants.
Frappe !
Je me suis senti touché, mais sans repartie couché, je frappe.
Sans remords et sans haine, frère, comme l'apprenti boucher.
[Em] Yeah, _ [B] just go, sur les mailles, shit, [Em] yeah, just go [B] with it, [Em] yeah, opération [B] perche de neige.
_ _ [Em] Je crois que je crois.
_ [B] _ _
_ [Em] _ [B] Yeah, [Em] ouais, c'est Ginnois, [A] c'est Ginnois.
[E] Ginnois est en passion, [G] dans le sang des glaçons,
Je peux rendre un violon violent quand je m'en sers en [E] strangulation,
Je validerai pas le [Em] titre des meilleurs rappeurs français,
Puisque j'ai [B] cassé le rythme avec un [Em] marteau anticlique.
J'ai génération maudite, [G] comme les actrices du désespoir qu'on hérite,
Je cherche des poids monores dans le jardin [E] des espérides.
[Em] De la voûte céleste, je fais le saut [B] de l'ange,
[E] Avec des chevilles esthées, j'ai fait le [Em] geste,
Mais le funeste est resté, comme le [B] fantôme de ma petite voisine qui s'était [E] défenestré.
C'était le [Em] premier trône du monde, moi, HLM [B] détesté,
Où j'ai baisé des tonnes de [E] blondes remplies de [Em] MST.
Je bâtis un domaine en rêve en [B] Evry, avec du sable, des raps, des maores,
[E] J'étais 13, frère des serbes, avec [Em] des sabres.
On m'a dit « Putain, c'est [B] nul, t'es si coin dans ta bulle »,
Mais ça m'a fait [E] l'effet inverse d'être [Em] pulvérisé vers la lune.
Sur l [B]'autoroute, j'posais des cônes, quand sur la route passait [Em] des connes
Qui me dégradaient des yeux, je portais mon icône.
[B] Un gilet jaune de la DDE, c'est pas du [Em] rap, mais pas l'arbre, c'est du vécu, quoi.
T'as cru la vie, c'est un film [B] de cul ?
Je passe pas sur [Bm] le câble.
[Em] La vérité, je suis pas vendable, chez moi c'est inné, mais pas branlable.
J'ai tout [E] schnappé, ton hip-hop est pendu à un grand [Em] arbre.
J'suis un soleil [B] levant, et maintenant, est-ce que ton bling-bling te [E] sauvera du bandit ?
Où est l [Em]'argent que t'as brandi ?
Pourquoi [Bm] tu mens ?
J'suis dans la branche [E] hip-hop.
Depuis que j'suis qu'une brindille, mais le [Em] petit pouce a grandi.
Même entouré de [B] bâtiments, malgré les chaînes que l'on porte,
Et [E] concurrencés par des glands, [G] qui se font bouffer par des porcs.
Nous, pour [B] devenir des grands, il fallait défoncer des portes, que les [Em] mises sortent.
J'suis pas artiste, mais Galaxis comme Mister Spock.
J'rappe pour les blancs, les [F#] transparents, les bronzés et les chin [B]-tocs.
[B] Anticommunotaristes, comme le [Em] rap français de l'époque.
Les [C#] MC, j'vous promets bien, ils se comportent comme des [E] comédiens.
Ils sont la comédia de [Em] l'art et du football italien.
[F#] Mon rap est un acte pathologique, pour ça que j'acte pathologique.
Et [C] si ta copine s'agite, c'est juste que j'ai ma main sous sa jupe.
J'essuie sa cyprine.
J'suis au fond du bar et traîne tout seul.
[E] J'ai pas envie qu'on me parle, mais du bon rap, [G] ferme ta gueule.
[Em] Mauvaise nouvelle, les frères, j'suis comme un pince-oreille ou comme des [D] escalotels.
J'fais flipper tout le personnel qui [E] perd le sommeil.
Tous car on underground comme [G] une mine anti-personnel.
Car j'ai les bites [B] explosifs pour trouver vos pertes semelles.
[E] J'suis froid comme un [Em] Playmobil, sans fil comme un [G] forfait mobile.
J'ai pas d'cordon, milical, j'suis [E] venu au monde sans nombril.
Ils [Bm] pensaient que mon rap serait qu'une phase, [B] que j'acterais qu'une phrase.
J'pourrais être un [E] flic, un leader parti [Em] politique.
Un de ces grands rappeurs de France [B] qui vend son cul dans la musique.
[Em] Mais c'est plus qu'ils pleurent dans l'automne du Perséphone.
C'est des métères [B] qui se meurent de l'exil de Perséphone.
En [Em] somme, nous sommes des fleurs personnages.
Ultime arme de [B] la détresse, des gouttes qui coulent [Em] comme les larmes de la déesse.
Dans l'automne du Perséphone, c'est des métères [B] qui se meurent de l'exil de Perséphone.
[Em] En somme, nous sommes des fleurs personnages.
Ultime arme de [B] la détresse, des gouttes qui coulent comme les larmes [Em] de la déesse.
Dans l'automne du Perséphone, c'est des métères qui se meurent de l'exil de Perséphone.
En somme, nous sommes des fleurs personnages.
Ultime arme de la détresse, des gouttes qui coulent comme les larmes de la déesse.
Les perches, [B] les gouttes, les larmes de la [Em] déesse. _
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