Chords for Dooz Kawa - Boma Yeh

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_ _ [Bm] _ _ _ _ _ _
[A] _ Je te protège un peu de [G] la pluie quand même. _ _
_ _ [F#] _ _ _ _ _ [Bm] _
_ _ _ _ _ _ Pourquoi tu pleures ? _ _ _ _ _
Boomerang, c'est un cri de guerre la colère.
Du monde en deux mots.
Comme un poison hors de l'eau.
Moi je rappe la rage en première page.
Même si c'est déjà fait par tous.
Parce que quand je parle d'amour, ce que je connais mal,
nettoyer mes stylos partout.
Dès qu'il part tous, me décharge comme une cartouche à bout portant.
Il avance mon dernier atout dans un casino partout.
J'en crie en partout quand il se demande de quoi ça parle tous.
Oumaya, bon ben c'est de la bombe.
Moi je vis dans ce monde d'MC, de la délation.
Tandis que la malaria tue un enfant chaque 30 secondes.
Alors, brûle les pagnes de vos nations.
Je me sens comme casus clé qui descend de l'avion.
Et puis tant mieux s'ils sont émue si en concert ça crée les meutes.
Mais chacune de mes notes est neutre.
La musique n'intoucit pas les meurtres.
_ _ [Em] _ [Bm] _ _ _ _
_ [Em] _ _ _ _ [Bm] _ _ _
_ [Em] _ _ _ _ [F#m] _ [Bm] _ _
[E] Quel _ _ _ [F#m] _ [Bm] est l'avenir d'une illusion qu'on cumule juste en matériel.
Si je suis trop dans les nuages, les cumulus effleurent le ciel.
Et pourtant c'est pas les dames, je compte plus m'en sortir indemne.
Oumaya c'est quand les larmes sur les joues ne sont pas les tiennes.
Mais celles de celles qui t'aiment et au pluriel faut réussir.
Mais plus on est déchiré et plus les chiens nous déchirent.
Pendant que les médias nous caressent avec des guerres.
Pour la paix par les soldats, de la liberté.
Et pour occuper la jeunesse, il y a leur théorème de Thalès.
Juste pour faire courir Forest.
Les apparences ne sont pas ce qu'elles paraissent.
Mais moi, moi je sais ce que je fais, fais-moi confiance.
_ [Em] Oumaya, saute avec moi de la falaise.
[Bm] _ _
_ [Em] _ Oumaya, les [Bm] vestiges de mon nom, ils ne vous les laissent.
[Em] _ Oumaya, _ [F#m] _ _ [Bm] _
_ [Em] _ Oumaya.
_ [F#m] _ [Bm] J'entends Oumaya dès que je m'éveille.
Quand Elisa tente de sommeil pourvu que l'amour la surveille.
Moi j'ai du tomber du soleil car j'ai [F#] des flammes dans les yeux frère.
J'ai du feu dans les veines, rappeur d [Bm]'années pour pardonner.
Pour un million de poètes travaillant, un million d'années au temps d'armée.
Marchant pour moi, leur père, sponsorisé par le peuple.
Buveur de pétrole cul sec, en uniforme dans la poussette de Bourgmailler.
Je suis né sur une base militaire avec tellement de rêves brisés.
De douleurs dures à maîtriser.
Mais pleure pas, j'arrangerai le coup.
Si tu me soutiens, plus j'ai plus rien.
Pour finir, je voudrais dire, peut-être je suis [F#] fou.
Mais parfois la vie est [Bm] cruelle et c'est tout.
_ _ [A] Alors pleure pas.
[G] _ _ [Em] _ _ _ [F#] _ _ _ [Bm] _
_ _ _ [Em] _ _ [F#] _ _ [Bm] _
_ [Em] _ _ _ _ [F#] _ _ _
_ [Bm] _ _ _ _ _ _ _
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[G] _ _ _ _ _ _ _ _