Les Crayons Chords by Bourvil
Tempo:
148.25 bpm
Chords used:
C
Fm
F
Gm
Db
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
Start Jamming...
[Fm] [C]
[Db] [Ab] Elle n'avait pas [D] de parents, [Fm] puisque elle était [C]
opéline.
Comme elle n'avait pas d'argent, ce n'était pas une richissime.
[Ab]
Elle [E] eut cependant des [Fm] parents, [C]
mais ils ne l'avaient pas reconnue.
Si bien que la pauvre [Cm] enfant, [D] on l'a [Db]
surnommée l [C]'inconnue,
[F] elle vendait des cartes postales, puis aussi des [Gm] crayons.
[C] Car sa destinée [Gm] fatale, c'était de vendre des [Fm] crayons.
[Dm] [F] Elle disait aux gens de la rue, voulez [C]-vous des crayons ?
Mais reconnaissant l'inconnue, il disait toujours [F] non, [C] c'est [Gm] ce qui est [C] [F] triste.
[Ab] C'est triste quand même de ne pas reconnaître son enfant.
Il ne faut pas être physionomiste.
Il me semble que si j'avais un enfant, moi je le reconnaîtrais,
à condition qu'il me ressemble naturellement.
C'était une nuit, ni le montant, qu'elle [C] étalait son petit panier.
Pour attirer les clients, elle remet un peu [Fm] son panier.
Mais un [C] jour, un [Fm] vagabond, [Db] qui [C]
passait auprès de son panier,
lui a pris tous ses [Fm] crayons.
[Eb] [D] Alors [Db] elle s'est mise [C] à crier, [F] voulez-vous des cartes postales ?
Je n'ai plus de [G] [C] crayons.
Mais les gens, chose banale, ne voulaient plus que des crayons.
[Dm] [F] Quand elle disait dans la rue qu'elle avait [C] des crayons,
ils disaient à l'inconnue, tes crayons ne sont pas bons, [Ebm] c'est [Gm] ce qui est [C] [F] triste.
[C] C'est triste quand même.
Elle n'avait plus de crayons.
Forcément, elle se baladait avec son panier indécouvert, n'est-ce pas ?
Alors le vagabond, lui, il a pris tous ses crayons.
Comme ça, [Fm] elle n'en avait plus.
C'est vrai qu'elle n'en avait pas besoin puisqu'elle n'en vendait jamais, mais quand même.
Un [Ab] marchand de crayons [D] en gros [Fm]
lui dit, viens chez moi mon [C] enfant,
je t'en ferai voir des beaux, je ne te demanderai pas d [Fm]'argent.
Ce fut [C] un drôle de [Fm] marché, [D] [C] car c'était un drôle de marchand,
et elle la sentit [Fm] passer, [Eb] [G] car elle [Db] en a eu un [C] enfant.
C'est triste quand même [G] d'abuser d'une inconnue comme ça.
C'est vrai qu'elle était faible aussi,
ce n'est pas parce qu'il disait qu'il était un marchand de crayons en gros que
Enfin, elle avait un enfant, voilà.
Elle avait une bonne mine.
C'est seulement qu'elle avait une mine de crayons.
Non, mais c'est ce qu'il a miné.
Alors quand elle a vu ça, elle a abandonné son enfant.
Puis qu'est-ce qu'elle a fait plus tard, cet enfant ?
[F] Elle vendait des cartes postales, puis aussi [Gm] des [C] crayons,
car sa destinée fatale, c'était de vendre [F] des [Ab] crayons.
[Dm]
[F] Elle disait aux gens de la rue,
« Voulez-vous des [Gm] crayons [C] ?
»
Mais reconnaissant l'inconnue,
il disait toujours, « Non, c'est ce qui est [Gm] [F] triste.
[Db] [Ab] Elle n'avait pas [D] de parents, [Fm] puisque elle était [C]
opéline.
Comme elle n'avait pas d'argent, ce n'était pas une richissime.
[Ab]
Elle [E] eut cependant des [Fm] parents, [C]
mais ils ne l'avaient pas reconnue.
Si bien que la pauvre [Cm] enfant, [D] on l'a [Db]
surnommée l [C]'inconnue,
[F] elle vendait des cartes postales, puis aussi des [Gm] crayons.
[C] Car sa destinée [Gm] fatale, c'était de vendre des [Fm] crayons.
[Dm] [F] Elle disait aux gens de la rue, voulez [C]-vous des crayons ?
Mais reconnaissant l'inconnue, il disait toujours [F] non, [C] c'est [Gm] ce qui est [C] [F] triste.
[Ab] C'est triste quand même de ne pas reconnaître son enfant.
Il ne faut pas être physionomiste.
Il me semble que si j'avais un enfant, moi je le reconnaîtrais,
à condition qu'il me ressemble naturellement.
C'était une nuit, ni le montant, qu'elle [C] étalait son petit panier.
Pour attirer les clients, elle remet un peu [Fm] son panier.
Mais un [C] jour, un [Fm] vagabond, [Db] qui [C]
passait auprès de son panier,
lui a pris tous ses [Fm] crayons.
[Eb] [D] Alors [Db] elle s'est mise [C] à crier, [F] voulez-vous des cartes postales ?
Je n'ai plus de [G] [C] crayons.
Mais les gens, chose banale, ne voulaient plus que des crayons.
[Dm] [F] Quand elle disait dans la rue qu'elle avait [C] des crayons,
ils disaient à l'inconnue, tes crayons ne sont pas bons, [Ebm] c'est [Gm] ce qui est [C] [F] triste.
[C] C'est triste quand même.
Elle n'avait plus de crayons.
Forcément, elle se baladait avec son panier indécouvert, n'est-ce pas ?
Alors le vagabond, lui, il a pris tous ses crayons.
Comme ça, [Fm] elle n'en avait plus.
C'est vrai qu'elle n'en avait pas besoin puisqu'elle n'en vendait jamais, mais quand même.
Un [Ab] marchand de crayons [D] en gros [Fm]
lui dit, viens chez moi mon [C] enfant,
je t'en ferai voir des beaux, je ne te demanderai pas d [Fm]'argent.
Ce fut [C] un drôle de [Fm] marché, [D] [C] car c'était un drôle de marchand,
et elle la sentit [Fm] passer, [Eb] [G] car elle [Db] en a eu un [C] enfant.
C'est triste quand même [G] d'abuser d'une inconnue comme ça.
C'est vrai qu'elle était faible aussi,
ce n'est pas parce qu'il disait qu'il était un marchand de crayons en gros que
Enfin, elle avait un enfant, voilà.
Elle avait une bonne mine.
C'est seulement qu'elle avait une mine de crayons.
Non, mais c'est ce qu'il a miné.
Alors quand elle a vu ça, elle a abandonné son enfant.
Puis qu'est-ce qu'elle a fait plus tard, cet enfant ?
[F] Elle vendait des cartes postales, puis aussi [Gm] des [C] crayons,
car sa destinée fatale, c'était de vendre [F] des [Ab] crayons.
[Dm]
[F] Elle disait aux gens de la rue,
« Voulez-vous des [Gm] crayons [C] ?
»
Mais reconnaissant l'inconnue,
il disait toujours, « Non, c'est ce qui est [Gm] [F] triste.
Key:
C
Fm
F
Gm
Db
C
Fm
F
_ _ _ [Fm] _ _ _ _ [C] _
_ _ _ [Db] [Ab] Elle n'avait pas [D] de parents, [Fm] _ puisque elle était _ [C]
opéline.
Comme elle n'avait pas d'argent, ce n'était pas une richissime.
[Ab] _
Elle [E] eut cependant des [Fm] parents, _ [C] _
mais ils ne l'avaient pas reconnue.
Si bien que la pauvre [Cm] enfant, _ [D] on l'a [Db]
surnommée l [C]'inconnue,
_ [F] elle vendait des cartes postales, puis aussi des [Gm] crayons.
[C] _ _ Car sa destinée _ [Gm] fatale, c'était de vendre des [Fm] crayons.
[Dm] _ [F] Elle disait aux gens de la rue, _ voulez [C]-vous des crayons ?
Mais _ reconnaissant l'inconnue, il disait toujours [F] non, [C] c'est [Gm] ce qui est _ [C] _ [F] triste. _ _
[Ab] C'est triste quand même de ne pas reconnaître son enfant.
_ _ Il ne faut pas être physionomiste. _
Il me semble que si j'avais un enfant, moi je le reconnaîtrais,
_ _ à condition qu'il me ressemble naturellement.
C'était une nuit, ni le montant, _ qu'elle [C] étalait son petit panier. _
Pour attirer les clients, _ elle remet un peu [Fm] son panier.
_ Mais un [C] jour, un [Fm] vagabond, _ [Db] qui [C]
passait auprès de son panier,
_ lui a pris tous ses [Fm] crayons.
_ [Eb] _ [D] Alors [Db] elle s'est mise [C] à crier, _ _ [F] voulez-vous des cartes postales ?
Je n'ai plus de [G] [C] crayons.
Mais les gens, chose banale, ne voulaient plus que des crayons.
_ [Dm] _ [F] Quand elle disait dans la rue qu'elle avait [C] des crayons,
_ ils disaient à l'inconnue, tes crayons ne sont pas bons, [Ebm] c'est [Gm] ce qui est _ [C] _ [F] triste.
_ _ [C] C'est triste quand même.
_ Elle n'avait plus de crayons.
_ Forcément, elle se baladait avec son panier indécouvert, n'est-ce pas ?
Alors le vagabond, lui, il _ _ _ a _ _ _ _ pris tous ses crayons.
_ Comme ça, [Fm] elle n'en avait plus.
_ _ _ C'est vrai qu'elle n'en avait pas besoin puisqu'elle n'en vendait jamais, mais quand même.
Un [Ab] marchand de crayons [D] en gros [Fm] _
lui dit, viens chez moi mon [C] enfant, _
je t'en ferai voir des beaux, _ je ne te demanderai pas d [Fm]'argent.
_ Ce fut [C] un drôle de [Fm] marché, _ [D] _ [C] car c'était un drôle de marchand,
_ et elle la sentit [Fm] passer, [Eb] _ _ [G] car elle [Db] en a eu un [C] enfant.
_ _ _ C'est triste quand même [G] d'abuser d'une inconnue comme ça. _ _ _
C'est vrai qu'elle était faible aussi,
ce n'est pas parce qu'il disait _ _ qu'il était un marchand de crayons en gros _ _ _ _ _ _ que_
Enfin, elle avait un enfant, voilà.
Elle avait une bonne mine.
_ C'est seulement qu'elle avait une mine de crayons.
Non, mais c'est ce qu'il a miné.
Alors quand elle a vu ça, elle a abandonné son enfant.
Puis qu'est-ce qu'elle a fait plus tard, cet enfant ?
[F] Elle vendait des cartes postales, puis aussi [Gm] des [C] crayons,
car sa destinée fatale, c'était de vendre [F] des [Ab] crayons.
[Dm] _ _
[F] Elle disait aux gens de la rue,
« Voulez-vous des [Gm] crayons [C] ?
»
Mais reconnaissant l'inconnue,
il disait toujours, « Non, c'est ce qui est [Gm] _ _ [F] triste. _
_ _ _ [Db] [Ab] Elle n'avait pas [D] de parents, [Fm] _ puisque elle était _ [C]
opéline.
Comme elle n'avait pas d'argent, ce n'était pas une richissime.
[Ab] _
Elle [E] eut cependant des [Fm] parents, _ [C] _
mais ils ne l'avaient pas reconnue.
Si bien que la pauvre [Cm] enfant, _ [D] on l'a [Db]
surnommée l [C]'inconnue,
_ [F] elle vendait des cartes postales, puis aussi des [Gm] crayons.
[C] _ _ Car sa destinée _ [Gm] fatale, c'était de vendre des [Fm] crayons.
[Dm] _ [F] Elle disait aux gens de la rue, _ voulez [C]-vous des crayons ?
Mais _ reconnaissant l'inconnue, il disait toujours [F] non, [C] c'est [Gm] ce qui est _ [C] _ [F] triste. _ _
[Ab] C'est triste quand même de ne pas reconnaître son enfant.
_ _ Il ne faut pas être physionomiste. _
Il me semble que si j'avais un enfant, moi je le reconnaîtrais,
_ _ à condition qu'il me ressemble naturellement.
C'était une nuit, ni le montant, _ qu'elle [C] étalait son petit panier. _
Pour attirer les clients, _ elle remet un peu [Fm] son panier.
_ Mais un [C] jour, un [Fm] vagabond, _ [Db] qui [C]
passait auprès de son panier,
_ lui a pris tous ses [Fm] crayons.
_ [Eb] _ [D] Alors [Db] elle s'est mise [C] à crier, _ _ [F] voulez-vous des cartes postales ?
Je n'ai plus de [G] [C] crayons.
Mais les gens, chose banale, ne voulaient plus que des crayons.
_ [Dm] _ [F] Quand elle disait dans la rue qu'elle avait [C] des crayons,
_ ils disaient à l'inconnue, tes crayons ne sont pas bons, [Ebm] c'est [Gm] ce qui est _ [C] _ [F] triste.
_ _ [C] C'est triste quand même.
_ Elle n'avait plus de crayons.
_ Forcément, elle se baladait avec son panier indécouvert, n'est-ce pas ?
Alors le vagabond, lui, il _ _ _ a _ _ _ _ pris tous ses crayons.
_ Comme ça, [Fm] elle n'en avait plus.
_ _ _ C'est vrai qu'elle n'en avait pas besoin puisqu'elle n'en vendait jamais, mais quand même.
Un [Ab] marchand de crayons [D] en gros [Fm] _
lui dit, viens chez moi mon [C] enfant, _
je t'en ferai voir des beaux, _ je ne te demanderai pas d [Fm]'argent.
_ Ce fut [C] un drôle de [Fm] marché, _ [D] _ [C] car c'était un drôle de marchand,
_ et elle la sentit [Fm] passer, [Eb] _ _ [G] car elle [Db] en a eu un [C] enfant.
_ _ _ C'est triste quand même [G] d'abuser d'une inconnue comme ça. _ _ _
C'est vrai qu'elle était faible aussi,
ce n'est pas parce qu'il disait _ _ qu'il était un marchand de crayons en gros _ _ _ _ _ _ que_
Enfin, elle avait un enfant, voilà.
Elle avait une bonne mine.
_ C'est seulement qu'elle avait une mine de crayons.
Non, mais c'est ce qu'il a miné.
Alors quand elle a vu ça, elle a abandonné son enfant.
Puis qu'est-ce qu'elle a fait plus tard, cet enfant ?
[F] Elle vendait des cartes postales, puis aussi [Gm] des [C] crayons,
car sa destinée fatale, c'était de vendre [F] des [Ab] crayons.
[Dm] _ _
[F] Elle disait aux gens de la rue,
« Voulez-vous des [Gm] crayons [C] ?
»
Mais reconnaissant l'inconnue,
il disait toujours, « Non, c'est ce qui est [Gm] _ _ [F] triste. _