Chords for Bataille des Murailles - Loco Locass - Amour Oral
Tempo:
82.85 bpm
Chords used:
G
Ab
D
Gm
Bb
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
Start Jamming...
[G] [Eb] [G]
Il y a de cela des lunes et des lunes alors que la terre de nos terres était encore brune
et que les pères de nos pères brûnaient les [Ab] runes.
[G] Chacune des contrées se sont rencontrées afin de contrer une lacune.
Remarqué par le monarque des monarques, Ivan désireux de laisser sa marque de commerce
voulait lever [Ab] les herses afin [G] que le commerce perce les barrières et que les cesterces
s'acquièrent sans frontières.
Manifestement, Ivan, empereur de la peur, a les paumes sales et souillées de sang.
Il abat son royaume en assujettissant tout un à quoi les petits gnomes, que les clans
les plus puissants, sous son immense rhume, en plein irresplendissant.
Et depuis ce temps sous le chôme, les paysans sont agonisants.
Ivan a les paumes sales et souillées de sang.
Les paysans sous le chôme sont agonisants.
Soit disant pour remédier à ce merdier, Ivan invite à sa table tous les [Ab] notables.
[G] Un soleil jugé indésirable, un incroyable mer, la barbe vénérable, en exil dans une île,
coupable de n'avoir jamais fléchi les chînes devant la marchine du seigneur de la rancor
de pierre qui tient rigueur à l'insulaire et l'isole dans son adole.
Les monarques unis pour abattre l'éclature se sont réunis entre quatre murs afin que
le plus petit de leurs mûrs mûre mort sous le cri que dit des armures.
Tout l'or est au lard à la bataille des murailles.
Au-delà du portail, c'est la rivaille pour les quelques canailles.
Mais pas une grenaille ne reste pour la marmaille.
Mais pas une grenaille ne reste pour la marmaille.
Camarades de ce barricade à l'assaut de la palissade, fini la mascarade.
Pas question qu'on nous mène à l'abattoir sans pouvoir savoir ce que le pouvoir nous
cache dans le noir.
Camarades de ce [Gm] barricade à l'assaut [E] de la palissade, fini la [Ab] mascarade.
Pas question qu'on nous mène à l'abattoir sans pouvoir savoir ce que le pouvoir nous
[G] cache dans le noir.
Samouraï et racaille aux portes des murailles avec L-O-C [D]-O-L-O-C-A-S-S [E] se dressent à la
[G] haiesse de la forteresse où se terrent les fins des palassins assassins.
Vivant insuffisant, ombre sombre, ombre suffisante pour éradiquer le clan des dissidents et
séminer les [B] dents aux quatre fins à main du sanguin.
Ils ne font pas semblant.
Mais pour l'instant, seules coulent la salive et les invectives.
Et d [Ab]'un côté de la rive, les regards se rivent.
La tension est vive.
On est sur le kiff.
Vivant en attendant que l'inévitable [E] arrive.
Et comme demain demain, [F] on baisse le périmètre.
Laisse les craqués, les chiques, les paniques, [Em] former des arcs.
Ils passent à l'attaque et matraquent du tac au [Ab] tac, tac au [G] tac, tac, tac.
Ça le saccage, la veille de la sortie de sa cage.
On a besoin d'un [G] casque et de masques et d'escargots.
On sort tous les flingues en un coup de poing sur un fin.
Mais quoi qu'ils sont concapitules.
Ah, c'est parti, [Fm] par ici [G] la catapulte.
Et selon les calculs, on peut percer leur emporte.
On va en droit.
Là où on chante donc, on lance des carreaux.
Certains sont chaos, sur le carreau c'est le chaos.
Camarades, camarades.
[Ab] [G] Camarades, tous au barricade.
À l'assaut de la palissade, fini leur masquerade.
Nous ne [D] restons qu'en nous-mêmes, à la va-voir, sans pouvoir savoir.
Ce que le pouvoir nous cache dans le [Ab] noir.
[G] Camarades, tous au barricade.
À l'assaut de la palissade, fini leur [D] masquerade.
Nous ne restons qu'en nous-mêmes, à la va-voir, sans pouvoir savoir.
Ce que le pouvoir nous cache dans le [Ab] noir.
[G] Naze, naze, gaze.
Et la foule refoule et se défoule dans les faubourgs jusqu'au petit [D] jour.
C'est ainsi que voulant faire vaciller les sorciers du pouvoir qui n'ont pas soucié.
Le [Ab] peuple a fini [G] éparpillé, parpillé comme un épris.
Le quartier ouvrier.
Et pendant que les tribus s [D]'attribuent, les tribus du Riffifi.
Le royaume s'unifie et se solidifie, sous le [G] dôme fantôme de l'économie.
Les monarques [Bb] unis pour abattre les clôtures [Gm] se sont réunis [Eb] entre quatre murs.
Afin que le plus petit de leurs murs, [Bb] mur mort sous le cri qu'est mis [B] des armures.
Leur aide [Gm] au lors de la bataille des murailles.
Pour que le plus [Bb] fort aille, c'est la [Gm] rivale.
Pour les flics de canaille, dépensées de grenades.
Et le reste pour la [Bb] maman.
Méfante [G] une grenade et le reste pour la maman.
Il y a de cela des lunes et des lunes alors que la terre de nos terres était encore brune
et que les pères de nos pères brûnaient les [Ab] runes.
[G] Chacune des contrées se sont rencontrées afin de contrer une lacune.
Remarqué par le monarque des monarques, Ivan désireux de laisser sa marque de commerce
voulait lever [Ab] les herses afin [G] que le commerce perce les barrières et que les cesterces
s'acquièrent sans frontières.
Manifestement, Ivan, empereur de la peur, a les paumes sales et souillées de sang.
Il abat son royaume en assujettissant tout un à quoi les petits gnomes, que les clans
les plus puissants, sous son immense rhume, en plein irresplendissant.
Et depuis ce temps sous le chôme, les paysans sont agonisants.
Ivan a les paumes sales et souillées de sang.
Les paysans sous le chôme sont agonisants.
Soit disant pour remédier à ce merdier, Ivan invite à sa table tous les [Ab] notables.
[G] Un soleil jugé indésirable, un incroyable mer, la barbe vénérable, en exil dans une île,
coupable de n'avoir jamais fléchi les chînes devant la marchine du seigneur de la rancor
de pierre qui tient rigueur à l'insulaire et l'isole dans son adole.
Les monarques unis pour abattre l'éclature se sont réunis entre quatre murs afin que
le plus petit de leurs mûrs mûre mort sous le cri que dit des armures.
Tout l'or est au lard à la bataille des murailles.
Au-delà du portail, c'est la rivaille pour les quelques canailles.
Mais pas une grenaille ne reste pour la marmaille.
Mais pas une grenaille ne reste pour la marmaille.
Camarades de ce barricade à l'assaut de la palissade, fini la mascarade.
Pas question qu'on nous mène à l'abattoir sans pouvoir savoir ce que le pouvoir nous
cache dans le noir.
Camarades de ce [Gm] barricade à l'assaut [E] de la palissade, fini la [Ab] mascarade.
Pas question qu'on nous mène à l'abattoir sans pouvoir savoir ce que le pouvoir nous
[G] cache dans le noir.
Samouraï et racaille aux portes des murailles avec L-O-C [D]-O-L-O-C-A-S-S [E] se dressent à la
[G] haiesse de la forteresse où se terrent les fins des palassins assassins.
Vivant insuffisant, ombre sombre, ombre suffisante pour éradiquer le clan des dissidents et
séminer les [B] dents aux quatre fins à main du sanguin.
Ils ne font pas semblant.
Mais pour l'instant, seules coulent la salive et les invectives.
Et d [Ab]'un côté de la rive, les regards se rivent.
La tension est vive.
On est sur le kiff.
Vivant en attendant que l'inévitable [E] arrive.
Et comme demain demain, [F] on baisse le périmètre.
Laisse les craqués, les chiques, les paniques, [Em] former des arcs.
Ils passent à l'attaque et matraquent du tac au [Ab] tac, tac au [G] tac, tac, tac.
Ça le saccage, la veille de la sortie de sa cage.
On a besoin d'un [G] casque et de masques et d'escargots.
On sort tous les flingues en un coup de poing sur un fin.
Mais quoi qu'ils sont concapitules.
Ah, c'est parti, [Fm] par ici [G] la catapulte.
Et selon les calculs, on peut percer leur emporte.
On va en droit.
Là où on chante donc, on lance des carreaux.
Certains sont chaos, sur le carreau c'est le chaos.
Camarades, camarades.
[Ab] [G] Camarades, tous au barricade.
À l'assaut de la palissade, fini leur masquerade.
Nous ne [D] restons qu'en nous-mêmes, à la va-voir, sans pouvoir savoir.
Ce que le pouvoir nous cache dans le [Ab] noir.
[G] Camarades, tous au barricade.
À l'assaut de la palissade, fini leur [D] masquerade.
Nous ne restons qu'en nous-mêmes, à la va-voir, sans pouvoir savoir.
Ce que le pouvoir nous cache dans le [Ab] noir.
[G] Naze, naze, gaze.
Et la foule refoule et se défoule dans les faubourgs jusqu'au petit [D] jour.
C'est ainsi que voulant faire vaciller les sorciers du pouvoir qui n'ont pas soucié.
Le [Ab] peuple a fini [G] éparpillé, parpillé comme un épris.
Le quartier ouvrier.
Et pendant que les tribus s [D]'attribuent, les tribus du Riffifi.
Le royaume s'unifie et se solidifie, sous le [G] dôme fantôme de l'économie.
Les monarques [Bb] unis pour abattre les clôtures [Gm] se sont réunis [Eb] entre quatre murs.
Afin que le plus petit de leurs murs, [Bb] mur mort sous le cri qu'est mis [B] des armures.
Leur aide [Gm] au lors de la bataille des murailles.
Pour que le plus [Bb] fort aille, c'est la [Gm] rivale.
Pour les flics de canaille, dépensées de grenades.
Et le reste pour la [Bb] maman.
Méfante [G] une grenade et le reste pour la maman.
Key:
G
Ab
D
Gm
Bb
G
Ab
D
_ _ _ _ _ _ _ _
[G] _ _ _ [Eb] _ [G] _ _ _
Il y a de cela des lunes et des lunes alors que la terre de nos terres était encore brune
et que les pères de nos pères brûnaient les [Ab] runes.
[G] Chacune des contrées se sont rencontrées afin de contrer une lacune.
Remarqué par le monarque des monarques, Ivan désireux de laisser sa marque de commerce
voulait lever [Ab] les herses afin [G] que le commerce perce les barrières et que les cesterces
s'acquièrent sans frontières.
Manifestement, Ivan, empereur de la peur, a les paumes sales et souillées de sang.
Il abat son royaume en assujettissant tout un à quoi les petits gnomes, que les clans
les plus puissants, sous son immense rhume, en plein irresplendissant.
Et depuis ce temps sous le chôme, les paysans sont agonisants.
Ivan a les paumes sales et souillées de sang.
Les paysans sous le chôme sont agonisants.
Soit disant pour remédier à ce merdier, Ivan invite à sa table tous les [Ab] notables.
[G] Un soleil jugé indésirable, un incroyable mer, la barbe vénérable, en exil dans une île,
coupable de n'avoir jamais fléchi les chînes devant la marchine du seigneur de la rancor
de pierre qui tient rigueur à l'insulaire et l'isole dans son adole.
Les monarques unis pour abattre l'éclature se sont réunis entre quatre murs afin que
le plus petit de leurs mûrs mûre mort sous le cri que dit des armures.
Tout l'or est au lard à la bataille des murailles.
Au-delà du portail, c'est la rivaille pour les quelques canailles.
Mais pas une grenaille ne reste pour la marmaille.
Mais pas une grenaille ne reste pour la marmaille.
Camarades de ce barricade à l'assaut de la palissade, fini la mascarade.
Pas question qu'on nous mène à l'abattoir sans pouvoir savoir ce que le pouvoir nous
cache dans le noir.
Camarades de ce [Gm] barricade à l'assaut [E] de la palissade, fini la [Ab] mascarade.
Pas question qu'on nous mène à l'abattoir sans pouvoir savoir ce que le pouvoir nous
[G] cache dans le noir.
Samouraï et racaille aux portes des murailles avec L-O-C [D]-O-L-O-C-A-S-S [E] se dressent à la
[G] haiesse de la forteresse où se terrent les fins des palassins assassins.
Vivant insuffisant, ombre sombre, ombre suffisante pour éradiquer le clan des dissidents et
séminer les [B] dents aux quatre fins à main du sanguin.
Ils ne font pas semblant.
Mais pour l'instant, seules coulent la salive et les invectives.
Et d [Ab]'un côté de la rive, les regards se rivent.
La tension est vive.
On est sur le kiff.
Vivant en attendant que l'inévitable [E] arrive.
Et comme demain demain, [F] on baisse le périmètre.
Laisse les craqués, les chiques, les paniques, [Em] former des arcs.
Ils passent à l'attaque et matraquent du tac au [Ab] tac, tac au [G] tac, tac, tac.
Ça le saccage, la veille de la sortie de sa cage.
On a besoin d'un [G] casque et de masques et d'escargots.
On sort tous les flingues en un coup de poing sur un fin.
Mais quoi qu'ils sont concapitules.
Ah, c'est parti, [Fm] par ici [G] la catapulte.
Et selon les calculs, on peut percer leur emporte.
On va en droit.
Là où on chante donc, on lance des carreaux.
Certains sont chaos, sur le carreau c'est le chaos.
Camarades, camarades.
[Ab] [G] Camarades, tous au barricade.
À l'assaut de la palissade, fini leur masquerade.
Nous ne [D] restons qu'en nous-mêmes, à la va-voir, sans pouvoir savoir.
Ce que le pouvoir nous cache dans le [Ab] noir.
[G] Camarades, tous au barricade.
À l'assaut de la palissade, fini leur [D] masquerade.
Nous ne restons qu'en nous-mêmes, à la va-voir, sans pouvoir savoir.
Ce que le pouvoir nous cache dans le [Ab] noir.
[G] Naze, naze, gaze.
Et la foule refoule et se défoule dans les faubourgs jusqu'au petit [D] jour.
C'est ainsi que voulant faire vaciller les sorciers du pouvoir qui n'ont pas soucié.
Le [Ab] peuple a fini [G] éparpillé, parpillé comme un épris.
Le quartier ouvrier.
Et pendant que les tribus s [D]'attribuent, les tribus du Riffifi.
Le royaume s'unifie et se solidifie, sous le [G] dôme fantôme de l'économie.
Les monarques [Bb] unis pour abattre les clôtures [Gm] se sont réunis [Eb] entre quatre murs.
Afin que le plus petit de leurs murs, [Bb] mur mort sous le cri qu'est mis [B] des armures.
Leur aide [Gm] au lors de la bataille des murailles.
Pour que le plus [Bb] fort aille, c'est la [Gm] rivale.
Pour les flics de canaille, dépensées de grenades.
Et le reste pour la [Bb] maman.
Méfante [G] une grenade et le reste pour la maman.
[G] _ _ _ [Eb] _ [G] _ _ _
Il y a de cela des lunes et des lunes alors que la terre de nos terres était encore brune
et que les pères de nos pères brûnaient les [Ab] runes.
[G] Chacune des contrées se sont rencontrées afin de contrer une lacune.
Remarqué par le monarque des monarques, Ivan désireux de laisser sa marque de commerce
voulait lever [Ab] les herses afin [G] que le commerce perce les barrières et que les cesterces
s'acquièrent sans frontières.
Manifestement, Ivan, empereur de la peur, a les paumes sales et souillées de sang.
Il abat son royaume en assujettissant tout un à quoi les petits gnomes, que les clans
les plus puissants, sous son immense rhume, en plein irresplendissant.
Et depuis ce temps sous le chôme, les paysans sont agonisants.
Ivan a les paumes sales et souillées de sang.
Les paysans sous le chôme sont agonisants.
Soit disant pour remédier à ce merdier, Ivan invite à sa table tous les [Ab] notables.
[G] Un soleil jugé indésirable, un incroyable mer, la barbe vénérable, en exil dans une île,
coupable de n'avoir jamais fléchi les chînes devant la marchine du seigneur de la rancor
de pierre qui tient rigueur à l'insulaire et l'isole dans son adole.
Les monarques unis pour abattre l'éclature se sont réunis entre quatre murs afin que
le plus petit de leurs mûrs mûre mort sous le cri que dit des armures.
Tout l'or est au lard à la bataille des murailles.
Au-delà du portail, c'est la rivaille pour les quelques canailles.
Mais pas une grenaille ne reste pour la marmaille.
Mais pas une grenaille ne reste pour la marmaille.
Camarades de ce barricade à l'assaut de la palissade, fini la mascarade.
Pas question qu'on nous mène à l'abattoir sans pouvoir savoir ce que le pouvoir nous
cache dans le noir.
Camarades de ce [Gm] barricade à l'assaut [E] de la palissade, fini la [Ab] mascarade.
Pas question qu'on nous mène à l'abattoir sans pouvoir savoir ce que le pouvoir nous
[G] cache dans le noir.
Samouraï et racaille aux portes des murailles avec L-O-C [D]-O-L-O-C-A-S-S [E] se dressent à la
[G] haiesse de la forteresse où se terrent les fins des palassins assassins.
Vivant insuffisant, ombre sombre, ombre suffisante pour éradiquer le clan des dissidents et
séminer les [B] dents aux quatre fins à main du sanguin.
Ils ne font pas semblant.
Mais pour l'instant, seules coulent la salive et les invectives.
Et d [Ab]'un côté de la rive, les regards se rivent.
La tension est vive.
On est sur le kiff.
Vivant en attendant que l'inévitable [E] arrive.
Et comme demain demain, [F] on baisse le périmètre.
Laisse les craqués, les chiques, les paniques, [Em] former des arcs.
Ils passent à l'attaque et matraquent du tac au [Ab] tac, tac au [G] tac, tac, tac.
Ça le saccage, la veille de la sortie de sa cage.
On a besoin d'un [G] casque et de masques et d'escargots.
On sort tous les flingues en un coup de poing sur un fin.
Mais quoi qu'ils sont concapitules.
Ah, c'est parti, [Fm] par ici [G] la catapulte.
Et selon les calculs, on peut percer leur emporte.
On va en droit.
Là où on chante donc, on lance des carreaux.
Certains sont chaos, sur le carreau c'est le chaos.
Camarades, camarades.
[Ab] [G] Camarades, tous au barricade.
À l'assaut de la palissade, fini leur masquerade.
Nous ne [D] restons qu'en nous-mêmes, à la va-voir, sans pouvoir savoir.
Ce que le pouvoir nous cache dans le [Ab] noir.
[G] Camarades, tous au barricade.
À l'assaut de la palissade, fini leur [D] masquerade.
Nous ne restons qu'en nous-mêmes, à la va-voir, sans pouvoir savoir.
Ce que le pouvoir nous cache dans le [Ab] noir.
[G] Naze, naze, gaze.
Et la foule refoule et se défoule dans les faubourgs jusqu'au petit [D] jour.
C'est ainsi que voulant faire vaciller les sorciers du pouvoir qui n'ont pas soucié.
Le [Ab] peuple a fini [G] éparpillé, parpillé comme un épris.
Le quartier ouvrier.
Et pendant que les tribus s [D]'attribuent, les tribus du Riffifi.
Le royaume s'unifie et se solidifie, sous le [G] dôme fantôme de l'économie.
Les monarques [Bb] unis pour abattre les clôtures [Gm] se sont réunis [Eb] entre quatre murs.
Afin que le plus petit de leurs murs, [Bb] mur mort sous le cri qu'est mis [B] des armures.
Leur aide [Gm] au lors de la bataille des murailles.
Pour que le plus [Bb] fort aille, c'est la [Gm] rivale.
Pour les flics de canaille, dépensées de grenades.
Et le reste pour la [Bb] maman.
Méfante [G] une grenade et le reste pour la maman.